C’est une grande première mondiale. Âgée d’à peine 21 ans, une jeune turque née sans utérus a pu bénéficier de la greffe de cet organe de l’appareil génital féminin, à l'hôpital universitaire Akdeniz, près d'Antalya, au sud de la Turquie. D’après les médecins qui ont opéré, la transplantation aurait parfaitement réussi.
Dans la course à la greffe, une nouvelle étape a été franchie en Turquie. Après la greffe des mains, des bras, et du visage, c’est maintenant le tour de l’appareil génital féminin. Ce n’est pas la première fois que ce type d’opération est tenté. En 2000, en Arabie Saoudite, des chirurgiens avaient essayé de greffer l’utérus d’une donneuse vivante, à une jeune femme. Si l’intervention s’était bien passée, moins de 100 jours plus tard, les médecins avaient constaté que la greffe n’avait pas réussi.
Ömer Özkan et Münire Erman Akar, deux des médecins ayant supervisé la transplantation de l’utérus d’une donneuse décédée, sur la jeune Turque, pensent avoir pu remédier au principal problème qui avait entraîné l’échec de la greffe réalisée en Arabie Saoudite. En effet, il leur a été possible de prélever davantage de tissu autour de l’utérus, et ainsi, de ne pas avoir une veine trop courte pour l'anastomose. Pour l’instant, l’opération semble un succès : le tissu est vivant et aucun rejet n’a été constaté. Toutefois, les chirurgiens restent prudents et estiment qu’il faut attendre de voir si la jeune femme pourra porter un enfant pour être sur que la greffe est une réussite. Affaire à suivre…
Dans la course à la greffe, une nouvelle étape a été franchie en Turquie. Après la greffe des mains, des bras, et du visage, c’est maintenant le tour de l’appareil génital féminin. Ce n’est pas la première fois que ce type d’opération est tenté. En 2000, en Arabie Saoudite, des chirurgiens avaient essayé de greffer l’utérus d’une donneuse vivante, à une jeune femme. Si l’intervention s’était bien passée, moins de 100 jours plus tard, les médecins avaient constaté que la greffe n’avait pas réussi.
Ömer Özkan et Münire Erman Akar, deux des médecins ayant supervisé la transplantation de l’utérus d’une donneuse décédée, sur la jeune Turque, pensent avoir pu remédier au principal problème qui avait entraîné l’échec de la greffe réalisée en Arabie Saoudite. En effet, il leur a été possible de prélever davantage de tissu autour de l’utérus, et ainsi, de ne pas avoir une veine trop courte pour l'anastomose. Pour l’instant, l’opération semble un succès : le tissu est vivant et aucun rejet n’a été constaté. Toutefois, les chirurgiens restent prudents et estiment qu’il faut attendre de voir si la jeune femme pourra porter un enfant pour être sur que la greffe est une réussite. Affaire à suivre…
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