Ebola : résultats "prometteurs" en vue d'un vaccin (OMS)
AFP) - Le magazine britannique Lancet va publier à 14h00 (12h00 GMT) des
"résultats prometteurs" sur des tests pour un vaccin anti-Ebola en
cours en Guinée, a déclaré vendredi Margaret Chan, directrice générale
de l'OMS (Organisation mondiale de la santé).
Ces résultats, qui sont "encourageants et prometteurs", vont "changer la gestion de la crise Ebola" s'ils se confirment, a déclaré Mme Chan sans vouloir donner plus de détails.
L'épidémie d'Ebola en Afrique de l'Ouest, la plus grave depuis l'identification du virus en Afrique centrale en 1976, était partie en décembre 2013 du sud de la Guinée.
Elle a fait plus de 11.200 morts pour quelque 27.700 cas, selon l'OMS.
Plus de 99% des victimes se concentrent en Guinée, en Sierra Leone et au Liberia, où la maladie a désorganisé les systèmes de santé, ravagé les économies et fait fuir les investisseurs.
Ces résultats, qui sont "encourageants et prometteurs", vont "changer la gestion de la crise Ebola" s'ils se confirment, a déclaré Mme Chan sans vouloir donner plus de détails.
L'épidémie d'Ebola en Afrique de l'Ouest, la plus grave depuis l'identification du virus en Afrique centrale en 1976, était partie en décembre 2013 du sud de la Guinée.
Elle a fait plus de 11.200 morts pour quelque 27.700 cas, selon l'OMS.
Plus de 99% des victimes se concentrent en Guinée, en Sierra Leone et au Liberia, où la maladie a désorganisé les systèmes de santé, ravagé les économies et fait fuir les investisseurs.
Quand le perfectionnisme mène tout droit au burn out
Une nouvelle étude britannique fait la
distinction entre le bon perfectionnisme, qui nous aide à réaliser nos
objectifs, et le mauvais perfectionnisme, qui nuit à notre santé.
Vouloir tout faire à la
perfection peut saboter notre sérénité quotidienne au travail, à l’école
ou au sport, à n’importe quel âge. Entre autres, d’après une nouvelle étude
publiée par la revue Society for Personality ans Social Psychology, le
stress provoqué par cette envie augmente les risques de burn out et de
problèmes de santé liés à l’anxiété.
L’équipe britannique de l’université York St. John, dirigée par le chercher Andrew Hill, a passé en revue 43 études menées dans les 20 dernières années. Ils en ont conclu qu’il existe deux genres de perfectionnisme : un premier type, qui permet de définir des objectifs dans la vie et de s’activer pour les réaliser, et un second type, bien plus néfaste pour la santé, qui pousse à s’inquiéter sans cesse à l’idée de faire une erreur et de décevoir notre entourage.
Les auteurs de l’étude conseillent à ces perfectionnistes d’établir des objectifs plus faciles à réaliser, accepter leurs faiblesses et apprendre à se pardonner en cas d’échec. Créer un environnement qui stimule la créativité et qui valorise les efforts et la persévérance peut aider à y parvenir. Les scientifiques estiment également que le fait d’identifier ce type de profil psychologique pourrait aider à développer des outils pour limiter les risques de burn out.
Au final, l’effet sur l’humeur des participants est confirmé. Vient s’y ajouter l’amélioration des paramètres cardiaques. Et plus le nombre de poissons est important, plus le sentiment général de bien-être augmente.
Son collègue de l’université d’Exeter, le Dr Mathew White y voit une opportunité pour « les personnes qui n’ont pas facilement accès à un environnement naturel ».
L’équipe britannique de l’université York St. John, dirigée par le chercher Andrew Hill, a passé en revue 43 études menées dans les 20 dernières années. Ils en ont conclu qu’il existe deux genres de perfectionnisme : un premier type, qui permet de définir des objectifs dans la vie et de s’activer pour les réaliser, et un second type, bien plus néfaste pour la santé, qui pousse à s’inquiéter sans cesse à l’idée de faire une erreur et de décevoir notre entourage.
Un environnement créatif
Le "mauvais perfectionniste" risque de sérieux problèmes de dépression, d’anxiété, d’alimentation, de fatigue et de mortalité précoce. En cause, le stress provoqué par le doute et les peurs sur ses propres capacités : chaque erreur est vécue comme un drame.Les auteurs de l’étude conseillent à ces perfectionnistes d’établir des objectifs plus faciles à réaliser, accepter leurs faiblesses et apprendre à se pardonner en cas d’échec. Créer un environnement qui stimule la créativité et qui valorise les efforts et la persévérance peut aider à y parvenir. Les scientifiques estiment également que le fait d’identifier ce type de profil psychologique pourrait aider à développer des outils pour limiter les risques de burn out.
Contempler les poissons d’un aquarium, c’est bon pour le cœur
Les aquariums ont un effet apaisant bien connu.
Mais regarder les poissons évoluer a aussi la faculté d’abaisser la
pression artérielle et le rythme cardiaque. Une étude vient de le
montrer.
Une
équipe de chercheurs britanniques a profité d’une opération de
rénovation au National Marine Aquarium pour mener leur enquête. Le
bassin, d’une contenance de 550 000 litres, avait été vidé, puis rempli
de nouveau en y réintroduisant progressivement les poissons. Au fur et à
mesure, les réactions d’une centaine de personnes étaient observées.Au final, l’effet sur l’humeur des participants est confirmé. Vient s’y ajouter l’amélioration des paramètres cardiaques. Et plus le nombre de poissons est important, plus le sentiment général de bien-être augmente.
Une oasis de calme pour les urbains stressés
Dans un communiqué du 29 juillet 2015, le Dr Sarah Pahl, professeur de psychologie à l’université de Plymouth, conçoit les aquariums comme des « oasis de calme et de relaxation », dans des univers urbains surpeuplés et un contexte de stress au travail.Son collègue de l’université d’Exeter, le Dr Mathew White y voit une opportunité pour « les personnes qui n’ont pas facilement accès à un environnement naturel ».
Protégez vos dents pour protéger votre cœur
Une étude américaine rappelle l’importance d’une
bonne hygiène bucco-dentaire pour limiter les risques de maladies
cardiovasculaires. Les parodonties seraient particulièrement
dangereuses.
Avoir une bonne hygiène
dentaire n’a pas comme seul intérêt de maintenir votre sourire éclatant.
Son impact sur la santé a été établi depuis longtemps par différentes
études. Mais des nouvelles recherches menées par des scientifiques de
l’Institut Forsyth, aux Etats-Unis, mettent en évidence le lien entre
les infections dentaires et les maladies cardiovasculaires.
Dans la revue Trends in Endocrinology and Metabolism, les auteurs de l’étude expliquent avoir retrouvé les l’ADN des bactéries impliquées dans des maladies dentaires courantes comme la gingivite, la parodontite ou les caries dans les parois vasculaires de certains malades souffrant d’athérosclérose (dépôt d’une plaque sur la paroi des artères pouvant conduire à l’obstruction du vaisseau).
"Au vu de la forte prévalence des infections bucco-dentaires, n’importe quel facteur de risque qui contribue aux maladies cardiovasculaires est important pour la santé publique", explique l’auteur principal de l’étude Thomas Van Dyke.
Un lien inquiétant, puisque l’Organisation mondiale de la santé estime que 15 à 20% des adultes d’âge moyen (35-44 ans) souffrent de parodontopathies sévères. En France, ces maladies touchent la majorité de la population adulte dont 15% sévèrement, selon le ministère de la Santé.
Pour limiter un maximum ces risques à la fois dentaires et cardiaques, veillez à maintenir votre bouche en bonne santé en vous brossant les dents au moins deux fois par jour, sans oublier d’utiliser le fil dentaire régulièrement.
Dans la revue Trends in Endocrinology and Metabolism, les auteurs de l’étude expliquent avoir retrouvé les l’ADN des bactéries impliquées dans des maladies dentaires courantes comme la gingivite, la parodontite ou les caries dans les parois vasculaires de certains malades souffrant d’athérosclérose (dépôt d’une plaque sur la paroi des artères pouvant conduire à l’obstruction du vaisseau).
"Au vu de la forte prévalence des infections bucco-dentaires, n’importe quel facteur de risque qui contribue aux maladies cardiovasculaires est important pour la santé publique", explique l’auteur principal de l’étude Thomas Van Dyke.
Les parodonties pointées du doigt
Après avoir passé en revue la littérature scientifique à ce sujet, les chercheurs ont été en mesure d’affirmer que, outre la circulation des bactéries, "l’inflammation joue un rôle majeur à la fois dans les infections orales et les maladies cardiovasculaires." Les parodonties, des maladies chroniques inflammatoires qui se caractérisent par une destruction progressive des structures soutenant les dents, sont particulièrement montrées du doigt.Un lien inquiétant, puisque l’Organisation mondiale de la santé estime que 15 à 20% des adultes d’âge moyen (35-44 ans) souffrent de parodontopathies sévères. En France, ces maladies touchent la majorité de la population adulte dont 15% sévèrement, selon le ministère de la Santé.
Pour limiter un maximum ces risques à la fois dentaires et cardiaques, veillez à maintenir votre bouche en bonne santé en vous brossant les dents au moins deux fois par jour, sans oublier d’utiliser le fil dentaire régulièrement.
Et si l'andropause était sous-évaluée ?
Près de 20% des hommes âgés de plus de 50 ans
souffriraient d’une baisse de testostérone provoquant des symptômes
semblables à ceux de la ménopause féminine, d’après une nouvelle étude.
Le débat sur la ménopause des hommes, baptisée andropause,
a longtemps divisé la communauté scientifique. Aujourd’hui, une
nouvelle étude ajoute de l’huile sur le feu. Des chercheurs britanniques
du Centre pour la santé des hommes de Londres estime que 20% des plus
de 50 ans souffrent d’un manque de testostérone, rapporte le quotidien The Telegraph.
Publiée par la revue The Ageing male Journal et basée sur les données de 2 000 hommes ayant reçu un traitement à base de testostérone pendant plus de 26 ans, cette étude décrit précisément les symptômes de la ménopause masculine. Coups de chaleur, transpiration nocturne, douleurs articulaires, libido dans les chaussettes, dépression et augmentation de la masse graisseuse en font partie.
Selon eux, le stress et la crise de la cinquantaine suffisent à expliquer les symptômes décrits par les patients. Des recherches plus importantes doivent être menées, suggèrent-ils, pour mieux comprendre ce phénomène. "A mon avis, ce genre de publication n’est pas seulement trompeuse, mais également dangereuse, en particulier lorsque l’auteur estime que plus d’hommes devraient être traités, de façon inappropriée, avec de la testostérone", a commenté le professeur Frederic Wu, de l’université de Manchester, cité par le quotidien The Independent.
Publiée par la revue The Ageing male Journal et basée sur les données de 2 000 hommes ayant reçu un traitement à base de testostérone pendant plus de 26 ans, cette étude décrit précisément les symptômes de la ménopause masculine. Coups de chaleur, transpiration nocturne, douleurs articulaires, libido dans les chaussettes, dépression et augmentation de la masse graisseuse en font partie.
Des doutes subsistent
D’après le professeur Malcolm Carruthers, auteur principal de l’étude, ces conclusions prouvent l’efficacité d’une thérapie à base de testostérone chez les hommes souffrant d’une baisse d’hormones, même sur une période prolongée. Mais d’autres experts continuent à avoir des doutes sur l’existence d’une ménopause masculine.Selon eux, le stress et la crise de la cinquantaine suffisent à expliquer les symptômes décrits par les patients. Des recherches plus importantes doivent être menées, suggèrent-ils, pour mieux comprendre ce phénomène. "A mon avis, ce genre de publication n’est pas seulement trompeuse, mais également dangereuse, en particulier lorsque l’auteur estime que plus d’hommes devraient être traités, de façon inappropriée, avec de la testostérone", a commenté le professeur Frederic Wu, de l’université de Manchester, cité par le quotidien The Independent.
5 signes que vous avez vraiment besoin de vacances
Manque de motivation, erreurs répétées,
douleurs…tous ces symptômes sont des signes indéniables que vous avez
besoin de prendre quelques jours de repos, voir de vraies vacances.
Votre niveau de stress est
proche du craquage et vous hésitez encore à poser des jours pour vous
reposer ? Vous faites donc partie d’une majorité de salariés qui n’osent
pas prendre des vacances par peur du regard réprobateur de leurs
collègues. Pourtant, un haut niveau de stress peut provoquer non
seulement un burn out, mais aussi des problèmes de ventre, des
insomnies, des migraines et beaucoup d’autres troubles. Heureusement, il
existe quelques signes annonciateurs à connaître et à identifier avant
que la limite de la fatigue ne soit franchie :
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