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29 janv. 2013

Différence entre PTT et PT

PTT vs PT
(Cet article contient du matériel traduit d`anglais par Google Translation)
PTT est «temps de céphaline», et PT est «temps de prothrombine. Tant PTT et PT sont des tests utilisés pour mesurer le temps nécessaire pour la coagulation du sang. Ces deux tests sont principalement effectuées pour vérifier les problèmes de saignement ou les chances de saignements excessifs pendant la chirurgie.Le PT mesure de la voie extrinsèque de la coagulation par le calcul du taux de prothrombine ainsi que le rapport international normalisé. Les facteurs de coagulation tels que I, II, V, VII et X sont penchés sur du temps de prothrombine. Le PT détermine également les niveaux de la warfarine et la position vitamine K. La valeur normale PT est de 11 à 16 secondes.Le PTT est une mesure de la voie de coagulation intrinsèque et la voie de coagulation commun. Le test du temps de thromboplastine partielle mesure également le niveau d'héparine dans le corps d'un patient dans le cas où est présent dans la thérapie anti-coagulation. Les facteurs de coagulation qui sont notées dans un test PTT sont: I, II, V, VIII, IX, X, XI et XII. La valeur normale PTT est de 25 à 39 secondes.



Le PTT est appelé partielle en raison de l'absence du facteur tissulaire. Le PT est le temps nécessaire pour que le plasma du caillot après le facteur tissulaire est ajouté.Le temps de prothrombine est mesurée pour déterminer la cause du saignement anormal ou meurtrissure et de vérifier si les médicaments pour éclaircir le sang vont fonctionner (héparine). Il est également utilisé pour vérifier les facteurs qui conduisent à la formation d'un caillot de sang, vérifier les niveaux bas de vitamine K, et vérifier les fonctions du foie.Temps de céphaline (PTT) est également mesurée pour déterminer la cause du saignement anormal et vérifier les facteurs qui conduisent à la formation de caillots sanguins qui provoquent des troubles de la coagulation. Il se penche également sur la minuterie pour un caillot de sang avant toute intervention chirurgicale et pour voir si le bon dosage de l'anti-coagulation médicament est utilisé.Résumé:1. PTT est «temps de thromboplastine partielle» et PT est «temps de prothrombine».2. Le PT mesure de la voie extrinsèque de la coagulation par le calcul du taux de prothrombine ainsi que le rapport international normalisé.3. Le PTT est une mesure de la voie de coagulation intrinsèque et la voie de coagulation commun.4. Les facteurs de coagulation tels que I, II, V, VII et X sont penchés sur le temps de prothrombine. Les facteurs de coagulation qui sont notées dans PTT sont I, II, V, VIII, IX, X, XI et XII.5. Le PT détermine également les niveaux de la warfarine et la position vitamine K. Le temps de céphaline mesure le niveau d'héparine dans le corps.6. La valeur normale PT est de 11 à 16 secondes. La valeur normale PTT est de 25 à 39 secondes.

Expression des résultats du temps de prothrombine

L’expression des résultats du TP varie en fonction des régions. Dans les pays anglo-saxons, le TP est exprimé généralement en secondes, correspondant au temps de coagulation du patient ou dans le rapport [temps de coagulation du patient/temps de coagulation du plasma de référence]. Dans la plupart des pays européens, le résultat du TP est exprimé en pour cent : le temps de coagulation obtenu est rapporté sur une courbe de calibration obtenue en diluant le plasma de référence (proche de 100%) et en mesurant le temps de coagulation de ces dilutions. Une approche introduite récemment consiste à établir cette courbe de calibration à partir d’un set de plasmas calibrés en pour cent par le fabricant de la thromboplastine. Les deux méthodes présentent des inconvénients. Vu la diversité des thromboplastines présentes sur le marché et leurs différences (origine de l’espèce, extraites ou recombinantes, composition des phospholipides, force ionique, etc.), les thromboplastines présentent des sensibilités différentes aux déficiences factorielles et aux facteurs partiellement décarboxylés induits par l’ingestion d’antivitamine K.1 De ce fait, pour un même patient et un même plasma de référence, les temps de coagulation obtenus avec différentes thromboplastines vont varier. La méthode en pour cent est également sujette aux contraintes exposées ci-dessus. De plus, elle introduit un biais supplémentaire dans la mesure où dans la courbe de calibration tous les facteurs, ainsi que le fibrinogène, sont dilués d’un même taux alors que ce n’est en général pas le cas chez les patients. Dès lors, pour toutes les raisons exposées ci-dessus, les résultats obtenus avec différents réactifs ne sont pas semblables quel que soit leur mode d’expression.

International normalized ratio (INR)

Cette différence de résultats selon la méthode et le réactif utilisés s’est révélée particulièrement délicate pour les patients sous traitement par des antivitamines K dans la mesure où leur traitement est ajusté avec le résultat du TP : les intervalles thérapeutiques, exprimés en secondes ou en pour cent, varient en effet d’un réactif à l’autre. Sous l’égide de l’OMS, un système de calibration des réactifs de TP a été développé afin de diminuer les différences dans les résultats observés.2 Les réactifs commerciaux ont été comparés à l’une des quatre thromboplastines de référence de l’OMS en fonction de leur origine (humaine, lapin, bovine, combinée) à l’aide de 20 sujets normaux et de 60 plasmas de patients sous anticoagulation orale stable. Un Indice de Sensibilité International (ISI) a été obtenu pour chaque thromboplastine commerciale. Cet ISI permet de calculer un International Normalized Ratio (INR) calculé à partir du temps de coagulation du patient, de celui du plasma de référence et de l’ISI. C’est la raison pour laquelle les résultats des TP de patients sous anticoagulation orale sont exprimés exclusivement en INR et non plus en pour cent ou en secondes. Le système de l’INR est loin d’être parfait mais il représente une avancée majeure dans la sécurité des traitements par anticoagulants oraux. Par exemple, pour une thromboplastine donnée, l’ISI peut dépendre en partie du coagulomètre utilisé. Dès lors, pour chaque thromboplastine du fabricant (et pour chaque lot de celle-ci), un ISI spécifique à ses appareils est généralement fourni. Alternativement, il est possible également de se procurer des sets de plasmas calibrateurs dont la valeur en INR est fournie par le fabricant pour une thromboplastine et un coagulomètre donné. De plus, il faut tenir compte de la variation interindividuelle : pour une même intensité d’anticoagulation, les taux relatifs des facteurs vitamino-K dépendants actifs varient en effet d’un individu à un autre. En outre, les facteurs (FVII, FX et prothrombine) décarboxylés ou partiellement carboxylés induits par le traitement présentent une réactivité qui diffère en fonction de la thromboplastine utilisée. Lors des enquêtes de qualité externes, les résultats sont groupés par type de thromboplastine pour tenir compte de ces différences que le système d’harmonisation ISI/INR ne parvient pas à éliminer.
Malgré les limites de cette harmonisation, l’INR représente un progrès majeur.

Temps de prothrombine et déficits en facteurs

En l’absence de traitement par les antivitamines K, un allongement du TP indique un déficit acquis3,4 ou héréditaire dans un ou plusieurs facteurs de la voie extrinsèque (FV, FVII, FX, prothrombine) ou un taux de fibrinogène inférieur à 0,8 g/l. Pour les raisons décrites plus haut, le retentissement de ce(s) déficit(s) sur le temps de coagulation est fonction de la thromboplastine utilisée. Une étude récente a montré que la concentration relative en phosphatidylsérine dans le mélange utilisé pour la recalcification du facteur tissulaire jouait un rôle important dans la sensibilité aux déficits factoriels, particulièrement pour la prothrombine et le facteur VII.5 Des thromboplastines ayant un ISI similaire peuvent différer dans la sensibilité aux déficits factoriels.

Conclusion

Le temps de prothrombine demeure le test d’hémostase le plus pratiqué. Les réactifs de thromboplastine ont évolué en fonction des connaissances accumulées sur la structure et les fonctions du facteur tissulaire. Il subsiste cependant le problème de la grande diversité des thromboplastines disponibles dans le commerce et l’absence d’une méthode uniforme d’expression des résultats. Il faut souligner les grands efforts d’harmonisation qui ont conduit à l’établissement de l’INR et à sa généralisation à travers le monde. Il est à souhaiter que la variante hépatique de l’ISI connaisse le même développement.

Généralités

Les deux tests de mesure des facteurs de coagulation

A. Le test du temps de prothrombine, (PT) exprimé en ratio : RNI (INR est en anglais)

* Ce test contrôle la réponse à l'administration d'anticoagulants par voie orale (Warfarine ou Coumadin et Acénocoumarol ou Sintrom)
* La valeur normale de l'RNI est de 0,8 à 1,2 secondes (temps nécessaire pour qu'un caillot se forme dans un échantillon de plasma par comparaison avec un témoin standard)
* La valeur souhaitée chez l'usager traité est de 1,5 à 3 fois la valeur normale (selon la pathologie).

B. Le test du temps de céphaline, (PTT)

* Permet de contrôler une thérapie à l'héparine
* La valeur normale est de 25 à 35 secondes (temps pour former un caillot de fibrine après l'addition de calcium et d'une émulsion phospholipidique à un échantillon de plasma)
* La valeur souhaitée chez l'usager traité est de 1,5 à 2,5 fois la valeur normale (selon la pathologie).
* Le port de gants est recommandé pour un prélèvement sanguin pour protéger l'intervenant d'un contact avec le sang de l'usager
* La ponction veineuse doit être effectuée avec délicatesse sans exploration excessive de la veine pour éviter une hémolyse et la formation de thromboplastine tissulaire qui peuvent modifier le résultat
* D'autres causes d'hémolyse du spécimen sont :
- garrot laissé plus d'une minute
- présence d'alcool sur le site de ponction
- inversion trop brusque du tube
- Conservation du spécimen directement sur une surface de moins de 2ºC (glace ou sac réfrigérant


  • Éviter de prélever le sang sur le bras qui est utilisé pour une perfusion intraveineuse puisque cela peut causer une hémodilution : si l'autre bras n'est pas disponible (amputation, brulûre, etc.) prélever sur le bras avec perfusion en piquant plus bas que le site du soluté
  • Le ratio adéquat sang/anticoagulant dans le tube est essentiel à l'obtention d'un spécimen fiable et de qualité
  • Le non respect de la technique de prélèvement, de la conservation de l'échantillon et du temps de transport peuvent influer sur la qualité du résultat obtenu donc sur le traitement administré
  • Bien connaître les politiques du laboratoire avec lequel vous avez une entente de service quant aux délais de conservation du spécimen, les conditions de transport appropriées et les conditions particulières de conservation qu'exige l'analyse
  • Chez l'usager anticoagulé, prévenir et surveiller tout signe de saignement
  • Recommander à l'usager la prise de ses anticoagulants oraux en fin d'après-midi, après réception des résultats de laboratoire de ses facteurs de coagulation
  • Bien lui expliquer la raison de ses tests à répétition et le lien avec ses anticoagulants.
  • L'ordre de prélèvement des tubes dans le cas de plusieurs analyses est :
    1. Tube pour hémoculture
    2. Tube sans additif (bouchon rouge)
    3. Tube pour épreuve de coagulation avec citrate de sodium (bouchon bleu)
    4. Tubes avec d'autres additifs (noir, vert, lavande, gris)


    1. Ne pas prélever un tube destiné à l'analyse des électrolytes immédiatement après un tube contenant du citrate de sodium.

    2. Liste des anticoagulants pour traitement ou prophylaxie

      • Héparine I/V
      • Héparine S/C
      • Héparines à bas poids moléculaire (HBPM)
        • Tinzaparine : Innohep S/C
        • Daltéparine : Fragmin S/C
        • Enoxéparine : Lovenox S/C
        • Nadroparine : Fraxiparine S/C
        • Danaparoïde sodique : Orgaran S/C


        Concentrations sanguines vérifiées par le temps de céphaline : PTT .
        • Warfarine : Coumadin per os
        • Acénocoumarol : Sintrom per os
        Vérification du résultat du traitement PER OS est obtenu par le temps de prothrombine (PT) et le RNI (ratio normalisé international)
        (Tiré de : Guide clinique en soins infirmiers,CHUM, première édition, septembre 2001.)

        Techniques de soins

        Matériel requis
        • Gants non stériles
        • Garrot
        • Une seringue de 10 ml ou un appareil Vacutainer®
        • Tampons d'alcool à 70%
        • Aiguille 20 G ou 21 G pour le pli du coude ou plus petite pour la main ou pour les enfants (prendre les aiguilles spécialement conçues pour l'appareil Vacutainer® si utilisé)
        • Tube bleu contenant un anticoagulant, le citrate de sodium (tube spécifique pour les facteurs de coagulation)
        • Etiquettes d'identification pour tubes de laboratoire
        • Requête de laboratoire spécifique
        • Compresse 5 cm x 5 cm ou une boule d'ouate
        Procédure(s)
        • S'il y a plusieurs analyses, prélever le tube bleu en premier. Si le RNI est la seule analyse, il n'est pas nécessaire de jeter un premier tube de sang avant de remplir le bleu
        • Si des analyses spécialisées de coagulation sont demandées tel que le dosage de facteur, il est recommandé de rejeter le premier tube prélevé, ou d'éliminer les 5 premiers ml de sang avant de prélever le tube de coagulation
        • Remplir le tube bleu si possible au complet, jusqu'à ce que le volume requis soit atteint afin d'assurer un rapport sang-anticoagulant adéquat
        • Au retrait de l'aiguille, faire une compression de plusieurs minutes avec la compresse ou la ouate puisque l'usager anticoagulé est à risque de saigner
        • Pour assurer un mélange adéquat du sang avec l'additif, inverser le tube 5 à 10 fois délicatement
        • Si l'usager est difficile à piquer et qu'on ne peut obtenir la quantité maximale de sang, envoyer tout de même l'échantillon au laboratoire avec une note explicative
        • Identifier l'échantillon au nom de l'usager avec une étiquette correspondant au numéro de la requête de laboratoire
        • Conserver  le tube à la vertical dans un support et à une température constante, du prélèvement jusqu'à l'exécution de l'analyse soit à la température ambiante.  Pour les prélèvements faits dans un centre externe au laboratoire ou au domicile, placer le tube dans un sac isothermique pour le protéger des variations de température durant les saisons froides
        • Quand la compression est terminée, appliquer un sparadrap et aviser l'usager qu'il peut l'enlever dans une heure
        • Respecter la politique du laboratoire quant au délai entre le prélèvement et l'arrivée au laboratoire (entre 2 et 4 heures)
        • Si un hématome apparaît au site d'injection, appliquer de la chaleur pour diminuer l'inconfort.
        Notes au dossier

        Si la ponction veineuse est faite sur l'unité de soins ou à domicile, noter :
        • La date et l'heure
        • Le nom du (ou des) test(s) fait(s)
        • Le site de ponction (gauche ou droit)
        • Le laboratoire où il a été envoyé (si pertinent)
        • Les réactions de l'usager si particularités.
        Quelques définitions (mots clé "Saignement", "hémorragie") :


         Définition > AVK - Antivitamine K

        Définition > AVK - Antivitamine KLa dose efficace d'AVK nécessaire à chaque patient, est délicate à déterminer. Pour évaluer l'action de ces médicaments sur la fluidité du sang, les médecins recourent à l'INR ( International Normalised Ratio ). Sa détermination repose sur des prises de sang régulières durant le traitement, ce qui constitue une réelle contrainte.  [...] Avec les AVK, les médecins veillent particulièrement au risque de saignements. C'est pourquoi l'INR doit être ni trop élevé (signe que le traitement est certes efficace mais avec un risque hémorragique non négligeable), ni trop faible.  [...]

         Définition > Héparine de bas poids moléculaire - HBPM

        Définition > Héparine de bas poids moléculaire - HBPM
        Obtenues à partir d' héparines non fractionnées, les héparines de bas poids moléculaires (HBPM) appartiennent elles aussi à la classe des anticoagulants injectables. Elles diffèrent des héparines standard par leur structure et leur poids moléculaire. Comme leurs cousines, les HBPM sont également indiquées en prévention, et pour la prise en charge des accidents thromboemboliques veineux et artériels ( thromboses, embolies pulmonaires…).   [...] Comme pour l'ensemble des anticoagulants, le risque de saignements doit être surveillé. En revanche, les médecins estiment généralement que les HBPM sont plus faciles à manier que les héparines standard, dans la mesure où elles sont administrées en injections sous-cutanées.  [...]

         Actualité > Détartrez vos dents, c'est bon pour le coeur !


        Actualité > Détartrez vos dents, c'est bon pour le coeur !Une autre étude suédoise ayant porté sur près de 8.000 participants, présentée également à Orlando dimanche, montre également que les maladies des gencives sont de bons indicateurs des risques cardiovasculaires et d'attaque cérébrale. Ainsi les personnes comptant moins de 21 dents sur le nombre normal de 32 avaient dans cette recherche un accroissement de 69 % du risque d'attaque cardiaque comparé à ceux qui avaient le plus de dents.  [...] Enfin, les sujets de l'étude dont les saignements des gencives était les plus fréquents avaient un risque d'attaque cérébrale multiplié par 2,1 comparé à ceux qui en avaient le moins.  [...]

         Définition > Héparine non fractionnée - Héparine standard


        Elles sont indiquées dans la prévention et la prise en charge des accidents thromboemboliques veineux et artériels ( thromboses, embolies pulmonaires…). Il s'agit le plus souvent de traitements d'attente, avant une prise en charge par anticoagulants oraux.   [...] Comme pour l'ensemble des anticoagulants, le risque de saignements doit être surveillé. Les spécialistes décrivent également une baisse du taux des plaquettes et encore des réactions allergiques. À noter que ce traitement nécessite une surveillance rapprochée par TCA (Temps de céphaline avec activateur).  [...]

         Définition > Inhibiteur direct de la thrombine


        Définition > Inhibiteur direct de la thrombine  Les inhibiteurs directs de la thrombine sont les anticoagulants par voie orale les plus récents. Leur première indication est la prévention de phlébite consécutivement à une chirurgie de la hanche ou du genou. C'est pourtant une classe thérapeutique en développement et dans les mois qui viennent, cette indication pourrait se voir étendre aux patients souffrant de fibrillation auriculaire, un des troubles du rythme cardiaque les plus fréquents.   [...] Comme pour l'ensemble des anticoagulants, le risque de saignements est à surveiller de près. Des troubles digestifs sont aussi parfois rapportés. Mais contrairement aux antivitamines K (les AVK), l'intérêt de ces médicaments est de ne nécessiter aucun suivi des facteurs de coagulation par mesure répétée des INR ( International Normalised Ratio ).  [...]

         Définition > Inhibiteur du facteur X


        Définition > Inhibiteur du facteur X Le facteur X est une protéine qui participe à l'hémostase, le processus qui permet d'interrompre le saignement. Une part essentielle de la coagulation sanguine… Les inhibiteurs du facteur X vont donc agir de façon sélective sur cette protéine, qui joue un rôle majeur dans la cascade métabolique aboutissant à la formation d'un thrombus.  [...] Comme pour l'ensemble des anticoagulants, le risque de saignements est à surveiller de près. Les inhibiteurs du facteur X doivent aussi être utilisés avec prudence en cas d' insuffisance rénale sévère. En revanche, ils ne nécessitent pas de surveillance pluriquotidienne du TCA (Temps de Céphaline avec Activateur), comme c'est le cas avec d'autres anticoagulants.  [...]

         Actualité > Les antidépresseurs augmentent les risques d’hémorragies cérébrales


        Actualité > Les antidépresseurs augmentent les risques d’hémorragies cérébralesParmi les ISRS les plus célèbres, on trouve la fluoxétine – le principe actif du Prozac – ainsi que la sertraline, le citalopram ou la paroxétine. Ceux-ci étaient déjà connus pour les risques de saignements à l' estomac que leur consommation engendre, mais des travaux contradictoires ne permettaient pas de conclure quant à leur effet sur le cerveau.  [...] Cette tache blanche dans le cerveau met en évidence du sang consécutif à une hémorragie cérébrale, entraînant la formation d'un oedème (flèche du haut). En plus des risques de compression de l' encéphale, ces saignements empêchent les nutriments et l'oxygène de parvenir jusqu'à certains neurones qui finissent par dégénérer. James Heilman, Wikipédia, cc by sa 3.0.  [...]

         Dossier > Inhibiteurs de cyclooxygénases


        Les conséquences de la fixation de l'aspirine sur COX-1 et COX-2 sont différentes. La sérine acétylée provoque une saillie dans le canal hydrophobe et empêche la formation de PGG 2 pour les deux isoformes. Mais, alors qu'elle provoque un blocage complet au niveau du site actif de COX-1, elle permet la biotransformation de l'acide arachidonique en 15-R-HETE par un nouveau mode de fonctionnement de la COX-2 (Terlain B. et al., 1996).   [...] Plus récemment, il a été constaté que les risques de saignements au niveau du tractus gastro-intestinal ne sont pas différents de ceux causés par l'utilisation des AINS d'ancienne génération (Garcia Rodriguez L.A. et al., 1998).  [...]

         Actualité > Cancer : faut-il prendre un peu d’aspirine tous les jours ?

        Actualité > Cancer : faut-il prendre un peu d’aspirine tous les jours ?
        Chez les 100.000 participants, on constatait certes une diminution de 10 % de l'apparition de maladies cardiovasculaires, mais aucune baisse significative de la mortalité et même, en contrepartie, 30 % de risques en plus de présenter des saignements internes.  [...] D'autre part, la dose utilisée dans ces études est faible, inférieure à celle contenue dans les cachets vendus en pharmacie. Rien n'indique qu'absorber une quantité supérieure aura davantage de répercussions bénéfiques sur la santé, en revanche tout porte à croire que cela augmentera les effets secondaires nocifs que le médicament peut engendrer, notamment concernant les maux d' estomac, mais aussi des saignements au niveau de l'estomac, des intestins et du cerveau.  [...]

         Dossier > Les symptômes de la fausse-couche

        Dossier > Les symptômes de la fausse-couche
        Lors d'une fausse-couche, l' endomètre se détruit, provoquant les saignements (comme pour les menstruations), et l'utérus expulse les tissus de grossesse en se contractant. DR.  [...] Habituellement, ces symptômes deviennent de moins en moins sévères et disparaissent en moins de 7 jours. Votre médecin peut vous recommander des médicaments pour aider à soulager la douleur comme de l' acétaminophène (Tylenol), de l' ibuprofène (Advil) ou de l' aspirine avec de la codéine (222).  [...]
        (Cet article contient du matériel traduit d`anglais par Google Translation)

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        Différence entre PTT et PT

        PTT vs PT
        (Cet article contient du matériel traduit d`anglais par Google Translation)
        PTT est «temps de céphaline», et PT est «temps de prothrombine. Tant PTT et PT sont des tests utilisés pour mesurer le temps nécessaire pour la coagulation du sang. Ces deux tests sont principalement effectuées pour vérifier les problèmes de saignement ou les chances de saignements excessifs pendant la chirurgie.Le PT mesure de la voie extrinsèque de la coagulation par le calcul du taux de prothrombine ainsi que le rapport international normalisé. Les facteurs de coagulation tels que I, II, V, VII et X sont penchés sur du temps de prothrombine. Le PT détermine également les niveaux de la warfarine et la position vitamine K. La valeur normale PT est de 11 à 16 secondes.Le PTT est une mesure de la voie de coagulation intrinsèque et la voie de coagulation commun. Le test du temps de thromboplastine partielle mesure également le niveau d'héparine dans le corps d'un patient dans le cas où est présent dans la thérapie anti-coagulation. Les facteurs de coagulation qui sont notées dans un test PTT sont: I, II, V, VIII, IX, X, XI et XII. La valeur normale PTT est de 25 à 39 secondes.



        Le PTT est appelé partielle en raison de l'absence du facteur tissulaire. Le PT est le temps nécessaire pour que le plasma du caillot après le facteur tissulaire est ajouté.Le temps de prothrombine est mesurée pour déterminer la cause du saignement anormal ou meurtrissure et de vérifier si les médicaments pour éclaircir le sang vont fonctionner (héparine). Il est également utilisé pour vérifier les facteurs qui conduisent à la formation d'un caillot de sang, vérifier les niveaux bas de vitamine K, et vérifier les fonctions du foie.Temps de céphaline (PTT) est également mesurée pour déterminer la cause du saignement anormal et vérifier les facteurs qui conduisent à la formation de caillots sanguins qui provoquent des troubles de la coagulation. Il se penche également sur la minuterie pour un caillot de sang avant toute intervention chirurgicale et pour voir si le bon dosage de l'anti-coagulation médicament est utilisé.Résumé:1. PTT est «temps de thromboplastine partielle» et PT est «temps de prothrombine».2. Le PT mesure de la voie extrinsèque de la coagulation par le calcul du taux de prothrombine ainsi que le rapport international normalisé.3. Le PTT est une mesure de la voie de coagulation intrinsèque et la voie de coagulation commun.4. Les facteurs de coagulation tels que I, II, V, VII et X sont penchés sur le temps de prothrombine. Les facteurs de coagulation qui sont notées dans PTT sont I, II, V, VIII, IX, X, XI et XII.5. Le PT détermine également les niveaux de la warfarine et la position vitamine K. Le temps de céphaline mesure le niveau d'héparine dans le corps.6. La valeur normale PT est de 11 à 16 secondes. La valeur normale PTT est de 25 à 39 secondes.

        Expression des résultats du temps de prothrombine

        L’expression des résultats du TP varie en fonction des régions. Dans les pays anglo-saxons, le TP est exprimé généralement en secondes, correspondant au temps de coagulation du patient ou dans le rapport [temps de coagulation du patient/temps de coagulation du plasma de référence]. Dans la plupart des pays européens, le résultat du TP est exprimé en pour cent : le temps de coagulation obtenu est rapporté sur une courbe de calibration obtenue en diluant le plasma de référence (proche de 100%) et en mesurant le temps de coagulation de ces dilutions. Une approche introduite récemment consiste à établir cette courbe de calibration à partir d’un set de plasmas calibrés en pour cent par le fabricant de la thromboplastine. Les deux méthodes présentent des inconvénients. Vu la diversité des thromboplastines présentes sur le marché et leurs différences (origine de l’espèce, extraites ou recombinantes, composition des phospholipides, force ionique, etc.), les thromboplastines présentent des sensibilités différentes aux déficiences factorielles et aux facteurs partiellement décarboxylés induits par l’ingestion d’antivitamine K.1 De ce fait, pour un même patient et un même plasma de référence, les temps de coagulation obtenus avec différentes thromboplastines vont varier. La méthode en pour cent est également sujette aux contraintes exposées ci-dessus. De plus, elle introduit un biais supplémentaire dans la mesure où dans la courbe de calibration tous les facteurs, ainsi que le fibrinogène, sont dilués d’un même taux alors que ce n’est en général pas le cas chez les patients. Dès lors, pour toutes les raisons exposées ci-dessus, les résultats obtenus avec différents réactifs ne sont pas semblables quel que soit leur mode d’expression.

        International normalized ratio (INR)

        Cette différence de résultats selon la méthode et le réactif utilisés s’est révélée particulièrement délicate pour les patients sous traitement par des antivitamines K dans la mesure où leur traitement est ajusté avec le résultat du TP : les intervalles thérapeutiques, exprimés en secondes ou en pour cent, varient en effet d’un réactif à l’autre. Sous l’égide de l’OMS, un système de calibration des réactifs de TP a été développé afin de diminuer les différences dans les résultats observés.2 Les réactifs commerciaux ont été comparés à l’une des quatre thromboplastines de référence de l’OMS en fonction de leur origine (humaine, lapin, bovine, combinée) à l’aide de 20 sujets normaux et de 60 plasmas de patients sous anticoagulation orale stable. Un Indice de Sensibilité International (ISI) a été obtenu pour chaque thromboplastine commerciale. Cet ISI permet de calculer un International Normalized Ratio (INR) calculé à partir du temps de coagulation du patient, de celui du plasma de référence et de l’ISI. C’est la raison pour laquelle les résultats des TP de patients sous anticoagulation orale sont exprimés exclusivement en INR et non plus en pour cent ou en secondes. Le système de l’INR est loin d’être parfait mais il représente une avancée majeure dans la sécurité des traitements par anticoagulants oraux. Par exemple, pour une thromboplastine donnée, l’ISI peut dépendre en partie du coagulomètre utilisé. Dès lors, pour chaque thromboplastine du fabricant (et pour chaque lot de celle-ci), un ISI spécifique à ses appareils est généralement fourni. Alternativement, il est possible également de se procurer des sets de plasmas calibrateurs dont la valeur en INR est fournie par le fabricant pour une thromboplastine et un coagulomètre donné. De plus, il faut tenir compte de la variation interindividuelle : pour une même intensité d’anticoagulation, les taux relatifs des facteurs vitamino-K dépendants actifs varient en effet d’un individu à un autre. En outre, les facteurs (FVII, FX et prothrombine) décarboxylés ou partiellement carboxylés induits par le traitement présentent une réactivité qui diffère en fonction de la thromboplastine utilisée. Lors des enquêtes de qualité externes, les résultats sont groupés par type de thromboplastine pour tenir compte de ces différences que le système d’harmonisation ISI/INR ne parvient pas à éliminer.
        Malgré les limites de cette harmonisation, l’INR représente un progrès majeur.

        Temps de prothrombine et déficits en facteurs

        En l’absence de traitement par les antivitamines K, un allongement du TP indique un déficit acquis3,4 ou héréditaire dans un ou plusieurs facteurs de la voie extrinsèque (FV, FVII, FX, prothrombine) ou un taux de fibrinogène inférieur à 0,8 g/l. Pour les raisons décrites plus haut, le retentissement de ce(s) déficit(s) sur le temps de coagulation est fonction de la thromboplastine utilisée. Une étude récente a montré que la concentration relative en phosphatidylsérine dans le mélange utilisé pour la recalcification du facteur tissulaire jouait un rôle important dans la sensibilité aux déficits factoriels, particulièrement pour la prothrombine et le facteur VII.5 Des thromboplastines ayant un ISI similaire peuvent différer dans la sensibilité aux déficits factoriels.

        Conclusion

        Le temps de prothrombine demeure le test d’hémostase le plus pratiqué. Les réactifs de thromboplastine ont évolué en fonction des connaissances accumulées sur la structure et les fonctions du facteur tissulaire. Il subsiste cependant le problème de la grande diversité des thromboplastines disponibles dans le commerce et l’absence d’une méthode uniforme d’expression des résultats. Il faut souligner les grands efforts d’harmonisation qui ont conduit à l’établissement de l’INR et à sa généralisation à travers le monde. Il est à souhaiter que la variante hépatique de l’ISI connaisse le même développement.

        Généralités

        Les deux tests de mesure des facteurs de coagulation

        A. Le test du temps de prothrombine, (PT) exprimé en ratio : RNI (INR est en anglais)

        * Ce test contrôle la réponse à l'administration d'anticoagulants par voie orale (Warfarine ou Coumadin et Acénocoumarol ou Sintrom)
        * La valeur normale de l'RNI est de 0,8 à 1,2 secondes (temps nécessaire pour qu'un caillot se forme dans un échantillon de plasma par comparaison avec un témoin standard)
        * La valeur souhaitée chez l'usager traité est de 1,5 à 3 fois la valeur normale (selon la pathologie).

        B. Le test du temps de céphaline, (PTT)

        * Permet de contrôler une thérapie à l'héparine
        * La valeur normale est de 25 à 35 secondes (temps pour former un caillot de fibrine après l'addition de calcium et d'une émulsion phospholipidique à un échantillon de plasma)
        * La valeur souhaitée chez l'usager traité est de 1,5 à 2,5 fois la valeur normale (selon la pathologie).
        * Le port de gants est recommandé pour un prélèvement sanguin pour protéger l'intervenant d'un contact avec le sang de l'usager
        * La ponction veineuse doit être effectuée avec délicatesse sans exploration excessive de la veine pour éviter une hémolyse et la formation de thromboplastine tissulaire qui peuvent modifier le résultat
        * D'autres causes d'hémolyse du spécimen sont :
        - garrot laissé plus d'une minute
        - présence d'alcool sur le site de ponction
        - inversion trop brusque du tube
        - Conservation du spécimen directement sur une surface de moins de 2ºC (glace ou sac réfrigérant


        • Éviter de prélever le sang sur le bras qui est utilisé pour une perfusion intraveineuse puisque cela peut causer une hémodilution : si l'autre bras n'est pas disponible (amputation, brulûre, etc.) prélever sur le bras avec perfusion en piquant plus bas que le site du soluté
        • Le ratio adéquat sang/anticoagulant dans le tube est essentiel à l'obtention d'un spécimen fiable et de qualité
        • Le non respect de la technique de prélèvement, de la conservation de l'échantillon et du temps de transport peuvent influer sur la qualité du résultat obtenu donc sur le traitement administré
        • Bien connaître les politiques du laboratoire avec lequel vous avez une entente de service quant aux délais de conservation du spécimen, les conditions de transport appropriées et les conditions particulières de conservation qu'exige l'analyse
        • Chez l'usager anticoagulé, prévenir et surveiller tout signe de saignement
        • Recommander à l'usager la prise de ses anticoagulants oraux en fin d'après-midi, après réception des résultats de laboratoire de ses facteurs de coagulation
        • Bien lui expliquer la raison de ses tests à répétition et le lien avec ses anticoagulants.
        • L'ordre de prélèvement des tubes dans le cas de plusieurs analyses est :
          1. Tube pour hémoculture
          2. Tube sans additif (bouchon rouge)
          3. Tube pour épreuve de coagulation avec citrate de sodium (bouchon bleu)
          4. Tubes avec d'autres additifs (noir, vert, lavande, gris)


          1. Ne pas prélever un tube destiné à l'analyse des électrolytes immédiatement après un tube contenant du citrate de sodium.

          2. Liste des anticoagulants pour traitement ou prophylaxie

            • Héparine I/V
            • Héparine S/C
            • Héparines à bas poids moléculaire (HBPM)
              • Tinzaparine : Innohep S/C
              • Daltéparine : Fragmin S/C
              • Enoxéparine : Lovenox S/C
              • Nadroparine : Fraxiparine S/C
              • Danaparoïde sodique : Orgaran S/C


              Concentrations sanguines vérifiées par le temps de céphaline : PTT .
              • Warfarine : Coumadin per os
              • Acénocoumarol : Sintrom per os
              Vérification du résultat du traitement PER OS est obtenu par le temps de prothrombine (PT) et le RNI (ratio normalisé international)
              (Tiré de : Guide clinique en soins infirmiers,CHUM, première édition, septembre 2001.)

              Techniques de soins

              Matériel requis
              • Gants non stériles
              • Garrot
              • Une seringue de 10 ml ou un appareil Vacutainer®
              • Tampons d'alcool à 70%
              • Aiguille 20 G ou 21 G pour le pli du coude ou plus petite pour la main ou pour les enfants (prendre les aiguilles spécialement conçues pour l'appareil Vacutainer® si utilisé)
              • Tube bleu contenant un anticoagulant, le citrate de sodium (tube spécifique pour les facteurs de coagulation)
              • Etiquettes d'identification pour tubes de laboratoire
              • Requête de laboratoire spécifique
              • Compresse 5 cm x 5 cm ou une boule d'ouate
              Procédure(s)
              • S'il y a plusieurs analyses, prélever le tube bleu en premier. Si le RNI est la seule analyse, il n'est pas nécessaire de jeter un premier tube de sang avant de remplir le bleu
              • Si des analyses spécialisées de coagulation sont demandées tel que le dosage de facteur, il est recommandé de rejeter le premier tube prélevé, ou d'éliminer les 5 premiers ml de sang avant de prélever le tube de coagulation
              • Remplir le tube bleu si possible au complet, jusqu'à ce que le volume requis soit atteint afin d'assurer un rapport sang-anticoagulant adéquat
              • Au retrait de l'aiguille, faire une compression de plusieurs minutes avec la compresse ou la ouate puisque l'usager anticoagulé est à risque de saigner
              • Pour assurer un mélange adéquat du sang avec l'additif, inverser le tube 5 à 10 fois délicatement
              • Si l'usager est difficile à piquer et qu'on ne peut obtenir la quantité maximale de sang, envoyer tout de même l'échantillon au laboratoire avec une note explicative
              • Identifier l'échantillon au nom de l'usager avec une étiquette correspondant au numéro de la requête de laboratoire
              • Conserver  le tube à la vertical dans un support et à une température constante, du prélèvement jusqu'à l'exécution de l'analyse soit à la température ambiante.  Pour les prélèvements faits dans un centre externe au laboratoire ou au domicile, placer le tube dans un sac isothermique pour le protéger des variations de température durant les saisons froides
              • Quand la compression est terminée, appliquer un sparadrap et aviser l'usager qu'il peut l'enlever dans une heure
              • Respecter la politique du laboratoire quant au délai entre le prélèvement et l'arrivée au laboratoire (entre 2 et 4 heures)
              • Si un hématome apparaît au site d'injection, appliquer de la chaleur pour diminuer l'inconfort.
              Notes au dossier

              Si la ponction veineuse est faite sur l'unité de soins ou à domicile, noter :
              • La date et l'heure
              • Le nom du (ou des) test(s) fait(s)
              • Le site de ponction (gauche ou droit)
              • Le laboratoire où il a été envoyé (si pertinent)
              • Les réactions de l'usager si particularités.
              Quelques définitions (mots clé "Saignement", "hémorragie") :


               Définition > AVK - Antivitamine K

              Définition > AVK - Antivitamine KLa dose efficace d'AVK nécessaire à chaque patient, est délicate à déterminer. Pour évaluer l'action de ces médicaments sur la fluidité du sang, les médecins recourent à l'INR ( International Normalised Ratio ). Sa détermination repose sur des prises de sang régulières durant le traitement, ce qui constitue une réelle contrainte.  [...] Avec les AVK, les médecins veillent particulièrement au risque de saignements. C'est pourquoi l'INR doit être ni trop élevé (signe que le traitement est certes efficace mais avec un risque hémorragique non négligeable), ni trop faible.  [...]

               Définition > Héparine de bas poids moléculaire - HBPM

              Définition > Héparine de bas poids moléculaire - HBPM
              Obtenues à partir d' héparines non fractionnées, les héparines de bas poids moléculaires (HBPM) appartiennent elles aussi à la classe des anticoagulants injectables. Elles diffèrent des héparines standard par leur structure et leur poids moléculaire. Comme leurs cousines, les HBPM sont également indiquées en prévention, et pour la prise en charge des accidents thromboemboliques veineux et artériels ( thromboses, embolies pulmonaires…).   [...] Comme pour l'ensemble des anticoagulants, le risque de saignements doit être surveillé. En revanche, les médecins estiment généralement que les HBPM sont plus faciles à manier que les héparines standard, dans la mesure où elles sont administrées en injections sous-cutanées.  [...]

               Actualité > Détartrez vos dents, c'est bon pour le coeur !


              Actualité > Détartrez vos dents, c'est bon pour le coeur !Une autre étude suédoise ayant porté sur près de 8.000 participants, présentée également à Orlando dimanche, montre également que les maladies des gencives sont de bons indicateurs des risques cardiovasculaires et d'attaque cérébrale. Ainsi les personnes comptant moins de 21 dents sur le nombre normal de 32 avaient dans cette recherche un accroissement de 69 % du risque d'attaque cardiaque comparé à ceux qui avaient le plus de dents.  [...] Enfin, les sujets de l'étude dont les saignements des gencives était les plus fréquents avaient un risque d'attaque cérébrale multiplié par 2,1 comparé à ceux qui en avaient le moins.  [...]

               Définition > Héparine non fractionnée - Héparine standard


              Elles sont indiquées dans la prévention et la prise en charge des accidents thromboemboliques veineux et artériels ( thromboses, embolies pulmonaires…). Il s'agit le plus souvent de traitements d'attente, avant une prise en charge par anticoagulants oraux.   [...] Comme pour l'ensemble des anticoagulants, le risque de saignements doit être surveillé. Les spécialistes décrivent également une baisse du taux des plaquettes et encore des réactions allergiques. À noter que ce traitement nécessite une surveillance rapprochée par TCA (Temps de céphaline avec activateur).  [...]

               Définition > Inhibiteur direct de la thrombine


              Définition > Inhibiteur direct de la thrombine  Les inhibiteurs directs de la thrombine sont les anticoagulants par voie orale les plus récents. Leur première indication est la prévention de phlébite consécutivement à une chirurgie de la hanche ou du genou. C'est pourtant une classe thérapeutique en développement et dans les mois qui viennent, cette indication pourrait se voir étendre aux patients souffrant de fibrillation auriculaire, un des troubles du rythme cardiaque les plus fréquents.   [...] Comme pour l'ensemble des anticoagulants, le risque de saignements est à surveiller de près. Des troubles digestifs sont aussi parfois rapportés. Mais contrairement aux antivitamines K (les AVK), l'intérêt de ces médicaments est de ne nécessiter aucun suivi des facteurs de coagulation par mesure répétée des INR ( International Normalised Ratio ).  [...]

               Définition > Inhibiteur du facteur X


              Définition > Inhibiteur du facteur X Le facteur X est une protéine qui participe à l'hémostase, le processus qui permet d'interrompre le saignement. Une part essentielle de la coagulation sanguine… Les inhibiteurs du facteur X vont donc agir de façon sélective sur cette protéine, qui joue un rôle majeur dans la cascade métabolique aboutissant à la formation d'un thrombus.  [...] Comme pour l'ensemble des anticoagulants, le risque de saignements est à surveiller de près. Les inhibiteurs du facteur X doivent aussi être utilisés avec prudence en cas d' insuffisance rénale sévère. En revanche, ils ne nécessitent pas de surveillance pluriquotidienne du TCA (Temps de Céphaline avec Activateur), comme c'est le cas avec d'autres anticoagulants.  [...]

               Actualité > Les antidépresseurs augmentent les risques d’hémorragies cérébrales


              Actualité > Les antidépresseurs augmentent les risques d’hémorragies cérébralesParmi les ISRS les plus célèbres, on trouve la fluoxétine – le principe actif du Prozac – ainsi que la sertraline, le citalopram ou la paroxétine. Ceux-ci étaient déjà connus pour les risques de saignements à l' estomac que leur consommation engendre, mais des travaux contradictoires ne permettaient pas de conclure quant à leur effet sur le cerveau.  [...] Cette tache blanche dans le cerveau met en évidence du sang consécutif à une hémorragie cérébrale, entraînant la formation d'un oedème (flèche du haut). En plus des risques de compression de l' encéphale, ces saignements empêchent les nutriments et l'oxygène de parvenir jusqu'à certains neurones qui finissent par dégénérer. James Heilman, Wikipédia, cc by sa 3.0.  [...]

               Dossier > Inhibiteurs de cyclooxygénases


              Les conséquences de la fixation de l'aspirine sur COX-1 et COX-2 sont différentes. La sérine acétylée provoque une saillie dans le canal hydrophobe et empêche la formation de PGG 2 pour les deux isoformes. Mais, alors qu'elle provoque un blocage complet au niveau du site actif de COX-1, elle permet la biotransformation de l'acide arachidonique en 15-R-HETE par un nouveau mode de fonctionnement de la COX-2 (Terlain B. et al., 1996).   [...] Plus récemment, il a été constaté que les risques de saignements au niveau du tractus gastro-intestinal ne sont pas différents de ceux causés par l'utilisation des AINS d'ancienne génération (Garcia Rodriguez L.A. et al., 1998).  [...]

               Actualité > Cancer : faut-il prendre un peu d’aspirine tous les jours ?

              Actualité > Cancer : faut-il prendre un peu d’aspirine tous les jours ?
              Chez les 100.000 participants, on constatait certes une diminution de 10 % de l'apparition de maladies cardiovasculaires, mais aucune baisse significative de la mortalité et même, en contrepartie, 30 % de risques en plus de présenter des saignements internes.  [...] D'autre part, la dose utilisée dans ces études est faible, inférieure à celle contenue dans les cachets vendus en pharmacie. Rien n'indique qu'absorber une quantité supérieure aura davantage de répercussions bénéfiques sur la santé, en revanche tout porte à croire que cela augmentera les effets secondaires nocifs que le médicament peut engendrer, notamment concernant les maux d' estomac, mais aussi des saignements au niveau de l'estomac, des intestins et du cerveau.  [...]

               Dossier > Les symptômes de la fausse-couche

              Dossier > Les symptômes de la fausse-couche
              Lors d'une fausse-couche, l' endomètre se détruit, provoquant les saignements (comme pour les menstruations), et l'utérus expulse les tissus de grossesse en se contractant. DR.  [...] Habituellement, ces symptômes deviennent de moins en moins sévères et disparaissent en moins de 7 jours. Votre médecin peut vous recommander des médicaments pour aider à soulager la douleur comme de l' acétaminophène (Tylenol), de l' ibuprofène (Advil) ou de l' aspirine avec de la codéine (222).  [...]
              (Cet article contient du matériel traduit d`anglais par Google Translation)

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