L'analyse
de questionnaires remis à 467 adolescents a démontré que l'utilisation
générale et/ou nocturne des médias sociaux - conjointement avec un
investissement émotionnel - est associée à un mauvais sommeil, à une
estime de soi plus faible et à des niveaux plus élevés d'anxiété et de
dépression.
Les chercheurs de l'Université de Glasgow évoquent plus précisément
le besoin que ressentent certains jeunes d'être constamment disponibles
en ligne et de répondre, 24 heures par jour et sept jours par semaine,
aux messages et commentaires transmis sur leurs réseaux sociaux.
L'analyse de questionnaires remis à 467 adolescents a démontré que
l'utilisation générale et/ou nocturne des médias sociaux - conjointement
avec un investissement émotionnel - est associée à un mauvais sommeil, à
une estime de soi plus faible et à des niveaux plus élevés d'anxiété et
de dépression.
Une chercheure a expliqué que les jeunes qui utilisent les médias
sociaux la nuit semblent particulièrement touchés. Elle a rappelé que
l'adolescence est une période de plus grande vulnérabilité face à
l'apparition de l'anxiété et la dépression.
Les adolescents gothiques seraient trois fois plus déprimés que les autres
Pour savoir si les comportements et les choix vestimentaires des jeunes
gothiques avaient une composante pathologique, les chercheurs ont étudié
quelque 2300 adolescents britanniques qui ont notamment été interrogés
sur leur état psychologique.
Les adolescents qui s'identifient
à la mouvance gothique auraient trois fois plus de risques de souffrir
de dépression que les autres, selon une étude publiée vendredi.
Mais les auteurs de l'étude sur cette contre-culture, réalisée par
des chercheurs de l'Université d'Oxford, n'ont pas été en mesure de dire
si la dépression était la cause ou la conséquence de l'adhésion à cette
mouvance.
«Notre étude ne dit pas que le fait d'être gothique provoque la dépression ou le suicide, mais que certains jeunes gothiques sont plus vulnérables face à ces maladies», indique Lucy Bowes, de l'Université d'Oxford qui a dirigé l'étude parue dans la revue The Lancet Psychiatry.
Pour savoir si les comportements et les choix vestimentaires des jeunes gothiques avaient une composante pathologique, les chercheurs ont étudié quelque 2300 adolescents britanniques qui ont notamment été interrogés sur leur état psychologique (états dépressifs, automutilations, tendances suicidaires) à l'âge de 18 ans.
Ils ont également été interrogés sur leur degré d'adhésion aux différentes sous-entités de la contre-culture gothique.
Ils ont découvert que ceux qui étaient entrés dans la mouvance gothique vers l'âge de 15 ans, étaient trois fois plus fréquemment dépressifs et cinq fois plus susceptibles d'avoir des tendances suicidaires ou automutilatrices.
Les «skaters» et les «loners» présentaient un risque accru, selon les chercheurs qui relèvent également que plus l'adhésion aux valeurs du mouvement est forte, plus les symptômes psychiatriques sont fréquents.
Qu'en conclure? Selon les chercheurs, le lien entre dépression et mouvance gothique pourrait s'expliquer par un «effet de contagion par les pairs», ou effet boule de neige, mais la mouvance pourrait également attirer davantage de jeunes déprimés.
En attendant d'en savoir plus, ils préconisent une surveillance étroite des adolescents gothiques afin que les plus à risques puissent se voir offrir une aide spécifique.
«Notre étude ne dit pas que le fait d'être gothique provoque la dépression ou le suicide, mais que certains jeunes gothiques sont plus vulnérables face à ces maladies», indique Lucy Bowes, de l'Université d'Oxford qui a dirigé l'étude parue dans la revue The Lancet Psychiatry.
Pour savoir si les comportements et les choix vestimentaires des jeunes gothiques avaient une composante pathologique, les chercheurs ont étudié quelque 2300 adolescents britanniques qui ont notamment été interrogés sur leur état psychologique (états dépressifs, automutilations, tendances suicidaires) à l'âge de 18 ans.
Ils ont également été interrogés sur leur degré d'adhésion aux différentes sous-entités de la contre-culture gothique.
Ils ont découvert que ceux qui étaient entrés dans la mouvance gothique vers l'âge de 15 ans, étaient trois fois plus fréquemment dépressifs et cinq fois plus susceptibles d'avoir des tendances suicidaires ou automutilatrices.
Les «skaters» et les «loners» présentaient un risque accru, selon les chercheurs qui relèvent également que plus l'adhésion aux valeurs du mouvement est forte, plus les symptômes psychiatriques sont fréquents.
Qu'en conclure? Selon les chercheurs, le lien entre dépression et mouvance gothique pourrait s'expliquer par un «effet de contagion par les pairs», ou effet boule de neige, mais la mouvance pourrait également attirer davantage de jeunes déprimés.
En attendant d'en savoir plus, ils préconisent une surveillance étroite des adolescents gothiques afin que les plus à risques puissent se voir offrir une aide spécifique.
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