Une banane par jour contre les AVC
Il l'a martelé en 2011, et aujourd'hui l'Organisation mondiale de la santé (OMS) lui donne raison. Philipe Katerine voulait qu'on le laisse "manger sa banane", et pour cause : riche en potassium, ce fruit exotique permettrait de réduire le risque d'accidents cardio-vasculaires et d'AVC, selon une étude publiée par l'OMS.
Un fruit riche en potassium
Selon des chercheurs du département Nutrition de l'OMS, les risques d'AVS pourraient diminuer de 24 % grâce au potassium contenu dans les bananes. Cela représente 420 mg, sachant que l'apport journalier recommandé (AJR) pour la santé de notre activité cardiaque varie entre 2 et 4 grammes.
Alors, aussi loufoque que soit la chanson de Philippe Katerine, suivez ses bons conseils ! Nu sur une plage, ou comme bon vous semblera.
Contre-indications
Les suppléments de potassium (et non le potassium de source alimentaire) sont contre-indiqués chez:
- Les femmes enceintes qui souffrent de pré- éclampsie (prudence)*;
- Les individus ayants une obstruction de l'intestin ou de l'œsophage;
- Les individus souffrants de la maladie d'Addison (insuffisance surrénale);
- Les individus ayants des troubles de la motilité gastro-intestinale (diarrhée, constipation, par exemple).
La cigarette retarde la guérison des fractures
Le sel provoque 2,3 millions de morts par an !
Nous en consommons, en moyenne, quatre fois plus que nos besoins de base. Nous mangeons trop de sel. En tout cas, beaucoup plus qu’il n’est nécessaire à notre organisme. Cet excès serait même responsable de 2,3 millions de morts chaque année dans le monde, selon une étude collaborative internationale qui a impliqué 488 scientifiques de 50 pays différents. Les chercheurs ont même calculé que l’on pourrait éviter entre 280 000 et 500 000 morts sur une période de dix ans en réduisant à moins de 1,5 g de sel par jour la consommation des Américains. Elle est aujourd’hui de 3,6 g/j en moyenne, plus basse qu’en Europe. En France, par exemple, la consommation de sel est d’environ 10 g/j pour les hommes, et 8 g/j pour les femmes, selon l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail (ANSES. Selon les nutritionnistes, il ne faudrait pas dépasser 8 g/j pour un homme et 6,5 g/j pour une femme. L’Organisation mondiale de la santé recommande une consommation maximale de 5 g de sel par jour. En réalité, il est difficile de fixer un seuil car l’accroissement du risque pour la santé est plutôt le résultat d’un continuum que d’un effet-seuil. L’effet néfaste du sel sur la santé passe en particulier par l’augmentation de la pression artérielle qu’entraîne une consommation excessive. Plus on mange de sel, plus la pression artérielle augmente. Pour le Pr Blacher, il ne fait aucun doute que « plus on mange de sel et plus on augmente son risque d’accident vasculaire cérébral. Pour l’infarctus du myocarde, c’est un peu moins net, mais le risque existe aussi ». Le plus encourageant, c’est que l’effet du sel peut être corrigé. « Quand un hypertendu qui consomme trop de sel réduit sa consommation, il fait baisser son hypertension », explique le Pr Blacher.Stress au travail : Le singe nous l’explique
Cette étude de l’Université de Manchester et de Liverpool sur le singe, illustre pourquoi ce sont les classes sociales intermédiaires qui souffrent le plus du stress. Facteurs de ce stress, le conflit social et la hiérarchie. Comme le singe au milieu de la hiérarchie de son groupe présente les niveaux les plus élevés d’hormone du stress, le cadre intermédiaire est celui qui, entre sa direction et son équipe, est le plus exposé au stress au travail. Les chercheurs ont observé durant près de 600 heures des femelles macaques de Barbarie à Trentham Monkey Forest, dans le Staffordshire. La recherche consistait à surveiller une seule femelle sur une journée en enregistrant toutes les situations de comportement social comme les menaces, les poursuites, les gifles, un comportement de soumission, les déplacements, les cris, les grimaces, le fait de tourner le dos, de claquer des dents, les embrassades et le toilettage. Puis, le jour suivant, les chercheurs évaluaient les niveaux d’hormones du stress à partir d’échantillons fécaux de la femelle. Les chercheurs enregistrent le plus haut niveau d’hormones de stress les jours qui suivent un comportement agressif mais n’identifient aucun lien entre la baisse des niveaux d’hormones de stress et un comportement affiliatif ou social comme le toilettage. Autre résultat plus frappant, ce sont les singes situés au milieu de la hiérarchie sociale du groupe qui présentent les plus hauts niveaux d’hormones de stress. Les chercheurs constatent que les singes du milieu de la hiérarchie sont impliqués à la fois dans des conflits « de dessous » et des conflits de « dessus ». Ces macaques se montrent aussi plus susceptibles d’être repoussés par les singes dominants et de se remettre en question. Des résultats qui pourraient être appliqués au comportement humain ? « Il est possible d’appliquer ces résultats à d’autres espèces sociales, y compris aux hiérarchies humaines et en milieu professionnel. Les cadres intermédiaires peuvent avoir des niveaux plus élevés d’hormones de stress par rapport aux dirigeants et par rapport à leurs équipes. Pour progresser, ils devront relever de nouveaux défis, tout en maintenant leur autorité sur leurs collaborateurs".Antenne-relais des téléphonies mobiles perturbe le sommeil
Recette maison purifiante
1 concombre anglais coupé en rondelles avec la pelure
1 pamplemousse rose épluché a vif coupé grossièrement
1 tangerine épluchée a vif coupé grossièrement
15 feuilles de menthe verte (ou plus selon le goût)
Le tout dans un gros pichet
Remplir avec de l’eau et de la glace
Le mélange se conserve une semaine au frigo
Rajouter de l’eau selon la consommation
Servir = 1 grand verre (500 ml) AC mais pas HS
1 concombre anglais coupé en rondelles avec la pelure
1 pamplemousse rose épluché a vif coupé grossièrement
1 tangerine épluchée a vif coupé grossièrement
15 feuilles de menthe verte (ou plus selon le goût)
Le tout dans un gros pichet
Remplir avec de l’eau et de la glace
Le mélange se conserve une semaine au frigo
Rajouter de l’eau selon la consommation
Servir = 1 grand verre (500 ml) AC mais pas HS
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