C’est en forgeant qu’on devient forgeron : cela vaut pour le
tennis et le piano, mais également pour les choses négatives. Quiconque
passe son temps à râler devient petit à petit champion en la matière.
Heureusement, votre cerveau peut désapprendre le pessimisme.
Pour ensoleiller votre vie, voici 4 petits exercices quotidiens, inspirés de Rick Hanson (Le pouvoir des petits riens, Editions Les Arènes), et extraits du magazine Psychologie Positive n°2, en vente chez votre marchand de journaux dès le 25 juin !
Éprouver de l’enthousiasme donne beaucoup d’énergie. Quelles sont les
activités qui éveillent en vous ce sentiment ? Essayez de les pratiquer
plus souvent.
- Surprenez-vous vous-même par de petites nouveautés, vous n’avez pas besoin de grimper au sommet de l’Himalaya pour stimuler votre cerveau. Essayez de nouvelles recettes avec des ingrédients inconnus, apprenez l’italien, suivez une leçon d’essai de kick boxing ou de stand up paddle... et sans même vous en rendre compte votre cerveau aura développé de nouveaux neurones.
- Observez les choses du quotidien. Avez-vous déjà regardé attentivement vos propres mains ? N’est-ce pas un miracle que ces instruments attachés à vos deux bras ? Leur dextérité, leur capacité à distinguer le chaud du froid, le doux du rugueux… Quiconque sait profiter de “petites” choses comme celles-ci s’abreuve à une source de plaisir permanent.
- Chérissez les sentiments de joie. Remémorez-vous chaque soir avant de dormir les trois choses qui vous ont procuré de la joie durant la journée. Racontez-les également à vos proches. Cherchez les bonnes nouvelles dans le journal – oui, il y en a ! Faites une liste des problèmes qui ne vous sont pas arrivés jusqu’à présent et réjouissez-vous-en. La capacité à ressentir de la gratitude est un grand bienfait.
- Concédez-vous des moments de mauvaise humeur ; vous ne pouvez pas constamment vous amuser. C’est difficile à digérer quand cela arrive le week-end et durant les vacances. Mais il faut accepter une fois pour toutes que les humains soient anxieux et méfiants de nature. Ne vous laissez donc pas déstabiliser par un sentiment de déprime ; c’est normal. Mais ne vous laissez pas non plus submerger. Examinez vos sentiments comme vous examineriez le doigt égratigné d’un enfant. Est-ce vraiment grave, faut-il faire quelque chose ? Si ce n’est pas le cas, un bisou sur le bobo, une caresse sur la tête et on change de sujet.
- Source: ICI
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