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26 déc. 2014

La phénylcétonurie (PKU)

La Phénylcétonurie est une maladie autosomique récessive et fait partie des maladies métaboliques congénitales (« ou erreurs innées du métabolisme des acides aminés ») qui sont des maladies orphelines.
La phénylcétonurie a été décrite pour la première fois en 1934 par le Docteur Norvégien AsbjØrn FØlling, mais ce n’est que 20 ans plus tard, en 1954, que le Professeur Horst Bickel évoque la mise en place d’un régime pauvre en phénylalanine.
Il faudra attendre 1962, pour que le Docteur Robert Guthrie, mette au point le dépistage…
« La phénylcétonurie est une maladie héréditaire du métabolisme, caractérisée par un déficit en phénylalanine hydroxylase (PAH) »
La PAH est une enzyme nécessaire à la transformation de la phénylalanine (PHE) en tyrosine (TYR), cette transformation contribuant au maintien du bon état de santé (structure de l’organisme…).
En absence de PAH, la phénylalanine s’accumule de façon physiopathologique dans le corps humain.

Qu’est-ce que la phénylalanine ?

La phénylalanine est un des 8 acides aminés essentiels (AAE), qui ne peuvent être fabriqués par l’organisme. Incapable de les synthétiser, ils doivent être apportés par l’alimentation. La phénylalanine est donc consommée chaque jour, par des millions de personnes, on en trouve par exemple dans l’aspartame (ingrédient utilisé en substitution du sucre dans certains produits dits « allégés »).
En cas de défaillance ou de non-présence de la PAH, le taux plasmatique de phénylalanine (ou la phénylalaninémie) grimpe et dérègle le bon fonctionnement de l’organisme (pour 2% des cas, le problème vient du cofacteur de la PAH).
L’augmentation de la phénylalaninémie est responsable de la toxicité et de la symptomatologie caractérisée par des troubles neurologiques graves.
En parallèle, une hypopigmentation des phanères (ongles, peau très pâle…) se révèle être un très bon indicateur de cette pathologie.

Quand parler de phénylcétonurie ?

La phénylcétonurie est admise lorsque : le taux de phénylalanine > 20 mg/dl (1200µmol/l)
« Mais moi, à 10 mg, je suis phénylcétonurique ou pas ? »

Classification

Elle est faite en fonction de l’activité résiduelle de l’enzyme et du taux de phénylalanine dans le sang :
  • PCU typique ou classique (activité <1%), taux > 20 mg/dl (1200µmol/l)
  • PCU atypique ou modérée (activité 1-5%), taux entre 10mg/dl (600µmol/l) et 20mg/dl
  • Hyperphénylalaninémie (activité >5%), taux < 10mg / dl : il faut impérativement informer la famille (pour surveiller et ainsi protéger les générations futures) mais un régime alimentaire strict n’est pas mis en place.

Fréquence de la phénylcétonurie

La phénylcétonurie est une maladie autosomique récessive et fait partie des maladies orphelines rares. En France, un enfant sur 17 000 naît avec cette pathologie (NIH, 2006 ). En Europe, cette valeur oscille entre 1/4 000 et 1/40 000. Les Américains semblent beaucoup plus touchés car la prévalence est d’un enfant sur 10 000 à un sur 15 000.

Nécessité de prise en charge

La phénylcétonurie est, parmi les maladies métaboliques, celle qui possède la plus forte prévalence.
Bien qu’étant une maladie rare, il est aujourd’hui indispensable de prendre en charge les patients phénylcétonuriques et ce dès un test positif.

Alimentation chez l’enfant

Pour le nouveau-né dépisté, le but majeur de la prise en charge est de diminuer sa concentration sanguine en PHE de façon acceptable. Une alimentation lactée en très faible dose, complémentée de produits sans PHE apportant le reste des nutriments de l’organisme, est donc indispensable à un bon épanouissement. L’évolution des quantités de PHE consommées est très surveillée suivant les besoins de chacun.

Quand arrêter le régime ?

Pendant la croissance, il est conseillé de faire perdurer ce régime pour le bien-être du malade.
Certains spécialistes recommandent même de le poursuivre tout au long de la vie.
En complément du régime, des mesures du taux de PHE dans le sang sont effectuées. Ces tests permettent, si besoin, des ajustements du régime.
Jusqu’à 4 ans, les tests ont lieu toutes les semaines. Les taux deviennent alors plus stables et les tests s’espacent dans le temps.
« Des tests tout au long de la vie ? »

Phénylcétonurie et grossesse

Il est reconnu que les nouveaux nés de mères phénylcétonuriques non traitées présentent un retard mental, une microcéphalie ou des malformations diverses.
Grâce à la reprise d’un régime strict dès la période pré-conceptionnelle et durant toute la grossesse, le bébé naîtra tout à fait normalement.
Le régime est identique à celui réalisé pendant la petite enfance.
Vers la 25ème semaine de grossesse, la tolérance maternelle en PHE augmente car le fœtus a développé son activité PAH hépatique, ce qui permet d’élargir le régime.

Phénylcétonurie et autorité de santé

Toutes les maladies métaboliques (y compris la phénylcétonurie) sont prises en charge à 100% par la sécurité sociale.
Les produits hypoprotidiques et les mélanges d’acides aminés pour le traitement de la phénylcétonurie sont dispensés par l’Agence Générale des Equipements et des Produits de Santé (AGEPS). Voir notre boutique.
Voir ci-après tableau de nos produits avec les codes AGEPS.

Un moyen simple de détection

Un enfant phénylcétonurique n’a pas de symptômes particuliers à la naissance. Avant les années 1960, il était donc impossible de savoir lorsqu’un enfant naissait, s’il était atteint ou non par cette pathologie.
Au cours de ces années 60, les premiers dépistages ont été réalisés aux Etats-Unis par le Docteur Robert Guthrie.
Maladie curable, le but du dépistage est donc de prédire la maladie et de permettre très rapidement (au 10ième jour de vie) la mise en place d’un régime contrôlé en phénylalanine.
En France, ce dépistage est systématique depuis 1975 et le test de Guthrie est pratiqué au 3ème jour de vie.

Le test de Guthrie

Grâce à ce test, aujourd’hui en France, une cinquantaine de cas sont décelés chaque année.
Très simple à effectuer, il s’agit simplement de prélever quelques gouttes de sang du talon ou du doigt du bébé et des les recueillir sur du papier buvard.
L’échantillon est alors envoyé dans un laboratoire d’analyse. Test bactériologique, la présence de phénylalanine dans le sang va permettre la prolifération de bactéries sur une gélose (boîte de gel) sur laquelle elles ne se développent pas en temps normal. Une gamme étalon peut alors permettre une analyse quantitative.

Pourquoi dépister ?

« Retard mental, troubles du comportement, épilepsie, psychoses… »
Les troubles associées à la toxicité de la phénylalanine sont nombreux. D’une façon générale, la phénylcétonurie est responsable d’un retard mental important. De nombreuses dérives d’origine cérébrale sont alors possibles : épilepsie, psychoses...
Non dépistés, les phénylcétonuriques ont un teint très pâle. En effet, la phénylalanine n’est pas convertie en tyrosine. Or, la tyrosine rentre dans le processus de fabrication de la mélanine, un pigment qui confère la coloration brunâtre à la peau, la teinte des cheveux et des yeux. De plus, l’excédent de phénylalanine est changé en phénylcétones qui sont excrétés dans les urines. Ces phénylcétones sont responsables de l’odeur particulière de la sueur et de l’urine des enfants atteints de phénylcétonurie. Ils sont aussi à l’origine du nom de cette pathologie.

Que faire en cas de phénylcétonurie avérée ?

Le seul moyen d’éviter les troubles neurologiques associés à une phénylcétonurie est de se soumettre à un régime strict. Ce régime doit, pour être efficace, commencer dès le début de vie (juste après le dépistage).
Bien sûr, la phénylalanine est un acide aminé essentiel ce qui signifie qu’un apport minimum est nécessaire et même obligatoire. Cependant, une valeur saine chez le sujet sain constituera une valeur pathologique pour la personne présentant une déficience enzymatique.
« On parle pour les phénylcétonuriques de tolérance. »
La tolérance individuelle est l’adaptation en fonction de l’activité résiduelle de l’enzyme et de la croissance :
0.6 mois : 150 à 250mg PHE / J (assurer un apport minimum au début)
6 mois – 5 ans : 250 à 350mg PHE / J
5 ans – adolescence : augmenter la quantité quotidienne progressivement
Pour les phénylcétonuriques, il faut maintenir une phénylalaninémie entre 2 et 5mg/dl (120 à 300 µmol/l).

Principes du régime

  • Limiter les apports en PHE en couvrant les besoins minimums par les aliments naturels (fruits et légumes) : système de part : 1 part = 20mg de PHE. A chaque part correspond un poids de fruit ou légume, selon le nombre de parts autorisées par jour, il faut choisir dans une liste les aliments.
  • Supplémenter avec un mélange d’acides aminés sans PHE, afin d’apporter tous les autres acides aminés, les vitamines, les minéraux et oligo éléments nécessaires à la croissance (voir PhenylAde)
  • Contrôler l’apport énergétique pour que celui-ci soit normal et adapté aux besoins de l’enfant : adjonction d’aliments uniquement lipidiques ou glucidiques et : ou de produits hypoprotidiques (voir boutique)
  • Aliments strictement interdits : viandes, poissons, charcuterie, légumes et fruits secs, céréales et dérivés, aspartam.

Existe-t-il des traitements autres que le régime pour la phénylcétonurie?

  • La thérapie génique est au stade de l’expérimentation animale.
  • La BH4 (cofacteur indispensable à la réaction d’hydroxylation de la PHE en TYR) peut être une solution alternative au régime uniquement pour les patients sensibles à la BH4 (et pas chez la femme enceinte).

Aucun commentaire:

La phénylcétonurie (PKU)

La Phénylcétonurie est une maladie autosomique récessive et fait partie des maladies métaboliques congénitales (« ou erreurs innées du métabolisme des acides aminés ») qui sont des maladies orphelines.
La phénylcétonurie a été décrite pour la première fois en 1934 par le Docteur Norvégien AsbjØrn FØlling, mais ce n’est que 20 ans plus tard, en 1954, que le Professeur Horst Bickel évoque la mise en place d’un régime pauvre en phénylalanine.
Il faudra attendre 1962, pour que le Docteur Robert Guthrie, mette au point le dépistage…
« La phénylcétonurie est une maladie héréditaire du métabolisme, caractérisée par un déficit en phénylalanine hydroxylase (PAH) »
La PAH est une enzyme nécessaire à la transformation de la phénylalanine (PHE) en tyrosine (TYR), cette transformation contribuant au maintien du bon état de santé (structure de l’organisme…).
En absence de PAH, la phénylalanine s’accumule de façon physiopathologique dans le corps humain.

Qu’est-ce que la phénylalanine ?

La phénylalanine est un des 8 acides aminés essentiels (AAE), qui ne peuvent être fabriqués par l’organisme. Incapable de les synthétiser, ils doivent être apportés par l’alimentation. La phénylalanine est donc consommée chaque jour, par des millions de personnes, on en trouve par exemple dans l’aspartame (ingrédient utilisé en substitution du sucre dans certains produits dits « allégés »).
En cas de défaillance ou de non-présence de la PAH, le taux plasmatique de phénylalanine (ou la phénylalaninémie) grimpe et dérègle le bon fonctionnement de l’organisme (pour 2% des cas, le problème vient du cofacteur de la PAH).
L’augmentation de la phénylalaninémie est responsable de la toxicité et de la symptomatologie caractérisée par des troubles neurologiques graves.
En parallèle, une hypopigmentation des phanères (ongles, peau très pâle…) se révèle être un très bon indicateur de cette pathologie.

Quand parler de phénylcétonurie ?

La phénylcétonurie est admise lorsque : le taux de phénylalanine > 20 mg/dl (1200µmol/l)
« Mais moi, à 10 mg, je suis phénylcétonurique ou pas ? »

Classification

Elle est faite en fonction de l’activité résiduelle de l’enzyme et du taux de phénylalanine dans le sang :
  • PCU typique ou classique (activité <1%), taux > 20 mg/dl (1200µmol/l)
  • PCU atypique ou modérée (activité 1-5%), taux entre 10mg/dl (600µmol/l) et 20mg/dl
  • Hyperphénylalaninémie (activité >5%), taux < 10mg / dl : il faut impérativement informer la famille (pour surveiller et ainsi protéger les générations futures) mais un régime alimentaire strict n’est pas mis en place.

Fréquence de la phénylcétonurie

La phénylcétonurie est une maladie autosomique récessive et fait partie des maladies orphelines rares. En France, un enfant sur 17 000 naît avec cette pathologie (NIH, 2006 ). En Europe, cette valeur oscille entre 1/4 000 et 1/40 000. Les Américains semblent beaucoup plus touchés car la prévalence est d’un enfant sur 10 000 à un sur 15 000.

Nécessité de prise en charge

La phénylcétonurie est, parmi les maladies métaboliques, celle qui possède la plus forte prévalence.
Bien qu’étant une maladie rare, il est aujourd’hui indispensable de prendre en charge les patients phénylcétonuriques et ce dès un test positif.

Alimentation chez l’enfant

Pour le nouveau-né dépisté, le but majeur de la prise en charge est de diminuer sa concentration sanguine en PHE de façon acceptable. Une alimentation lactée en très faible dose, complémentée de produits sans PHE apportant le reste des nutriments de l’organisme, est donc indispensable à un bon épanouissement. L’évolution des quantités de PHE consommées est très surveillée suivant les besoins de chacun.

Quand arrêter le régime ?

Pendant la croissance, il est conseillé de faire perdurer ce régime pour le bien-être du malade.
Certains spécialistes recommandent même de le poursuivre tout au long de la vie.
En complément du régime, des mesures du taux de PHE dans le sang sont effectuées. Ces tests permettent, si besoin, des ajustements du régime.
Jusqu’à 4 ans, les tests ont lieu toutes les semaines. Les taux deviennent alors plus stables et les tests s’espacent dans le temps.
« Des tests tout au long de la vie ? »

Phénylcétonurie et grossesse

Il est reconnu que les nouveaux nés de mères phénylcétonuriques non traitées présentent un retard mental, une microcéphalie ou des malformations diverses.
Grâce à la reprise d’un régime strict dès la période pré-conceptionnelle et durant toute la grossesse, le bébé naîtra tout à fait normalement.
Le régime est identique à celui réalisé pendant la petite enfance.
Vers la 25ème semaine de grossesse, la tolérance maternelle en PHE augmente car le fœtus a développé son activité PAH hépatique, ce qui permet d’élargir le régime.

Phénylcétonurie et autorité de santé

Toutes les maladies métaboliques (y compris la phénylcétonurie) sont prises en charge à 100% par la sécurité sociale.
Les produits hypoprotidiques et les mélanges d’acides aminés pour le traitement de la phénylcétonurie sont dispensés par l’Agence Générale des Equipements et des Produits de Santé (AGEPS). Voir notre boutique.
Voir ci-après tableau de nos produits avec les codes AGEPS.

Un moyen simple de détection

Un enfant phénylcétonurique n’a pas de symptômes particuliers à la naissance. Avant les années 1960, il était donc impossible de savoir lorsqu’un enfant naissait, s’il était atteint ou non par cette pathologie.
Au cours de ces années 60, les premiers dépistages ont été réalisés aux Etats-Unis par le Docteur Robert Guthrie.
Maladie curable, le but du dépistage est donc de prédire la maladie et de permettre très rapidement (au 10ième jour de vie) la mise en place d’un régime contrôlé en phénylalanine.
En France, ce dépistage est systématique depuis 1975 et le test de Guthrie est pratiqué au 3ème jour de vie.

Le test de Guthrie

Grâce à ce test, aujourd’hui en France, une cinquantaine de cas sont décelés chaque année.
Très simple à effectuer, il s’agit simplement de prélever quelques gouttes de sang du talon ou du doigt du bébé et des les recueillir sur du papier buvard.
L’échantillon est alors envoyé dans un laboratoire d’analyse. Test bactériologique, la présence de phénylalanine dans le sang va permettre la prolifération de bactéries sur une gélose (boîte de gel) sur laquelle elles ne se développent pas en temps normal. Une gamme étalon peut alors permettre une analyse quantitative.

Pourquoi dépister ?

« Retard mental, troubles du comportement, épilepsie, psychoses… »
Les troubles associées à la toxicité de la phénylalanine sont nombreux. D’une façon générale, la phénylcétonurie est responsable d’un retard mental important. De nombreuses dérives d’origine cérébrale sont alors possibles : épilepsie, psychoses...
Non dépistés, les phénylcétonuriques ont un teint très pâle. En effet, la phénylalanine n’est pas convertie en tyrosine. Or, la tyrosine rentre dans le processus de fabrication de la mélanine, un pigment qui confère la coloration brunâtre à la peau, la teinte des cheveux et des yeux. De plus, l’excédent de phénylalanine est changé en phénylcétones qui sont excrétés dans les urines. Ces phénylcétones sont responsables de l’odeur particulière de la sueur et de l’urine des enfants atteints de phénylcétonurie. Ils sont aussi à l’origine du nom de cette pathologie.

Que faire en cas de phénylcétonurie avérée ?

Le seul moyen d’éviter les troubles neurologiques associés à une phénylcétonurie est de se soumettre à un régime strict. Ce régime doit, pour être efficace, commencer dès le début de vie (juste après le dépistage).
Bien sûr, la phénylalanine est un acide aminé essentiel ce qui signifie qu’un apport minimum est nécessaire et même obligatoire. Cependant, une valeur saine chez le sujet sain constituera une valeur pathologique pour la personne présentant une déficience enzymatique.
« On parle pour les phénylcétonuriques de tolérance. »
La tolérance individuelle est l’adaptation en fonction de l’activité résiduelle de l’enzyme et de la croissance :
0.6 mois : 150 à 250mg PHE / J (assurer un apport minimum au début)
6 mois – 5 ans : 250 à 350mg PHE / J
5 ans – adolescence : augmenter la quantité quotidienne progressivement
Pour les phénylcétonuriques, il faut maintenir une phénylalaninémie entre 2 et 5mg/dl (120 à 300 µmol/l).

Principes du régime

  • Limiter les apports en PHE en couvrant les besoins minimums par les aliments naturels (fruits et légumes) : système de part : 1 part = 20mg de PHE. A chaque part correspond un poids de fruit ou légume, selon le nombre de parts autorisées par jour, il faut choisir dans une liste les aliments.
  • Supplémenter avec un mélange d’acides aminés sans PHE, afin d’apporter tous les autres acides aminés, les vitamines, les minéraux et oligo éléments nécessaires à la croissance (voir PhenylAde)
  • Contrôler l’apport énergétique pour que celui-ci soit normal et adapté aux besoins de l’enfant : adjonction d’aliments uniquement lipidiques ou glucidiques et : ou de produits hypoprotidiques (voir boutique)
  • Aliments strictement interdits : viandes, poissons, charcuterie, légumes et fruits secs, céréales et dérivés, aspartam.

Existe-t-il des traitements autres que le régime pour la phénylcétonurie?

  • La thérapie génique est au stade de l’expérimentation animale.
  • La BH4 (cofacteur indispensable à la réaction d’hydroxylation de la PHE en TYR) peut être une solution alternative au régime uniquement pour les patients sensibles à la BH4 (et pas chez la femme enceinte).

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