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28 avr. 2014

Les IPP sont à grands risques!

Au Canada, on prescrit annuellement pour plus d’un milliard de dollars d’IPP – des médicaments contre certains maux gastriques. Or, d’après deux importants organismes de santé publique, ces médicaments pourraient causer de très graves problèmes de santé. Les IPP - pour Inhibiteurs de Pompe à Protons – ne sont qu’un des types de médicaments prescrits contre les problèmes gastriques. Ce sont des comprimés, et non des pompes, qui agissent sur la sécrétion des acides gastriques. Il faut les distinguer des Rolaids et autres Maalox, qui neutralisent l’acidité de l’estomac, ou encore des Zantac et Tagamet, qui sont disponibles sans prescription.
Seuls les IPP sont accusés de provoquer des problèmes de santé graves, dont une augmentation du risque de pneumonie, d’infections à la clostridium difficiles et de fractures de la hanche (ostéoporose). Ces médicaments pourraient également réduire l’efficacité du Plavix, prescrit aux personnes qui ont souffert d’un infarctus ou d’angine, et donc augmenter les risques de problèmes cardiaques.
Les IPP sont vendus sous ordonnance seulement et destinés au traitement du reflux gastro-œsophagien, des ulcères gastroduodénaux ou encore des érosions gastriques causées par les médicaments anti-inflammatoires. Plusieurs personnes prennent un IPP en prévention, par exemple en cas de risque de saignement gastro-intestinal.
Dans la pratique, beaucoup de personnes prennent ce médicament à long terme, et parfois pour de bien mauvaises raisons, comme les excès alimentaires. Thé, café, alcool, ailes de poulet et autres junkfood peuvent déranger l’estomac !
Le Conseil du médicament du Québec a justement lancé une campagne de sensibilisation concernant le bon et le mauvais usage des médicaments. Les médecins doivent comparer les risques et bénéfices des médicaments pour chaque cas particulier, adapter le traitement au patient et non prescrire systématiquement à large échelle, ce qui peut entraîner de graves conséquences pour la santé publique.


Stop aux brûlures d'estomac - Dr Martine Cotinat

Le Dr Martine Cotinat est gastro-entérologue formée à la nutrition et micronutrition. Spécialiste du RGO, elle livre ici le fruit de vingt-cinq années d’expérience médicale.
Stop aux brûlures d'estomac - Dr Martine CotinatEn matière de reflux acide, il n’y a pas de fatalité. Ce livre présente des solutions extrêmement efficaces pour soulager les douleurs, éviter les complications et prévenir les récidives.

Elles ne passent pas forcément par la prescription de médicaments contre l’acidité gastrique. Ces derniers sont certes d’une grande efficacité… mais le temps de la prescription seulement. À l’arrêt du traitement, les symptômes réapparaissent et la personne finit par supporter son mal en silence, signe que la véritable cause du reflux n’a pas été traitée.
En réalité, les origines du reflux gastro-oesophagien (RGO) sont multiples. Des centaines d’études sur l’oesophage et sa flore microbienne ouvrent de nouvelles pistes de diagnostic et de traitement.
Très concret, ce livre va vous aider à dire adieu aux brûlures d’estomac et à renouer avec le bien-être.

Vous saurez :
• pourquoi les médicaments ne sont pas satisfaisants à long terme
• quels sont les vrais risques de la chirurgie
• pourquoi le traitement nutritionnel est de loin le plus complet
• comment consolider les défenses de l’oesophage
• comment renforcer la barrière anti-reflux
• quels sont les compléments alimentaires indispensables

Si vous souffrez de brûlures d’estomac et que vous êtes prêt(e) à tout pour y remédier, ne passez pas à côté de ce livre.
Avantages Ces médicaments sont beaucoup plus puissants que les anti-H2 pour soulager les douleurs du reflux et cicatricer les lésions d'œsophagite. Ce sont de véritables "bazookas" de la sécrétion gastrique acide. Cette efficacité est dose-dépendante, c'est-à-dire que plus la dose est forte, plus l'effet est marqué. Le pH gastrique est maintenu au-dessus de 4 pendant dix à quatorze heure heures. Cet effet maximal est obtenu environ vers le quatrième jour. En raison de leur durée d'action prolongée, le traitement consiste en une prise unique avant le premier repas de la journée. En cas de reflux nocturne, la dose prise le soir est plus efficace.
En quelque semaines, l'intégrité de la muqueuse de l'oesophage est restaurée et les douleurs du reflux disparaissent.
Remarque : la sécrétion gastrique redevient normale après quatre jour d'arrêt du traitement.
Les IPP sont efficaces sur le reflux et ses complications dans 60% des cas. Ils peuvent être pris en contenu ou bien ponctuellement. Sous traitement la qualité de vie devient satisfaisante.

Inconvénients des IPP au long cours
Si bloquer l'acidité apporte un soulagement, ça n'est pas anodin pour autant. Cela modifie le fonctionnement physiologique de l'individu.

Selon certaines études pourtant, il semblerait qu'un tiers des patients soulagés par les IPP ont un oesophage qui continue d'être exposé à l'acide, ce qui signifie que l'acidiité gastrique n'est pas bloquée de la même manière pour tous. Il serait de toute façon miraculeux que tous les individus répondent de la même manière à un traitement, tant au niveau des effets bénéfiques que des effets secondaires.

- Modifications des flores bactériennes
Bloquer l'acidité signifie empêcher la barrière naturellement acide de l'estomac de jouer son rôle de destruction bactérienne...de nombreuses bactéries peuvent se développer et envahir l'estomac, l'intestin grêle et aussi le côlon.
- Carence en vitamines et minéraux
L'acidité gastrique facilite l'absorbtion du fer, du calcium, et de la vitamine B12. En bloquant l'acidité, les IPP risquent de provoquer des déficits.
- Mauvaise digestion des viandes
En absence d'acide, la pepsine sera moins abondante et inactive. Sous IPP, la carence en pepsine va se traduire par une mauvaise digestion des viandes et ainsi un risque de dénutrition.
- Dysfonctionnement des lysosomes (recyclage des cellules)
Ces "usines" ne peuvent fonctionner qu'à un pH acide. Or, le pH s'élève dans les lysosomes lorsque l'on consomme des IPP, entraînant sans doute des dysfonctionnements dont on connaît mal les effets à long terme.
- Modification de la muqueuse gastrique
Risque non démontré d'évoluer vers des petites tumeurs cancéreuses.

Effets indésirables des traitements prolongés par inhibiteur de la pompe à protons
Par Annie-Pierre Jonville-Béra Pharmacologue CRPV de Tours
 
En raison de leur efficacité et de leur bonne acceptabilité, les inhibiteurs de la pompe à protons (IPP) sont souvent pris sur de très longues périodes. Cependant, certains de leurs effets indésirables, certes rares, nécessitent d'être pris en compte pour leur prescription mais surtout pour leur arrêt.
Les IPP sont des promédicaments transformées par les cellules pariétales en un métabolite se liant de façon irréversible à l'ATPase H+/K+ et inhibant ainsi la production d'acide chlorhydrique. Leur utilisation au long cours peut être à l'origine d'effets indésirables, conséquences de l'inhibition de cette sécrétion acide.

Ainsi, des données sont en faveur du risque d'anémie lié à une diminution de l'absorption de la vitamine B12 et du fer.
Plusieurs études épidémiologiques ont évoqué le risque d'ostéoporose ou de fracture, en particulier de hanche, probablement favorisé par une diminution de l'absorption du calcium en cas de très longues durées de traitement.

De plus, plusieurs cas d'hypomagnésémie associés à un traitement prolongé par IPP ont été rapportés, mais le mécanisme n'est pas élucidé. [Lire](MAJ 2012)

Les études concernant le risque de pneumopathie sont contradictoires, mais quelques unes évoquent une augmentation du risque d'infection intestinale, en particulier à clostridium difficile.

Enfin, parmi les effets indésirables non liés à la durée de traitement, plusieurs cas de néphrite interstitielle aigue ont été rapportés avec les IPP, souvent associés à des manifestations extra rénales d'hypersensibilité.

L'existence d'effets indésirables durée-dépendants doit conduire les prescripteurs à réévaluer régulièrement la nécessité de poursuivre un IPP.

Si un traitement prolongé est indispensable, les auteurs préconisent d'augmenter les apports alimentaires de calcium et de surveiller la concentration plasmatique en vitamine B12 si le patient est âgé.

Enfin, en cas d'arrêt de l'IPP, celui-ci doit être progressif afin d'éviter un rebond de sécrétion acide. (Gastroenterology 2010, 139, 1115 ; d’après Actual Pharmaco Clin 2010, 86, 5)

IPP et diarrhées à Clostridium difficile
Le 8 février 2012, la FDA a publié sur son site, un message informant du lien possible entre la consommation d'Inhibiteurs de la Pompe à Protons (IPP) et la survenue de diarrhées à Clostridium difficile. Les infections bactériennes à C.difficile se présentent sous la forme de diarrhées aqueuses, associées à une inflammation colique.
La FDA conseille aux médecins de suspendre les traitements à base d'IPP en cas de doute sur l'origine d'une diarrhée chronique.

Le simple arrêt de l'IPP permet généralement une guérison spontanée toutefois, un traitement est parfois nécessaire et il fait généralement appel au métronidazole. (Source : medscape.fr sauf pour le traitement)

Un PDF sur le sujet: ICI

27 avr. 2014

Hémorroïdes et Zantac - Les dangers du Hémorroïdes et Zantac

- Les dangers du mauvais médicament

Hémorroïdes et Zantac sont des mots qui piquent les intérêts du peuple. Après tout, beaucoup ont tendance à croire que ce dernier est plus que capable de mettre fin à l'ancienne. Eh bien, c'est la raison pour laquelle ceux qui souffrent d'hémorroïdes doivent être conscients de ce simple fait; le médicament n'est même pas lié à l’anus qui est la région dilemme. Pour découvrir toutes sortes de choses importantes sur Zantac (et pour savoir enfin pourquoi il a été lié à la région rectale), continuez tout simplement à lire.

Fonction d'un médicament

Il est préférable de parler de l'objectif réel du médicament avant de discuter de quoi que ce soit d'autre, non? Alors, sans plus tarder, voici les choses qu'il fait:

• Il empêche l'accumulation d'acides dans l'estomac, ce qui explique pourquoi il est habituellement prescrit à ceux qui combattent pires effets de l'ulcère gastro-duodénal.

• Zantac (qui est aussi appelé ranitidine) résout également deux autres problèmes de santé; le syndrome de Zollinger-Ellison et RGO (ou maladie de reflux gastro)

Chose intéressante, la liste à usage médical de la drogue ne contient pas de détails sur le traitement de structures vasculaires impairs qui apparaissent dans le canal anal.

À propos du danger

Étant donné que la ranitidine est un médicament en vente libre (ce qui signifie que personne ne pourrait jamais avoir des problèmes de l'acheter, car une ordonnance n'est pas nécessaire), alors il est sûr de dire que certaines personnes ont déjà acheté à résoudre le problème du rectum. Eh bien, à part de gagner aucun avantage que ce soit, ces personnes auraient souffert de ces effets secondaires:

• La carence en vitamine B12 (qui pourrait à son tour conduire à la fonction cérébrale pauvre et même les questions nerveuses).

• Sensibilité aux ecchymoses et des saignements (un problème très grave, car une hémorroïde est déjà assez sensible pour n'importe quel type de substance irritante).

• Troubles du foie (ce qui signifie que le développement de la jaunisse n'est pas impossible que parmi ceux qui ont pris la pilule pour les mauvaises raisons).

• Augmentation des chances de souffrir d'infections (en prenant la pilule, cela rend une personne beaucoup plus sujette à la diarrhée).

• Problèmes rénaux (prendre le médicament est réellement fatal à ceux qui ont les reins qui ne fonctionnent plus de façon optimale).

• Hémorroïdes (c'est vrai, le lien entre les hémorroïdes et Zantac n'est pas positif).

Connaissant le Lien

Maintenant qu'ils savent que la ranitidine provoque des préoccupations dans la région rectale et n'est certainement pas une solution à leur problème de santé, les personnes qui envisageaient de prendre ce médicament devraient essayer de chercher un autre remède. Quelle est la meilleure façon de le faire? Au lieu de demander à leurs amis, ou encore la lecture des forums de discussion, les gens avec des dilemmes induites aux hémorroïdes devraient simplement consulter un médecin. Après tout, les médecins sont plus que capables de connaître la vraie nature du problème et de planifier le cours idéal d'action.

Jusqu'à présent, il a été fait évident que la ranitidine ne va pas aider ceux qui ont des préoccupations de la zone anale. Comme une question de fait, prendre le médicament va probablement aggraver la situation. Avec cela à l'esprit, une chose devrait déjà être claire pour les gens qui ont pensé d'appairer les hémorroïdes et Zantac; il ne serait jamais sage de supposer qu'un médicament apporterait de bons résultats simplement parce que quelqu'un a dit (la recherche d'une confirmation médicale experte est toujours nécessaire.

Tramadol : un antidouleur aux effets secondaires redoutables

Le Tramadol, un médicament qui remplace le Di-Antalvic, aurait des effets secondaires importants. Cet antidouleur provoquerait notamment une forte addiction, révèle ce mercredi Le Parisien.

Le Tramadol, qui remplace le Di-antalvic, est surveillé par l'Afssaps SIPA/DURAND FLORENCE

Depuis que Di-Antalvic a été retiré du marché en mars 2011, le Tramadol a été adopté par des millions de patients. Cet antidouleur dérivé de l'opium est très apprécié pour calmer le mal de dos et les douleurs articulaires. Il pourrait pourtant avoir des effets secondaires redoutables. Au point que l'Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé (Afssaps) a décidé de le surveiller.

La molécule de Tramadol est présente en France dans le générique du même nom et dans une vingtaine de médicaments, notamment le Tropalgic, le Contramal ou Ixprim. Mais les effets secondaires du médicament miracle sont inquiétants : vomissements, troubles du sommeil, désorientation et "addiction importante d'une partie des patients", prévient Le Parisien dans son édition datée de ce mercredi 25 janvier.

En France, premières overdoses en 2010

Un tiers des huit millions d'utilisateurs réguliers du

reportés ces deux dernières années sur des médicaments plus forts, comme le Tramadol. Plus de 12 millions de boîtes ont ainsi été vendues l'année dernière, soit une hausse de 30 %.

Pourtant des

France. « Personne ne m'avait prévenu des effets addictifs. J'ai augmenté les doses et je suis devenu complètement accro », confie au Parisien un patient de 26 ans. Il a décidé de se sevrer seul au prix de « dix jours de cauchemar » après avoir eu un « trou noir de plusieurs minutes » devant son téléviseur.

Au Moyen-Orient : des effets dévastateurs

En Egypte en Libye ou à Gaza, le Tramadiol serait utilisé comme une véritable drogue. La plaquette de dix comprimés s'achète en pharmacie pour cinq dollars. Ses vertus : retarder l'éjaculation, donner de l'énergie,«

problèmes », témoigne dans les colonnes du quotidien, un jeune homme de 22 ans, qui l'utilise depuis quatre ans.

Les utilisateurs réguliers souffrent de dépression, de fatigue, ou encore de problèmes rénaux ou intestinaux. En somme, le médicament miracle a tout l'air d'être un poison

19 févr. 2014

Le poison blanc: le sucre

Boire beaucoup de boissons sucrées et manger beaucoup d'aliments préparés sucrés double le risque de mourir d'un trouble cardiaque, selon une nouvelle étude américaine. Les impacts sont aussi importants que ceux de l'hypertension non maîtrisée. Le coupable : le fructose, utilisé par l'industrie alimentaire, qui endommage autant le foie que l'alcool.

L'étude, publiée par le Journal de l'Association médicale américaine - médecine interne, a suivi 11 700 personnes pendant 15 ans. À trois reprises, leur consommation de « sucre ajouté » a été mesurée. La catégorie englobe les boissons gazeuses, les produits préparés (biscuits, plats, yogourts) et, bien entendu, le sucre qu'on met dans son café.

« Les études précédentes avaient montré qu'il y a un effet quand on prend beaucoup de boissons sucrées », explique l'auteur principal de l'étude, Quanhe Yang, des Centres de contrôle des maladies (CDC) du gouvernement américain. « Mais ce n'était pas si important, 39 % d'augmentation de risque pour les gens qui en prennent beaucoup, soit plus de sept cannettes par semaine. Nous avons englobé aussi les nourritures solides, et cette fois, le résultat est beaucoup plus probant. »

À l'Institut de cardiologie de Montréal, Martin Juneau est bien conscient du problème. « Depuis une dizaine d'années, j'ai complètement changé mon message sur la prévention, dit le Dr Juneau. On a mis l'accent pendant des décennies sur le gras, alors qu'il faut s'attaquer au sucre. Le problème, avec le sucre ajouté dans les boissons gazeuses et les mets préparés, c'est qu'il s'agit de fructose, un sucre qui est directement métabolisé par le foie, comme l'alcool. Le sucre qu'on met dans son café et dans les gâteaux préparés à la maison est moins dangereux. Souvent, les gens vont dire que le fructose ne doit pas être si dangereux puisqu'il est présent dans les fruits. Oui, c'est vrai, mais dans les fruits, il est combiné aux fibres. Les fibres augmentent la sensation de satiété, contrairement aux boissons sucrées. »

L'étude américaine note que les autorités médicales émettent différentes recommandations sur le niveau de sucre ajouté que ne doit pas dépasser une diète. L'OMS recommande moins de 10 %, une cible atteinte par moins du quart des Américains. L'Institut de médecine du gouvernement américain propose 25 %, un niveau dangereux, selon M. Yang.

Un commentaire accompagnant l'étude appelle à la taxation des boissons sucrées. Pourquoi se limiter aux boissons ? « C'est ce qu'il y a de plus facile », explique l'auteure principale du commentaire, Laura Schmidt de l'Université de Californie à San Francisco. « Et selon les données qu'on a dans les 15 pays qui taxent les boissons gazeuses, la consommation semble diminuer. » En 2012, un essai remarqué dans la revue Nature avait appelé à une réglementation du sucre ajouté semblable à celle qui encadre l'alcool, substance jugée par son auteur aussi toxique que le fructose.

Le sucre mortel

Augmentation du risque de mourir d'un trouble cardiovasculaire, au cours d'un suivi de 15 ans, pour quatre niveaux de consommation de sucre ajouté, par rapport à une très faible consommation. L'échantillon a été divisé en cinq groupes comportant le même nombre de personnes (quintiles), en fonction de la consommation de sucre ajouté.

Consommation très forte (plus de 21 % des calories quotidiennes) : 103 %

Consommation forte (17 à 21 % des calories quotidiennes) : 38 %

Consommation moyenne (13 à 17 % des calories quotidiennes) : 18 %

Consommation faible (10 à 13 % des calories quotidiennes) : 7 %

SOURCE : Journal of the American Medical Association

8 févr. 2014

Les médicamenteurs - Documentaire


“Les Médicamenteurs”, un documentaire à prescrire d'urgence

 C'est un film ravageur, une enquête implacable. En cinquante-deux minutes aussi drôles que stupéfiantes, “Les Médicamenteurs” révèle les dessous peu glorieux de l'industrie pharmaceutique.

Nous l'avons vu, en première!
La salle riait de bon cœur. Il y avait pourtant de quoi pleurer. Lors de leur présentation en avant-première, Les Médicamenteurs a conquis le public. Cette enquête, conduite par Brigitte Rossigneux, journaliste au Canard enchaîné, et coréalisée par Stéphane Horel et Annick Redolfi, dévoile les secrets de l'industrie pharmaceutique en suivant les pérégrinations des médicaments, depuis leur conception jusqu'à leur exploitation commerciale. Ses interviews incisives, son ton décapant et son invention visuelle (avec le recours à l'animation d'objets) en font une arme de dénonciation massive, une œuvre de salubrité publique.
Pour les multinationales du médicament, le marketing et les parts de marché ont bien plus d'importance que la santé des patients. On s'en doutait un peu, mais ce film démonte parfaitement les rouages de la manipulation. Tout le monde en prend pour son grade : les labos, bien sûr, mais aussi les politiques qui les choient (Roselyne Bachelot, Nicolas Sarkozy), les autorités de régulation qui les adoubent, les médecins qui leur font une confiance aveugle (ou intéressée). Les conséquences sont catastrophiques, tant au niveau économique (le trou de la Sécu) qu'au niveau de la santé publique (les victimes de la surmédication se comptent par milliers).

Saluons le courage et la perspicacité de France 5, qui a participé à la naissance de ce film. Cependant, livré depuis un bon moment, il attend toujours une date de diffusion. Le temps de peaufiner quelques détails et de prendre toutes les précautions juridiques, explique la chaîne. Devant la sévérité de la charge, on comprend qu'elle veuille assurer ses arrières. Mais on lui fait confiance pour mettre en valeur Les Médicamenteurs d'ici peu de temps. Nous ne manquerons pas alors de vous faire une piqûre de rappel pour vous prévenir de la programmation de ce film qui devrait être remboursé par la Sécurité sociale – elle y gagnerait.

Maladies inventées pour vendre les medicaments ou inventer des médicaments pour les nouvelles maladies ?

 
Le dévouement et la probité de la plupart des professionnels de la santé sont indubitables, mais la corruption s’est installée au coeur du système. La logique du profit a dévoyé la science. Chaque année, près de 200 000 personnes décèdent en Europe suite aux effets médicamenteux qualifiés de « secondaires » ; les overdoses d’antidouleurs tuent plus que l’héroïne et la cocaïne réunies ; l’abus de médicaments a pollué jusqu’à l’eau du robinet, devenue un cocktail de Prozac, d’antibiotiques, d’anticancéreux et de perturbateurs endocriniens. Extraits de "Big pharma", (2/2).
Les vendeurs de maladie Documentaire sur les pratiques de l'industrie pharmaceutique
Le dévouement et la probité de la plupart des professionnels de la santé sont indubitables, mais la corruption s’est installée au coeur du système. La logique du profit a dévoyé la science. Chaque année, près de 200 000 personnes décèdent en Europe suite aux effets médicamenteux qualifiés de « secondaires » ; les overdoses d’antidouleurs tuent plus que l’héroïne et la cocaïne réunies ; l’abus de médicaments a pollué jusqu’à l’eau du robinet, devenue un cocktail de Prozac, d’antibiotiques, d’anticancéreux et de perturbateurs endocriniens. Extraits de "Big pharma", (2/2).


Les vendeurs de maladie Documentaire sur les pratiques de l'industrie pharmaceutique
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Les vendeurs de maladie Documentaire sur les pratiques de l'industrie pharmaceutique
- Comment ils inventent des maladies pour faire peur et angoisser la population par la publicité, dans le but de vendre des médicaments pour faire du fric sur le dos des gens et des malades.

Jusque dans les années 1980, l'industrie pharmaceutique orientait ses efforts vers la guérison des maladies existantes, même si les pathologies affectant les populations pauvres, comme la malaria, étaient négligées parce que peu rentables. Désormais, la tendance s'est inversée. Pour garantir leurs retours sur investissement et recycler leurs médicaments, les firmes inventent des pathologies sur mesure, si possible chroniques. Une publicité déguisée en information médicale, doublée d'un intense lobbying, se charge de les "vendre" au grand public et aux praticiens. Ce film - auquel l'industrie a refusé de participer - démonte les mécanismes d'une médecine sous l'emprise du marché.
 

 
 


Le spot publicitaire de Pfizer n’est qu’un exemple parmi d’autres de ce que les marketeurs pharmaceutiques appellent des « unbranded campaigns », c’est-à-dire des campagnes où il n’est pas fait explicitement mention de la marque (brand) qui est promue. Tout comme dans les campagnes de prévention et de sensibilisation sponsorisées par les autorités de santé nationales ou internationales, on nous apprend simplement à reconnaître les signes de maladies dont nous ignorions jusque-là la gravité, la prévalence et peut-être même l’existence.


Les laboratoires pharmaceutiques "décident" des maladies qui vont nous atteindre dans les années à venir...

 

LE PATIENT. – Quand j’ai dîné, il y a des fois que je sens une espèce de démangeaison ici. Ça me chatouille, ou plutôt ça me gratouille.

 
LE DOC. – Attention. Ne confondons pas. Est-ce que ça vous chatouille, ou est-ce que ça vous grattouille ?
LE PATIENT. – ça me grattouille. Mais ça me chatouille bien un peu aussi…
LE DOC. – Est-ce que ça ne vous grattouille pas davantage quand vous avez mangé de la tête de veau à la vinaigrette ?
LE PATIENT. – Je n’en mange jamais. Mais il me semble que si j’en mangeais, effectivement, ça me grattouillerait plus.
http://www.amazon.fr/Big-pharma-industrie-toute-puissante-notre/dp/2352042593/ref=sr_1_1?ie=UTF8&qid=1383837350&sr=8-1&keywords=Big+pharma&tag=a0660-21Après les dangers du sida, du tabac et de l’hypertension, voici donc ceux de la fibromyalgie, du reflux gastro-oesophagien, du syndrome des jambes agitées, du syndrome du côlon irritable, du syndrome métabolique, de la vessie hyperactive, de l’andropause, du papillomavirus, de l’ostéopénie, de la préhypertension, du prédiabète, de la dysfonction érectile, de la dysfonction sexuelle féminine, de la spondylarthrite ankylosante. Depuis une trentaine d’années, il ne se passe pas de jour qu’on n’apprenne l’existence d’une nouvelle maladie ou la gravité insoupçonnée d’un « facteur de risque ». C’est vrai notamment dans le domaine psychiatrique, où l’on a assisté à une véritable explosion de troubles psychiques inconnus ou précédemment négligés : le trouble  bipolaire, le syndrome dysphorique prémenstruel, le syndrome de fatigue chronique, le stress post-traumatique, le trouble du déficit d’attention avec hyperactivité (d’ordinaire réservé aux enfants et aux adolescents, mais étendu à présent aux adultes), le trouble affectif saisonnier, la phobie sociale (naguère appelée « timidité », rebaptisée depuis « trouble d’anxiété sociale »), les attaques de panique, la boulimie nerveuse ou encore le trouble de l’expression involontaire des émotions.
.
Le nombre des troubles mentaux répertoriés dans le DSM, le manuel diagnostique de l’Association américaine de psychiatrie, ne cesse d’ailleurs d’augmenter à chaque nouvelle édition. Le DSM-I, qui date de 1952, en comptait 106. Le DSM-III, sorti en 1980, en comptait d.j. 265. Quatorze ans plus tard, le DSM-IV portait ce nombre à 297. Le récent DSM-V a encore ajouté de nouvelles catégories diagnostiques telles que le « trouble neurocognitif mineur », l’ « ingestion alimentaire excessive », le « trouble de la dérégulation d’humeur avec dysphorie », sans oublier le « trouble de l’accumulation » qui affecte les malheureux qui ont du mal à se débarrasser des objets.
Comment expliquer dès lors cette multiplication générale de maladies, de syndromes et de facteurs de risques ? Est-ce la science médicale qui progresse et découvre chaque jour, pour notre plus grand bien, des morbidités contre lesquelles il convient de lutter à coup de traitements ciblés ou de campagnes de prévention, sur le modèle des antibiotiques et des vaccinations ? Ou bien n’est-ce pas plutôt qu’on assiste à une vaste entreprise de marketing destinée à nous convaincre d’être plus malades que nous ne le sommes afin de nous vendre toujours plus de médicaments ?
Extrait de "Big pharma", Coordonné par Mikkel Borch-Jacobsen, (Les Arènes Editions), 2013. Pour vous procurer ce livre, cliquez ici.

 
e spot publicitaire de Pfizer n’est qu’un exemple parmi d’autres de ce que les marketeurs pharmaceutiques appellent des « unbranded campaigns », c’est-à-dire des campagnes où il n’est pas fait explicitement mention de la marque (brand) qui est promue. Tout comme dans les campagnes de prévention et de sensibilisation sponsorisées par les autorités de santé nationales ou internationales, on nous apprend simplement à reconnaître les signes de maladies dont nous ignorions jusque-là la gravité, la prévalence et peut-être même l’existence.
LE TAMBOUR. – Quand j’ai dîné, il y a des fois que je sens une espèce de démangeaison ici. Ça me chatouille, ou plutôt ça me gratouille.
KNOCK. – Attention. Ne confondons pas. Est-ce que ça vous chatouille, ou est-ce que ça vous grattouille ?
LE TAMBOUR. – ça me grattouille. Mais ça me chatouille bien un peu aussi…

KNOCK. – Est-ce que ça ne vous grattouille pas davantage quand vous avez mangé de la tête de veau à la vinaigrette ?
LE TAMBOUR. – Je n’en mange jamais. Mais il me semble que si j’en mangeais, effectivement, ça me grattouillerait plus.
Après les dangers du sida, du tabac et de l’hypertension, voici donc ceux de la fibromyalgie, du reflux gastro-oesophagien, du syndrome des jambes agitées, du syndrome du côlon irritable, du syndrome métabolique, de la vessie hyperactive, de l’andropause, du papillomavirus, de l’ostéopénie, de la préhypertension, du prédiabète, de la dysfonction érectile, de la dysfonction sexuelle féminine, de la spondylarthrite ankylosante. Depuis une trentaine d’années, il ne se passe pas de jour qu’on n’apprenne l’existence d’une nouvelle maladie ou la gravité insoupçonnée d’un « facteur de risque ». C’est vrai notamment dans le domaine psychiatrique, où l’on a assisté à une véritable explosion de troubles psychiques inconnus ou précédemment négligés : le trouble  bipolaire, le syndrome dysphorique prémenstruel, le syndrome de fatigue chronique, le stress post-traumatique, le trouble du déficit d’attention avec hyperactivité (d’ordinaire réservé aux enfants et aux adolescents, mais étendu à présent aux adultes), le trouble affectif saisonnier, la phobie sociale (naguère appelée « timidité », rebaptisée depuis « trouble d’anxiété sociale »), les attaques de panique, la boulimie nerveuse ou encore le trouble de l’expression involontaire des émotions.
Le nombre des troubles mentaux répertoriés dans le DSM, le manuel diagnostique de l’Association américaine de psychiatrie, ne cesse d’ailleurs d’augmenter à chaque nouvelle édition. Le DSM-I, qui date de 1952, en comptait 106. Le DSM-III, sorti en 1980, en comptait d.j. 265. Quatorze ans plus tard, le DSM-IV portait ce nombre à 297. Le récent DSM-V a encore ajouté de nouvelles catégories diagnostiques telles que le « trouble neurocognitif mineur », l’ « ingestion alimentaire excessive », le « trouble de la dérégulation d’humeur avec dysphorie », sans oublier le « trouble de l’accumulation » qui affecte les malheureux qui ont du mal à se débarrasser des objets.
Comment expliquer dès lors cette multiplication générale de maladies, de syndromes et de facteurs de risques ? Est-ce la science médicale qui progresse et découvre chaque jour, pour notre plus grand bien, des morbidités contre lesquelles il convient de lutter à coup de traitements ciblés ou de campagnes de prévention, sur le modèle des antibiotiques et des vaccinations ? Ou bien n’est-ce pas plutôt qu’on assiste à une vaste entreprise de marketing destinée à nous convaincre d’être plus malades que nous ne le sommes afin de nous vendre toujours plus de médicaments ?

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Les infiltrés France 2 _ Laboratoires pharmaceutiques - Un lobby en pleine santé
 

Silence ! On vaccine ! (documentaire de Lina Moreco)

Par Lina B. Moreco :  
vaccinedoc@hotmail.com
 
"Silence, on vaccine n’est pas mon premier sujet délicat, mes autres films touchaient aussi à quelque chose de particulier : le droit de vivre la fin de sa vie tout comme le début de sa vie sans acharnement thérapeutique.  Le droit de prendre le contrôle sur son corps, de ne pas se soumettre à des protocoles de santé qui ne nous conviennent pas.
 
Avec Silence, on vaccine, j’ai eu l’impression de me retrouver au Moyen Âge entrain de questionner l’existence de Dieu.   Combien de fois on m’a dit : « Tu devrais pas parler des vaccins, ils ont sauvé des vies. » ou bien  « On ne doit pas remettre en question l’efficacité des vaccins, c’est dangereux…»  
 
Quelles sont les conséquences de ce silence ?
 
Ne pas avoir le droit de parler d’un sujet peu importe la société où l’on vit empêche toute personne de s’exprimer librement.  La discussion n’a pas d’espace.  C’est ce qui explique le peu de médecins du Québec, pédiatres ou autres, de médecine traditionnelle dans mon film.  Pour ceux avec qui j’ai eu des discussions, ceux qui  acceptent de ne pas vacciner selon le calendrier proposé, ceux qui discutent avec les parents sans user de leur autorité professionnelle – eux,  ils ne pouvaient pas raconter ouvertement leur point de vue devant la caméra.  Prisonniers du tabou.
 
Le silence réduit au silence et à l’ignorance.
 

Alors quand on me dit que peu de personnes sont atteintes de  maladies à la suite de vaccins, je pose la question suivante : comment peut-on connaître la non-existence de quelque chose si on n’a pas le droit d’en parler librement ?
 
Les réponses sont : plusieurs études scientifiques démontrent qu’il n’y a pas de liens de causalité entre la vaccination et l’apparition de maladies. Bon, il faudrait aussi rajouter : que toutes les études sont faites sur des personnes vaccinées.  Il n’existe aucun groupe contrôle, tel qu’on en voit dans un laboratoire – que ces études sont financées par l’industrie pharmaceutique,  que lorsqu’un médecin tel que le Docteur Chérin au sein de mon film, ose écrire sur le sujet, il voit sa crédibilité de spécialiste mise en doute.  
 
Dire qu’il n’y a pas de lien revient au même que de dire : dans le cadre d’une étude opposant un groupe de personnes fumant deux paquets de cigarettes par jour  et un autre fumant un seul paquet par jour, on retrouve le même type de maladies du poumon, conséquemment, il n’y a pas de lien entre la cigarette et le cancer du poumon.  Une hypothèse comme celle-ci était crédible durant les années 1970.  
 
On peut en débattre, je le sais, mais il est évident que de ne pas poser de questions, ou bien, de ne pas vouloir savoir, laisse la porte grande ouverte à un autre malaise  qui est bien évoqué par le Congressman Dan Burton au sein du documentaire : « sommes-nous en train de laisser une trop grande place à l’industrie pharmaceutique dans le processus de décisions qui affecte notre  vie ? »
 
J’aimerais rajouter ceci : sommes-nous en train de laisser le sort de notre immunité naturelle aux mains d’une industrie qui voit dans la production et l’invention des vaccins un simple moyen de faire du profit ?  Les enfants qui naissent aujourd’hui pourront-ils survivre ou vivre sans se soumettre à un calendrier vaccinal de plus en plus imposant ?  Pourront-ils vivre sans vaccins?"
 
 
D'autres oppinions plus bas:

Le côté obscure des vaccins - Ce qu'on ne vous dit pas

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La santé des enfants NON vaccinés - Dr Berthoud

 
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Questions à la une - Pour ou contre les vaccins - Serons-nous bientôt tous allergiques - RTBF
 
 
 
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Vaccins et aluminium=Danger: Myofasciite à macrophages.
 
 
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Les IPP sont à grands risques!

Au Canada, on prescrit annuellement pour plus d’un milliard de dollars d’IPP – des médicaments contre certains maux gastriques. Or, d’après deux importants organismes de santé publique, ces médicaments pourraient causer de très graves problèmes de santé. Les IPP - pour Inhibiteurs de Pompe à Protons – ne sont qu’un des types de médicaments prescrits contre les problèmes gastriques. Ce sont des comprimés, et non des pompes, qui agissent sur la sécrétion des acides gastriques. Il faut les distinguer des Rolaids et autres Maalox, qui neutralisent l’acidité de l’estomac, ou encore des Zantac et Tagamet, qui sont disponibles sans prescription.
Seuls les IPP sont accusés de provoquer des problèmes de santé graves, dont une augmentation du risque de pneumonie, d’infections à la clostridium difficiles et de fractures de la hanche (ostéoporose). Ces médicaments pourraient également réduire l’efficacité du Plavix, prescrit aux personnes qui ont souffert d’un infarctus ou d’angine, et donc augmenter les risques de problèmes cardiaques.
Les IPP sont vendus sous ordonnance seulement et destinés au traitement du reflux gastro-œsophagien, des ulcères gastroduodénaux ou encore des érosions gastriques causées par les médicaments anti-inflammatoires. Plusieurs personnes prennent un IPP en prévention, par exemple en cas de risque de saignement gastro-intestinal.
Dans la pratique, beaucoup de personnes prennent ce médicament à long terme, et parfois pour de bien mauvaises raisons, comme les excès alimentaires. Thé, café, alcool, ailes de poulet et autres junkfood peuvent déranger l’estomac !
Le Conseil du médicament du Québec a justement lancé une campagne de sensibilisation concernant le bon et le mauvais usage des médicaments. Les médecins doivent comparer les risques et bénéfices des médicaments pour chaque cas particulier, adapter le traitement au patient et non prescrire systématiquement à large échelle, ce qui peut entraîner de graves conséquences pour la santé publique.


Stop aux brûlures d'estomac - Dr Martine Cotinat

Le Dr Martine Cotinat est gastro-entérologue formée à la nutrition et micronutrition. Spécialiste du RGO, elle livre ici le fruit de vingt-cinq années d’expérience médicale.
Stop aux brûlures d'estomac - Dr Martine CotinatEn matière de reflux acide, il n’y a pas de fatalité. Ce livre présente des solutions extrêmement efficaces pour soulager les douleurs, éviter les complications et prévenir les récidives.

Elles ne passent pas forcément par la prescription de médicaments contre l’acidité gastrique. Ces derniers sont certes d’une grande efficacité… mais le temps de la prescription seulement. À l’arrêt du traitement, les symptômes réapparaissent et la personne finit par supporter son mal en silence, signe que la véritable cause du reflux n’a pas été traitée.
En réalité, les origines du reflux gastro-oesophagien (RGO) sont multiples. Des centaines d’études sur l’oesophage et sa flore microbienne ouvrent de nouvelles pistes de diagnostic et de traitement.
Très concret, ce livre va vous aider à dire adieu aux brûlures d’estomac et à renouer avec le bien-être.

Vous saurez :
• pourquoi les médicaments ne sont pas satisfaisants à long terme
• quels sont les vrais risques de la chirurgie
• pourquoi le traitement nutritionnel est de loin le plus complet
• comment consolider les défenses de l’oesophage
• comment renforcer la barrière anti-reflux
• quels sont les compléments alimentaires indispensables

Si vous souffrez de brûlures d’estomac et que vous êtes prêt(e) à tout pour y remédier, ne passez pas à côté de ce livre.
Avantages Ces médicaments sont beaucoup plus puissants que les anti-H2 pour soulager les douleurs du reflux et cicatricer les lésions d'œsophagite. Ce sont de véritables "bazookas" de la sécrétion gastrique acide. Cette efficacité est dose-dépendante, c'est-à-dire que plus la dose est forte, plus l'effet est marqué. Le pH gastrique est maintenu au-dessus de 4 pendant dix à quatorze heure heures. Cet effet maximal est obtenu environ vers le quatrième jour. En raison de leur durée d'action prolongée, le traitement consiste en une prise unique avant le premier repas de la journée. En cas de reflux nocturne, la dose prise le soir est plus efficace.
En quelque semaines, l'intégrité de la muqueuse de l'oesophage est restaurée et les douleurs du reflux disparaissent.
Remarque : la sécrétion gastrique redevient normale après quatre jour d'arrêt du traitement.
Les IPP sont efficaces sur le reflux et ses complications dans 60% des cas. Ils peuvent être pris en contenu ou bien ponctuellement. Sous traitement la qualité de vie devient satisfaisante.

Inconvénients des IPP au long cours
Si bloquer l'acidité apporte un soulagement, ça n'est pas anodin pour autant. Cela modifie le fonctionnement physiologique de l'individu.

Selon certaines études pourtant, il semblerait qu'un tiers des patients soulagés par les IPP ont un oesophage qui continue d'être exposé à l'acide, ce qui signifie que l'acidiité gastrique n'est pas bloquée de la même manière pour tous. Il serait de toute façon miraculeux que tous les individus répondent de la même manière à un traitement, tant au niveau des effets bénéfiques que des effets secondaires.

- Modifications des flores bactériennes
Bloquer l'acidité signifie empêcher la barrière naturellement acide de l'estomac de jouer son rôle de destruction bactérienne...de nombreuses bactéries peuvent se développer et envahir l'estomac, l'intestin grêle et aussi le côlon.
- Carence en vitamines et minéraux
L'acidité gastrique facilite l'absorbtion du fer, du calcium, et de la vitamine B12. En bloquant l'acidité, les IPP risquent de provoquer des déficits.
- Mauvaise digestion des viandes
En absence d'acide, la pepsine sera moins abondante et inactive. Sous IPP, la carence en pepsine va se traduire par une mauvaise digestion des viandes et ainsi un risque de dénutrition.
- Dysfonctionnement des lysosomes (recyclage des cellules)
Ces "usines" ne peuvent fonctionner qu'à un pH acide. Or, le pH s'élève dans les lysosomes lorsque l'on consomme des IPP, entraînant sans doute des dysfonctionnements dont on connaît mal les effets à long terme.
- Modification de la muqueuse gastrique
Risque non démontré d'évoluer vers des petites tumeurs cancéreuses.

Effets indésirables des traitements prolongés par inhibiteur de la pompe à protons
Par Annie-Pierre Jonville-Béra Pharmacologue CRPV de Tours
 
En raison de leur efficacité et de leur bonne acceptabilité, les inhibiteurs de la pompe à protons (IPP) sont souvent pris sur de très longues périodes. Cependant, certains de leurs effets indésirables, certes rares, nécessitent d'être pris en compte pour leur prescription mais surtout pour leur arrêt.
Les IPP sont des promédicaments transformées par les cellules pariétales en un métabolite se liant de façon irréversible à l'ATPase H+/K+ et inhibant ainsi la production d'acide chlorhydrique. Leur utilisation au long cours peut être à l'origine d'effets indésirables, conséquences de l'inhibition de cette sécrétion acide.

Ainsi, des données sont en faveur du risque d'anémie lié à une diminution de l'absorption de la vitamine B12 et du fer.
Plusieurs études épidémiologiques ont évoqué le risque d'ostéoporose ou de fracture, en particulier de hanche, probablement favorisé par une diminution de l'absorption du calcium en cas de très longues durées de traitement.

De plus, plusieurs cas d'hypomagnésémie associés à un traitement prolongé par IPP ont été rapportés, mais le mécanisme n'est pas élucidé. [Lire](MAJ 2012)

Les études concernant le risque de pneumopathie sont contradictoires, mais quelques unes évoquent une augmentation du risque d'infection intestinale, en particulier à clostridium difficile.

Enfin, parmi les effets indésirables non liés à la durée de traitement, plusieurs cas de néphrite interstitielle aigue ont été rapportés avec les IPP, souvent associés à des manifestations extra rénales d'hypersensibilité.

L'existence d'effets indésirables durée-dépendants doit conduire les prescripteurs à réévaluer régulièrement la nécessité de poursuivre un IPP.

Si un traitement prolongé est indispensable, les auteurs préconisent d'augmenter les apports alimentaires de calcium et de surveiller la concentration plasmatique en vitamine B12 si le patient est âgé.

Enfin, en cas d'arrêt de l'IPP, celui-ci doit être progressif afin d'éviter un rebond de sécrétion acide. (Gastroenterology 2010, 139, 1115 ; d’après Actual Pharmaco Clin 2010, 86, 5)

IPP et diarrhées à Clostridium difficile
Le 8 février 2012, la FDA a publié sur son site, un message informant du lien possible entre la consommation d'Inhibiteurs de la Pompe à Protons (IPP) et la survenue de diarrhées à Clostridium difficile. Les infections bactériennes à C.difficile se présentent sous la forme de diarrhées aqueuses, associées à une inflammation colique.
La FDA conseille aux médecins de suspendre les traitements à base d'IPP en cas de doute sur l'origine d'une diarrhée chronique.

Le simple arrêt de l'IPP permet généralement une guérison spontanée toutefois, un traitement est parfois nécessaire et il fait généralement appel au métronidazole. (Source : medscape.fr sauf pour le traitement)

Un PDF sur le sujet: ICI

Hémorroïdes et Zantac - Les dangers du Hémorroïdes et Zantac

- Les dangers du mauvais médicament

Hémorroïdes et Zantac sont des mots qui piquent les intérêts du peuple. Après tout, beaucoup ont tendance à croire que ce dernier est plus que capable de mettre fin à l'ancienne. Eh bien, c'est la raison pour laquelle ceux qui souffrent d'hémorroïdes doivent être conscients de ce simple fait; le médicament n'est même pas lié à l’anus qui est la région dilemme. Pour découvrir toutes sortes de choses importantes sur Zantac (et pour savoir enfin pourquoi il a été lié à la région rectale), continuez tout simplement à lire.

Fonction d'un médicament

Il est préférable de parler de l'objectif réel du médicament avant de discuter de quoi que ce soit d'autre, non? Alors, sans plus tarder, voici les choses qu'il fait:

• Il empêche l'accumulation d'acides dans l'estomac, ce qui explique pourquoi il est habituellement prescrit à ceux qui combattent pires effets de l'ulcère gastro-duodénal.

• Zantac (qui est aussi appelé ranitidine) résout également deux autres problèmes de santé; le syndrome de Zollinger-Ellison et RGO (ou maladie de reflux gastro)

Chose intéressante, la liste à usage médical de la drogue ne contient pas de détails sur le traitement de structures vasculaires impairs qui apparaissent dans le canal anal.

À propos du danger

Étant donné que la ranitidine est un médicament en vente libre (ce qui signifie que personne ne pourrait jamais avoir des problèmes de l'acheter, car une ordonnance n'est pas nécessaire), alors il est sûr de dire que certaines personnes ont déjà acheté à résoudre le problème du rectum. Eh bien, à part de gagner aucun avantage que ce soit, ces personnes auraient souffert de ces effets secondaires:

• La carence en vitamine B12 (qui pourrait à son tour conduire à la fonction cérébrale pauvre et même les questions nerveuses).

• Sensibilité aux ecchymoses et des saignements (un problème très grave, car une hémorroïde est déjà assez sensible pour n'importe quel type de substance irritante).

• Troubles du foie (ce qui signifie que le développement de la jaunisse n'est pas impossible que parmi ceux qui ont pris la pilule pour les mauvaises raisons).

• Augmentation des chances de souffrir d'infections (en prenant la pilule, cela rend une personne beaucoup plus sujette à la diarrhée).

• Problèmes rénaux (prendre le médicament est réellement fatal à ceux qui ont les reins qui ne fonctionnent plus de façon optimale).

• Hémorroïdes (c'est vrai, le lien entre les hémorroïdes et Zantac n'est pas positif).

Connaissant le Lien

Maintenant qu'ils savent que la ranitidine provoque des préoccupations dans la région rectale et n'est certainement pas une solution à leur problème de santé, les personnes qui envisageaient de prendre ce médicament devraient essayer de chercher un autre remède. Quelle est la meilleure façon de le faire? Au lieu de demander à leurs amis, ou encore la lecture des forums de discussion, les gens avec des dilemmes induites aux hémorroïdes devraient simplement consulter un médecin. Après tout, les médecins sont plus que capables de connaître la vraie nature du problème et de planifier le cours idéal d'action.

Jusqu'à présent, il a été fait évident que la ranitidine ne va pas aider ceux qui ont des préoccupations de la zone anale. Comme une question de fait, prendre le médicament va probablement aggraver la situation. Avec cela à l'esprit, une chose devrait déjà être claire pour les gens qui ont pensé d'appairer les hémorroïdes et Zantac; il ne serait jamais sage de supposer qu'un médicament apporterait de bons résultats simplement parce que quelqu'un a dit (la recherche d'une confirmation médicale experte est toujours nécessaire.

Tramadol : un antidouleur aux effets secondaires redoutables

Le Tramadol, un médicament qui remplace le Di-Antalvic, aurait des effets secondaires importants. Cet antidouleur provoquerait notamment une forte addiction, révèle ce mercredi Le Parisien.

Le Tramadol, qui remplace le Di-antalvic, est surveillé par l'Afssaps SIPA/DURAND FLORENCE

Depuis que Di-Antalvic a été retiré du marché en mars 2011, le Tramadol a été adopté par des millions de patients. Cet antidouleur dérivé de l'opium est très apprécié pour calmer le mal de dos et les douleurs articulaires. Il pourrait pourtant avoir des effets secondaires redoutables. Au point que l'Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé (Afssaps) a décidé de le surveiller.

La molécule de Tramadol est présente en France dans le générique du même nom et dans une vingtaine de médicaments, notamment le Tropalgic, le Contramal ou Ixprim. Mais les effets secondaires du médicament miracle sont inquiétants : vomissements, troubles du sommeil, désorientation et "addiction importante d'une partie des patients", prévient Le Parisien dans son édition datée de ce mercredi 25 janvier.

En France, premières overdoses en 2010

Un tiers des huit millions d'utilisateurs réguliers du

reportés ces deux dernières années sur des médicaments plus forts, comme le Tramadol. Plus de 12 millions de boîtes ont ainsi été vendues l'année dernière, soit une hausse de 30 %.

Pourtant des

France. « Personne ne m'avait prévenu des effets addictifs. J'ai augmenté les doses et je suis devenu complètement accro », confie au Parisien un patient de 26 ans. Il a décidé de se sevrer seul au prix de « dix jours de cauchemar » après avoir eu un « trou noir de plusieurs minutes » devant son téléviseur.

Au Moyen-Orient : des effets dévastateurs

En Egypte en Libye ou à Gaza, le Tramadiol serait utilisé comme une véritable drogue. La plaquette de dix comprimés s'achète en pharmacie pour cinq dollars. Ses vertus : retarder l'éjaculation, donner de l'énergie,«

problèmes », témoigne dans les colonnes du quotidien, un jeune homme de 22 ans, qui l'utilise depuis quatre ans.

Les utilisateurs réguliers souffrent de dépression, de fatigue, ou encore de problèmes rénaux ou intestinaux. En somme, le médicament miracle a tout l'air d'être un poison

Le poison blanc: le sucre

Boire beaucoup de boissons sucrées et manger beaucoup d'aliments préparés sucrés double le risque de mourir d'un trouble cardiaque, selon une nouvelle étude américaine. Les impacts sont aussi importants que ceux de l'hypertension non maîtrisée. Le coupable : le fructose, utilisé par l'industrie alimentaire, qui endommage autant le foie que l'alcool.

L'étude, publiée par le Journal de l'Association médicale américaine - médecine interne, a suivi 11 700 personnes pendant 15 ans. À trois reprises, leur consommation de « sucre ajouté » a été mesurée. La catégorie englobe les boissons gazeuses, les produits préparés (biscuits, plats, yogourts) et, bien entendu, le sucre qu'on met dans son café.

« Les études précédentes avaient montré qu'il y a un effet quand on prend beaucoup de boissons sucrées », explique l'auteur principal de l'étude, Quanhe Yang, des Centres de contrôle des maladies (CDC) du gouvernement américain. « Mais ce n'était pas si important, 39 % d'augmentation de risque pour les gens qui en prennent beaucoup, soit plus de sept cannettes par semaine. Nous avons englobé aussi les nourritures solides, et cette fois, le résultat est beaucoup plus probant. »

À l'Institut de cardiologie de Montréal, Martin Juneau est bien conscient du problème. « Depuis une dizaine d'années, j'ai complètement changé mon message sur la prévention, dit le Dr Juneau. On a mis l'accent pendant des décennies sur le gras, alors qu'il faut s'attaquer au sucre. Le problème, avec le sucre ajouté dans les boissons gazeuses et les mets préparés, c'est qu'il s'agit de fructose, un sucre qui est directement métabolisé par le foie, comme l'alcool. Le sucre qu'on met dans son café et dans les gâteaux préparés à la maison est moins dangereux. Souvent, les gens vont dire que le fructose ne doit pas être si dangereux puisqu'il est présent dans les fruits. Oui, c'est vrai, mais dans les fruits, il est combiné aux fibres. Les fibres augmentent la sensation de satiété, contrairement aux boissons sucrées. »

L'étude américaine note que les autorités médicales émettent différentes recommandations sur le niveau de sucre ajouté que ne doit pas dépasser une diète. L'OMS recommande moins de 10 %, une cible atteinte par moins du quart des Américains. L'Institut de médecine du gouvernement américain propose 25 %, un niveau dangereux, selon M. Yang.

Un commentaire accompagnant l'étude appelle à la taxation des boissons sucrées. Pourquoi se limiter aux boissons ? « C'est ce qu'il y a de plus facile », explique l'auteure principale du commentaire, Laura Schmidt de l'Université de Californie à San Francisco. « Et selon les données qu'on a dans les 15 pays qui taxent les boissons gazeuses, la consommation semble diminuer. » En 2012, un essai remarqué dans la revue Nature avait appelé à une réglementation du sucre ajouté semblable à celle qui encadre l'alcool, substance jugée par son auteur aussi toxique que le fructose.

Le sucre mortel

Augmentation du risque de mourir d'un trouble cardiovasculaire, au cours d'un suivi de 15 ans, pour quatre niveaux de consommation de sucre ajouté, par rapport à une très faible consommation. L'échantillon a été divisé en cinq groupes comportant le même nombre de personnes (quintiles), en fonction de la consommation de sucre ajouté.

Consommation très forte (plus de 21 % des calories quotidiennes) : 103 %

Consommation forte (17 à 21 % des calories quotidiennes) : 38 %

Consommation moyenne (13 à 17 % des calories quotidiennes) : 18 %

Consommation faible (10 à 13 % des calories quotidiennes) : 7 %

SOURCE : Journal of the American Medical Association

Les médicamenteurs - Documentaire


“Les Médicamenteurs”, un documentaire à prescrire d'urgence

 C'est un film ravageur, une enquête implacable. En cinquante-deux minutes aussi drôles que stupéfiantes, “Les Médicamenteurs” révèle les dessous peu glorieux de l'industrie pharmaceutique.

Nous l'avons vu, en première!
La salle riait de bon cœur. Il y avait pourtant de quoi pleurer. Lors de leur présentation en avant-première, Les Médicamenteurs a conquis le public. Cette enquête, conduite par Brigitte Rossigneux, journaliste au Canard enchaîné, et coréalisée par Stéphane Horel et Annick Redolfi, dévoile les secrets de l'industrie pharmaceutique en suivant les pérégrinations des médicaments, depuis leur conception jusqu'à leur exploitation commerciale. Ses interviews incisives, son ton décapant et son invention visuelle (avec le recours à l'animation d'objets) en font une arme de dénonciation massive, une œuvre de salubrité publique.
Pour les multinationales du médicament, le marketing et les parts de marché ont bien plus d'importance que la santé des patients. On s'en doutait un peu, mais ce film démonte parfaitement les rouages de la manipulation. Tout le monde en prend pour son grade : les labos, bien sûr, mais aussi les politiques qui les choient (Roselyne Bachelot, Nicolas Sarkozy), les autorités de régulation qui les adoubent, les médecins qui leur font une confiance aveugle (ou intéressée). Les conséquences sont catastrophiques, tant au niveau économique (le trou de la Sécu) qu'au niveau de la santé publique (les victimes de la surmédication se comptent par milliers).

Saluons le courage et la perspicacité de France 5, qui a participé à la naissance de ce film. Cependant, livré depuis un bon moment, il attend toujours une date de diffusion. Le temps de peaufiner quelques détails et de prendre toutes les précautions juridiques, explique la chaîne. Devant la sévérité de la charge, on comprend qu'elle veuille assurer ses arrières. Mais on lui fait confiance pour mettre en valeur Les Médicamenteurs d'ici peu de temps. Nous ne manquerons pas alors de vous faire une piqûre de rappel pour vous prévenir de la programmation de ce film qui devrait être remboursé par la Sécurité sociale – elle y gagnerait.

Maladies inventées pour vendre les medicaments ou inventer des médicaments pour les nouvelles maladies ?

 
Le dévouement et la probité de la plupart des professionnels de la santé sont indubitables, mais la corruption s’est installée au coeur du système. La logique du profit a dévoyé la science. Chaque année, près de 200 000 personnes décèdent en Europe suite aux effets médicamenteux qualifiés de « secondaires » ; les overdoses d’antidouleurs tuent plus que l’héroïne et la cocaïne réunies ; l’abus de médicaments a pollué jusqu’à l’eau du robinet, devenue un cocktail de Prozac, d’antibiotiques, d’anticancéreux et de perturbateurs endocriniens. Extraits de "Big pharma", (2/2).
Les vendeurs de maladie Documentaire sur les pratiques de l'industrie pharmaceutique
Le dévouement et la probité de la plupart des professionnels de la santé sont indubitables, mais la corruption s’est installée au coeur du système. La logique du profit a dévoyé la science. Chaque année, près de 200 000 personnes décèdent en Europe suite aux effets médicamenteux qualifiés de « secondaires » ; les overdoses d’antidouleurs tuent plus que l’héroïne et la cocaïne réunies ; l’abus de médicaments a pollué jusqu’à l’eau du robinet, devenue un cocktail de Prozac, d’antibiotiques, d’anticancéreux et de perturbateurs endocriniens. Extraits de "Big pharma", (2/2).


Les vendeurs de maladie Documentaire sur les pratiques de l'industrie pharmaceutique
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Les vendeurs de maladie Documentaire sur les pratiques de l'industrie pharmaceutique
- Comment ils inventent des maladies pour faire peur et angoisser la population par la publicité, dans le but de vendre des médicaments pour faire du fric sur le dos des gens et des malades.

Jusque dans les années 1980, l'industrie pharmaceutique orientait ses efforts vers la guérison des maladies existantes, même si les pathologies affectant les populations pauvres, comme la malaria, étaient négligées parce que peu rentables. Désormais, la tendance s'est inversée. Pour garantir leurs retours sur investissement et recycler leurs médicaments, les firmes inventent des pathologies sur mesure, si possible chroniques. Une publicité déguisée en information médicale, doublée d'un intense lobbying, se charge de les "vendre" au grand public et aux praticiens. Ce film - auquel l'industrie a refusé de participer - démonte les mécanismes d'une médecine sous l'emprise du marché.
 

 
 


Le spot publicitaire de Pfizer n’est qu’un exemple parmi d’autres de ce que les marketeurs pharmaceutiques appellent des « unbranded campaigns », c’est-à-dire des campagnes où il n’est pas fait explicitement mention de la marque (brand) qui est promue. Tout comme dans les campagnes de prévention et de sensibilisation sponsorisées par les autorités de santé nationales ou internationales, on nous apprend simplement à reconnaître les signes de maladies dont nous ignorions jusque-là la gravité, la prévalence et peut-être même l’existence.


Les laboratoires pharmaceutiques "décident" des maladies qui vont nous atteindre dans les années à venir...

 

LE PATIENT. – Quand j’ai dîné, il y a des fois que je sens une espèce de démangeaison ici. Ça me chatouille, ou plutôt ça me gratouille.

 
LE DOC. – Attention. Ne confondons pas. Est-ce que ça vous chatouille, ou est-ce que ça vous grattouille ?
LE PATIENT. – ça me grattouille. Mais ça me chatouille bien un peu aussi…
LE DOC. – Est-ce que ça ne vous grattouille pas davantage quand vous avez mangé de la tête de veau à la vinaigrette ?
LE PATIENT. – Je n’en mange jamais. Mais il me semble que si j’en mangeais, effectivement, ça me grattouillerait plus.
http://www.amazon.fr/Big-pharma-industrie-toute-puissante-notre/dp/2352042593/ref=sr_1_1?ie=UTF8&qid=1383837350&sr=8-1&keywords=Big+pharma&tag=a0660-21Après les dangers du sida, du tabac et de l’hypertension, voici donc ceux de la fibromyalgie, du reflux gastro-oesophagien, du syndrome des jambes agitées, du syndrome du côlon irritable, du syndrome métabolique, de la vessie hyperactive, de l’andropause, du papillomavirus, de l’ostéopénie, de la préhypertension, du prédiabète, de la dysfonction érectile, de la dysfonction sexuelle féminine, de la spondylarthrite ankylosante. Depuis une trentaine d’années, il ne se passe pas de jour qu’on n’apprenne l’existence d’une nouvelle maladie ou la gravité insoupçonnée d’un « facteur de risque ». C’est vrai notamment dans le domaine psychiatrique, où l’on a assisté à une véritable explosion de troubles psychiques inconnus ou précédemment négligés : le trouble  bipolaire, le syndrome dysphorique prémenstruel, le syndrome de fatigue chronique, le stress post-traumatique, le trouble du déficit d’attention avec hyperactivité (d’ordinaire réservé aux enfants et aux adolescents, mais étendu à présent aux adultes), le trouble affectif saisonnier, la phobie sociale (naguère appelée « timidité », rebaptisée depuis « trouble d’anxiété sociale »), les attaques de panique, la boulimie nerveuse ou encore le trouble de l’expression involontaire des émotions.
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Le nombre des troubles mentaux répertoriés dans le DSM, le manuel diagnostique de l’Association américaine de psychiatrie, ne cesse d’ailleurs d’augmenter à chaque nouvelle édition. Le DSM-I, qui date de 1952, en comptait 106. Le DSM-III, sorti en 1980, en comptait d.j. 265. Quatorze ans plus tard, le DSM-IV portait ce nombre à 297. Le récent DSM-V a encore ajouté de nouvelles catégories diagnostiques telles que le « trouble neurocognitif mineur », l’ « ingestion alimentaire excessive », le « trouble de la dérégulation d’humeur avec dysphorie », sans oublier le « trouble de l’accumulation » qui affecte les malheureux qui ont du mal à se débarrasser des objets.
Comment expliquer dès lors cette multiplication générale de maladies, de syndromes et de facteurs de risques ? Est-ce la science médicale qui progresse et découvre chaque jour, pour notre plus grand bien, des morbidités contre lesquelles il convient de lutter à coup de traitements ciblés ou de campagnes de prévention, sur le modèle des antibiotiques et des vaccinations ? Ou bien n’est-ce pas plutôt qu’on assiste à une vaste entreprise de marketing destinée à nous convaincre d’être plus malades que nous ne le sommes afin de nous vendre toujours plus de médicaments ?
Extrait de "Big pharma", Coordonné par Mikkel Borch-Jacobsen, (Les Arènes Editions), 2013. Pour vous procurer ce livre, cliquez ici.

 
e spot publicitaire de Pfizer n’est qu’un exemple parmi d’autres de ce que les marketeurs pharmaceutiques appellent des « unbranded campaigns », c’est-à-dire des campagnes où il n’est pas fait explicitement mention de la marque (brand) qui est promue. Tout comme dans les campagnes de prévention et de sensibilisation sponsorisées par les autorités de santé nationales ou internationales, on nous apprend simplement à reconnaître les signes de maladies dont nous ignorions jusque-là la gravité, la prévalence et peut-être même l’existence.
LE TAMBOUR. – Quand j’ai dîné, il y a des fois que je sens une espèce de démangeaison ici. Ça me chatouille, ou plutôt ça me gratouille.
KNOCK. – Attention. Ne confondons pas. Est-ce que ça vous chatouille, ou est-ce que ça vous grattouille ?
LE TAMBOUR. – ça me grattouille. Mais ça me chatouille bien un peu aussi…

KNOCK. – Est-ce que ça ne vous grattouille pas davantage quand vous avez mangé de la tête de veau à la vinaigrette ?
LE TAMBOUR. – Je n’en mange jamais. Mais il me semble que si j’en mangeais, effectivement, ça me grattouillerait plus.
Après les dangers du sida, du tabac et de l’hypertension, voici donc ceux de la fibromyalgie, du reflux gastro-oesophagien, du syndrome des jambes agitées, du syndrome du côlon irritable, du syndrome métabolique, de la vessie hyperactive, de l’andropause, du papillomavirus, de l’ostéopénie, de la préhypertension, du prédiabète, de la dysfonction érectile, de la dysfonction sexuelle féminine, de la spondylarthrite ankylosante. Depuis une trentaine d’années, il ne se passe pas de jour qu’on n’apprenne l’existence d’une nouvelle maladie ou la gravité insoupçonnée d’un « facteur de risque ». C’est vrai notamment dans le domaine psychiatrique, où l’on a assisté à une véritable explosion de troubles psychiques inconnus ou précédemment négligés : le trouble  bipolaire, le syndrome dysphorique prémenstruel, le syndrome de fatigue chronique, le stress post-traumatique, le trouble du déficit d’attention avec hyperactivité (d’ordinaire réservé aux enfants et aux adolescents, mais étendu à présent aux adultes), le trouble affectif saisonnier, la phobie sociale (naguère appelée « timidité », rebaptisée depuis « trouble d’anxiété sociale »), les attaques de panique, la boulimie nerveuse ou encore le trouble de l’expression involontaire des émotions.
Le nombre des troubles mentaux répertoriés dans le DSM, le manuel diagnostique de l’Association américaine de psychiatrie, ne cesse d’ailleurs d’augmenter à chaque nouvelle édition. Le DSM-I, qui date de 1952, en comptait 106. Le DSM-III, sorti en 1980, en comptait d.j. 265. Quatorze ans plus tard, le DSM-IV portait ce nombre à 297. Le récent DSM-V a encore ajouté de nouvelles catégories diagnostiques telles que le « trouble neurocognitif mineur », l’ « ingestion alimentaire excessive », le « trouble de la dérégulation d’humeur avec dysphorie », sans oublier le « trouble de l’accumulation » qui affecte les malheureux qui ont du mal à se débarrasser des objets.
Comment expliquer dès lors cette multiplication générale de maladies, de syndromes et de facteurs de risques ? Est-ce la science médicale qui progresse et découvre chaque jour, pour notre plus grand bien, des morbidités contre lesquelles il convient de lutter à coup de traitements ciblés ou de campagnes de prévention, sur le modèle des antibiotiques et des vaccinations ? Ou bien n’est-ce pas plutôt qu’on assiste à une vaste entreprise de marketing destinée à nous convaincre d’être plus malades que nous ne le sommes afin de nous vendre toujours plus de médicaments ?

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Les infiltrés France 2 _ Laboratoires pharmaceutiques - Un lobby en pleine santé
 

Silence ! On vaccine ! (documentaire de Lina Moreco)

Par Lina B. Moreco :  
vaccinedoc@hotmail.com
 
"Silence, on vaccine n’est pas mon premier sujet délicat, mes autres films touchaient aussi à quelque chose de particulier : le droit de vivre la fin de sa vie tout comme le début de sa vie sans acharnement thérapeutique.  Le droit de prendre le contrôle sur son corps, de ne pas se soumettre à des protocoles de santé qui ne nous conviennent pas.
 
Avec Silence, on vaccine, j’ai eu l’impression de me retrouver au Moyen Âge entrain de questionner l’existence de Dieu.   Combien de fois on m’a dit : « Tu devrais pas parler des vaccins, ils ont sauvé des vies. » ou bien  « On ne doit pas remettre en question l’efficacité des vaccins, c’est dangereux…»  
 
Quelles sont les conséquences de ce silence ?
 
Ne pas avoir le droit de parler d’un sujet peu importe la société où l’on vit empêche toute personne de s’exprimer librement.  La discussion n’a pas d’espace.  C’est ce qui explique le peu de médecins du Québec, pédiatres ou autres, de médecine traditionnelle dans mon film.  Pour ceux avec qui j’ai eu des discussions, ceux qui  acceptent de ne pas vacciner selon le calendrier proposé, ceux qui discutent avec les parents sans user de leur autorité professionnelle – eux,  ils ne pouvaient pas raconter ouvertement leur point de vue devant la caméra.  Prisonniers du tabou.
 
Le silence réduit au silence et à l’ignorance.
 

Alors quand on me dit que peu de personnes sont atteintes de  maladies à la suite de vaccins, je pose la question suivante : comment peut-on connaître la non-existence de quelque chose si on n’a pas le droit d’en parler librement ?
 
Les réponses sont : plusieurs études scientifiques démontrent qu’il n’y a pas de liens de causalité entre la vaccination et l’apparition de maladies. Bon, il faudrait aussi rajouter : que toutes les études sont faites sur des personnes vaccinées.  Il n’existe aucun groupe contrôle, tel qu’on en voit dans un laboratoire – que ces études sont financées par l’industrie pharmaceutique,  que lorsqu’un médecin tel que le Docteur Chérin au sein de mon film, ose écrire sur le sujet, il voit sa crédibilité de spécialiste mise en doute.  
 
Dire qu’il n’y a pas de lien revient au même que de dire : dans le cadre d’une étude opposant un groupe de personnes fumant deux paquets de cigarettes par jour  et un autre fumant un seul paquet par jour, on retrouve le même type de maladies du poumon, conséquemment, il n’y a pas de lien entre la cigarette et le cancer du poumon.  Une hypothèse comme celle-ci était crédible durant les années 1970.  
 
On peut en débattre, je le sais, mais il est évident que de ne pas poser de questions, ou bien, de ne pas vouloir savoir, laisse la porte grande ouverte à un autre malaise  qui est bien évoqué par le Congressman Dan Burton au sein du documentaire : « sommes-nous en train de laisser une trop grande place à l’industrie pharmaceutique dans le processus de décisions qui affecte notre  vie ? »
 
J’aimerais rajouter ceci : sommes-nous en train de laisser le sort de notre immunité naturelle aux mains d’une industrie qui voit dans la production et l’invention des vaccins un simple moyen de faire du profit ?  Les enfants qui naissent aujourd’hui pourront-ils survivre ou vivre sans se soumettre à un calendrier vaccinal de plus en plus imposant ?  Pourront-ils vivre sans vaccins?"
 
 
D'autres oppinions plus bas:

Le côté obscure des vaccins - Ce qu'on ne vous dit pas

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La santé des enfants NON vaccinés - Dr Berthoud

 
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Questions à la une - Pour ou contre les vaccins - Serons-nous bientôt tous allergiques - RTBF
 
 
 
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Vaccins et aluminium=Danger: Myofasciite à macrophages.
 
 

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