
Il a fallu des années avant que le sucre raffiné ne soit mis en cause officiellement pour son rôle déterminant dans le développement de l’obésité et comme étant le déclencheur de nombreuses maladies.
Pour palier à cet inconvénient, les industriels de l’agroalimentaire propose un panel de produits à base d’édulcorants de synthèse, dont l’aspartame, qui présente pour eux l’avantage d’être moins cher à produire, tout en offrant un pouvoir sucrant environ 200 fois supérieur à celui du sucre (saccharose) et de plus de n’apporter que 4 kcal/g.
Cet édulcorant est présent dans près de 5 000 produits (boissons « light », produits laitiers allégés, confiseries, pâtisseries, confitures...). Mais seul bémol à ce produit miracle, c’est qu’il se révèle être un poison plus dangereux que le sucre raffiné.
Tous les sucres sont-ils des poisons ?
Le sucre, en tant que substance naturelle, n'est pas dangereux mais vital pour le métabolisme des plantes, des animaux et des humains. On retrouve des sucres simples d'origines naturelles et inoffensifs comme le maltose ou sucre de malt, le fructose ou sucre de fruits, le lactose ou sucre de lait. Il y a aussi des sucres lents aussi appelés sucres « complexes », qui se retrouvent dans le pain, les pâtes, les pommes de terre et toutes les céréales. Les sucres contenus dans les légumes et la plupart des fruits sont des sucres rapides mais tant qu'aucun processus de raffinage n'est intervenu dans leur fabrication, ces sucres ne causent aucun dommage à l'organisme.
Effet du sucre raffiné sur l’organisme.
Dans les aliments non raffinés, les fruits par exemple, les sucres sont accompagnés de vitamines B1 et de minéraux indispensables à leur métabolisme. Le sucre raffiné en est malheureusement complètement dépourvu et produit en plus un excès d’acidité qui oblige le corps à puiser ces vitamines et minéraux dans ses propres réserves pour corriger ce déséquilibre.
Peut-on considérer le sucre comme une drogue ?

Une fois ingéré, l'aspartame se transforme en divers poisons qui sont la phénylalanine, le méthanol et la dicétopipérazine.
- La phénylalanine est un acide aminé que l'on trouve dans le cerveau humain. D’après le Dr. Louis Elsas, professeur de pédiatrie (Université d'Emory, Georgie, USA), la phénylalanine se concentre dans le placenta et peut provoquer des cas d'arriération mentale. Une seule prise d'aspartame suffit à faire monter les niveaux de phénylalanine au niveau cérébral. Sa consommation régulière fait chuter l’hormone cérébrale de la bonne humeur (la sérotonine), conduisant jusqu’à des désordres émotionnels comme la dépression. Une consommation chronique d'aspartame va, quant à elle, modifier la chimie cérébrale entraînant des pertes de mémoire voire même une destruction des neurones comme on peut le constater dans la maladie d'Alzheimer.

-La dicétopipérazine, s’implique dans les tumeurs du cerveau et des polypes utérins.
Symptômes courants
Une consommation abusive d’aspartame peut entraîner des symptômes tels que
maux de tête, douleurs de type fibromyalgie, spasmes, vertiges, nausées, acouphènes, lancements ou engourdissements des jambes, crampes, frissons, douleurs articulaires, dépressions, crises d'angoisse, discours incohérents, vision trouble, pertes de mémoire. On peut aussi déceler des maladies plus grave comme la fibromyalgie, l’arthrite, la sclérose en plaques, la maladie de Parkinson, le lupus, l’épilepsie, des troubles psychologiques, la maladie d'Alzheimer.
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