Maladies d’ados
Problèmes de peau, dos en souffrance, migraines, coups de pompe, douleurs à l’estomac… Entre petits ou gros pépins de santé, Cet article te permet d’être à l’écoute de ton propre bien-être. Pas question ici de remplacer une consultation médicale mais plutôt de te donner les moyens d’être un vrai acteur de ta santé.
La scoliose
La scoliose peut malheureusement passer inaperçue. Pourtant, un rapide examen clinique suffit souvent à la distinguer d'une simple posture inadaptée.
Le but des traitements est d'éviter l'aggravation et, au mieux, de corriger la courbure pour éviter les complications. Chaque cas est particulier et il appartient au chirurgien orthopédiste pédiatre de déterminer, au vu de l'ensemble des éléments du bilan, le traitement à mettre en oeuvre. 85 à 90 % des adolescents ayant des courbes de plus de 10° peuvent être traités avec des méthodes non chirurgicales.
Traitements non chirurgicaux de la scoliose
Les corsets représentent l'essentiel du traitement orthopédique des scolioses. Ils ont pour but de stopper l'aggravation de la scoliose, et, dans certains cas, la corriger partiellement. Ils sont requis pour les formes moyennes à sévères de scoliose (20 à 40 % de courbure). De plusieurs types, ces corsets sont adaptés à la forme des courbures et à l'âge des enfants. Confectionnés sur mesure et réglables pour s'adapter à la croissance du rachis, ils sont renouvelés pour suivre la croissance de l'enfant. L'utilisation d'un corset plâtré pendant une courte période de 2 à 4 mois avant la mise en place d'un corset plastique amovible permet de réduire la déformation et de raidir la colonne vertébrale dans une position de correction maximale. Le corset plastique joue ensuite un rôle de contention. Redoutés par le passé, parce qu'inesthétiques et inconfortables, les corsets modernes sont aujourd'hui bien moins visibles et beaucoup mieux tolérés. Lorsque la croissance est finie, on peut parfois utiliser des corsets plus minces, légers et près du corps.
Pour une efficacité maximum, le corset doit être porté en permanence mais il existe plusieurs protocoles de port du corset en fonction de l'importance de la courbure et du type de scoliose. La poursuite des activités physiques et sportives est recommandée. Et, dans tous les cas, le traitement orthopédique de la scoliose doit être accepté par l'enfant et lui permettre de mener une vie aussi proche que possible de la normale.
A noter : la kinésithérapie a pour but d'augmenter la musculature du thorax, de corriger les mauvaises postures et d'améliorer les capacités respiratoires mais elle ne peut en aucune manière éviter l'aggravation d'une scoliose et doit être envisagée en complément d'un traitement.
Pour une efficacité maximum, le corset doit être porté en permanence mais il existe plusieurs protocoles de port du corset en fonction de l'importance de la courbure et du type de scoliose. La poursuite des activités physiques et sportives est recommandée. Et, dans tous les cas, le traitement orthopédique de la scoliose doit être accepté par l'enfant et lui permettre de mener une vie aussi proche que possible de la normale.
A noter : la kinésithérapie a pour but d'augmenter la musculature du thorax, de corriger les mauvaises postures et d'améliorer les capacités respiratoires mais elle ne peut en aucune manière éviter l'aggravation d'une scoliose et doit être envisagée en complément d'un traitement.
Traitements chirurgicaux de la scoliose
La chirurgie intéresse les formes les plus graves de scolioses, au-delà de 45° de courbure. L'opération consiste à corriger la courbure et à rétablir l'esthétique de la colonne vertébrale en soudant entre elles les vertèbres déformées dans la meilleure position de correction. Pour ce faire, le chirurgien pratique une "arthrodèse" ou greffe des vertèbres. Il pose en complément une ou plusieurs tiges métalliques pour maintenir l'alignement corrigé des vertèbres.
L'inconvénient majeur de cette chirurgie ? Le blocage de la croissance rachidienne. Elle doit donc être réalisée lorsque l'enfant a atteint une taille suffisante. Cette opération reste lourde mais les techniques chirurgicales ont fait beaucoup de progrès pour augmenter l'efficacité de la correction et réduire les durées d'immobilisation postopératoires. La convalescence est moins douloureuse, le retour à la maison plus rapide et l'absence de corset postopératoire permet généralement un retour à l'école un mois après l'opération et la reprise progressive d'activités sportives. Après son opération, l'adolescent retrouve une vie normale et souvent de meilleure qualité mais il lui faut apprendre à vivre avec son "nouveau dos", plus droit mais aussi plus rigide.
L'inconvénient majeur de cette chirurgie ? Le blocage de la croissance rachidienne. Elle doit donc être réalisée lorsque l'enfant a atteint une taille suffisante. Cette opération reste lourde mais les techniques chirurgicales ont fait beaucoup de progrès pour augmenter l'efficacité de la correction et réduire les durées d'immobilisation postopératoires. La convalescence est moins douloureuse, le retour à la maison plus rapide et l'absence de corset postopératoire permet généralement un retour à l'école un mois après l'opération et la reprise progressive d'activités sportives. Après son opération, l'adolescent retrouve une vie normale et souvent de meilleure qualité mais il lui faut apprendre à vivre avec son "nouveau dos", plus droit mais aussi plus rigide.
ITSS : ados en danger !
Aux Etats-Uniset au Canada, les 15-24 ans représentent la moitié des nouveaux cas d'infections sexuellement transmissibles ! Neuf fois sur 10, on retrouve les mêmes coupables : papillomavirus, chlamydiae et trichomonase. De la prévention aux traitements, comment lutter contre ces ennemis intimes ?
A la fin des années 80, la peur du Sida avait fait reculer les infections sexuellement transmissibles grâce à l'utilisation du préservatif. Mais depuis les années 2000, on constate un relâchement de la prévention.
Les jeunes américains fortement touchés
Aux Etats-Unis, les adolescents et les jeunes adultes représentent la moitié des cas d'infections sexuellement transmissibles. Pourtant, la tranche d'âge concernée (de 15 à 24 ans) ne représentent qu'un quart de la population… Tel est le résultat d'une très sérieuse étude1 menée par des chercheurs de l'agence américaine chargée de la prévention, de l'étude et du contrôle des maladies (Center for Disease Control and Prevention).
Pour l'an 2000, 18,9 millions nouveaux cas de maladies sexuellement transmissibles étaient enregistrés, dont 9,1 parmi ces jeunes personnes.
Le coût médical de ces infections est évalué à 6,5 milliards de dollars.
Infections sexuellement transmissibles | Incidence |
| 4,6 millions |
Trichonomas | 1,9 million |
| 1,5 million |
| 640 000 |
Blénorragie | 431 000 |
| 15 000 |
| 8 200 |
| 7 500 |
Total | 9,1 |
Incidence d'infections sexuellement transmissibles
parmi les 15-24 ans
Trois infections sexuellement transmissibles représentent 88 % des cas : le papillomavirus (HPV), les chlamydiae et le trichomonas. "Il n'est pas surprenant que les adolescents et les jeunes adultes contractent un nombre disproportionné d'infections" déclare Sharon Camp de l'institut Allan Guttmacher "la plupart des jeunes sont sexuellement actifs et beaucoup sont mal équipés pour éviter les IST ou accéder à un test de dépistage et un traitement".
Même si la vaste majorité des infections à HPV sont sans danger et guérissent d'elles-mêmes, certaines donnent des verrues génitales et les infections persistantes peuvent être responsables de cancer du col de l'utérus. Les trichomonases sont des parasites microscopiques capables de provoquer des inflammations de l'urètre ou du gland chez l'homme et des vulvo-vaginite avec pertes vaginales chez la femme. Les chlamydioses peuvent en cas de non-traitement entraîner une infertilité. Des traitements antibiotiques très rapides existent pour ces deux dernières infections.
L'absence de symptômes pose problème
Mais ces deux études rappellent que l'absence de symptômes de ces infections constitue un frein important au diagnostic et donc au traitement. Les auteurs appellent ainsi à un dépistage plus important et à de plus nombreuses mesures de prévention. Ces conclusions pourront-elles ramener à la raison le président americain actuel qui continue à privilégier l'abstinence sexuelle plutôt que l'utilisation du préservatif…
A ce sujet, le communiqué de l'Institut Guttmacher reste malgré tout prudent : "Bien que l'abstinence reste une garantie de ne pas contracter de MST, quelques adolescents - et virtuellement tous les jeunes adultes - choisiront éventuellement d'avoir des relations sexuelles. Avant qu'ils ne le fassent, ils ont besoin d'une éducation sexuelle réaliste qui leur apprennent comment prévenir les MST et les grossesses non désirées".
Le problème est-il identique en France ? Praticien du centre de dépistage anonyme et gratuit et dispensaire anti-vénérien de l'hôpital Bichat-Claude Bernard, le Dr Fabrice Bouscarat reconnaît que les 15-24 ans, sexuellement très actifs sont les plus à risque vis-à-vis des MST. "Le caractère asymptomatique de certaines de ces maladies les rend difficilement détectables. La meilleure arme reste ainsi la prévention primaire : le préservatif. Mais pour une protection optimale, son utilisation ne devrait pas se limiter à la seule pénétration. Les préliminaires sont parfois à l'origine de contamination par différentes infections comme l'herpès" conlut-il.
La France n'est pas épargnée
En France, le relâchement des mesures de prévention a entraîné une nette augmentation des infections sexuellement transmissibles ces dernières années. On a ainsi noté une recrudescence des gonococcies ano-rectales et des urétrites masculines tant chez les homosexuels/bisexuels que chez les hétérosexuels3. Début 2000, la reprise d'une maladie oubliée, la syphilis, était enregistrée chez les hommes homosexuels et bisexuels. Les hétérosexuels sont aussi concernés par les IST4.
Les contaminations par IST augmentent la vulnérabilité au VIH : une personne porteuse d'une IST ayant un rapport sexuel avec une personne séropositive au VIH aura en effet un risque d'être contaminée par le VIH beaucoup plus important que si elle n'avait pas de IST.
Pour en savoir plus sur les symptômes, les modes de transmission, le diagnostic et les complications de ces IST, faites le point en quelques clics grâce à notre aide-mémoire :
Suite à différentes enquêtes nationales, les autorités ont noté la demande d'information sur les infections sexuellement transmissibles du grand public, ainsi qu'une dégradation de l'image de "la capote" chez les jeunes. Pour y remédier, une récente campagne a choisi d'assimiler le préservatif à un produit de consommation courant.
Au Canada, c'est au sein de la population des jeunes âgés de 15 à 24 ans qu'on observe les taux les plus élevés d'ITS de même que les augmentations les plus marquées de la prévalence de ces maladies. Si tu as des relations sexuelles ou si tu songes à en avoir, tu dois savoir comment prévenir les infections transmissibles sexuellement.
La chlamydia
Qu’est-ce que la chlamydia?
La chlamydia est une infection transmise sexuellement. Elle est causée par une bactérie. Elle est très répandue, surtout chez les adolescents et les jeunes adultes. La chlamydia peut causer des problèmes de santé graves et doit être traitée.
Comment la chlamydia se propage-t-elle?
Tu peux contracter cette bactérie en ayant des relations sexuelles orales, vaginales ou anales non protégées avec une personne déjà infectée. Si tu es enceinte, tu peux transmettre la maladie au bébé au moment de l’accouchement.
Comment savoir qu’on a contracté la chlamydia?
Il est possible d’avoir la chlamydia sans présenter de signes et symptômes. Tu peux transmettre la maladie sans même savoir que tu en es atteint.
Si tu as la chlamydia et si tu présentes des symptômes, tu observeras peut-être :
chez la femme
- Un changement ou une augmentation des pertes vaginales
- des démangeaisons vaginales
- de légers saignements même en dehors de la période des règles
- des saignements durant ou suivant les rapports vaginaux
- des douleurs dans le bas-ventre
- des douleurs au moment d’uriner
chez l’homme
- une sensation de brûlure au moment d’uriner
- l’écoulement d’un liquide clair ou blanchâtre du pénis
- une sensation de brûlure ou de démangeaison au niveau du méat urinaire
- des douleurs testiculaires
Dépistage
Si tu es une femme, le médecin (ou l’infirmière) effectue un écouvillonnage (c’est -à- dire, prélèvement d’un échantillon à l’aide d’une petite brosse appelée écouvillon) du col de l’utérus (l’ouverture de l’utérus) ou te demande de fournir un échantillon d’urine. Si tu es un homme, le médecin (ou l’infirmière) te demande de fournir un échantillon d’urine ou peut effectuer un écouvillonnage de l’urètre (méat urinaire du pénis).
Traitement
La chlamydia peut se traiter à l’aide d’antibiotiques. Il est essentiel de dire à ton ou à tes partenaires sexuels que tu as la chlamydia, car eux aussi doivent se faire traiter. Toi et tes partenaires ne devez pas avoir de relations sexuelles avant la fin du traitement ou avant qu’on ait confirmé la disparition de l’infection. Même si tu es traité pour cette infection, tu peux la contracter de nouveau si tu as des rapports avec une personne infectée ou qui n’a pas été traitée.
Les ITS, notamment la chlamydia, ne présentent souvent aucun symptôme.
Le virus de la verrue humaine (condylomes acuminés)
Qu'est-ce que le virus de la verrue humaine ?
Le virus de la verrue humaine (VVH) est un ensemble de plus de 70 types de virus qui causent des condylomes ou papillomes. Bien que certains types de VVH provoquent des verrues vulgaires sur les mains et les pieds, les VVH génitaux, qui sont sexuellement transmissibles, causent des verrues dans les régions génitale et anale tant chez l'homme que chez la femme. Certaines souches de VVH sont associées à un risque accru de cancer du col utérin.
Comment contracte-t-on le virus de la verrue humaine ?
Le virus est transmis pendant les rapports sexuels par contact direct avec une verrue ou une peau infectée par le virus. Il est possible que les verrues apparaissent sur les mains et dans la bouche à la suite du contact pendant les préliminaires ou les relations sexuelles buccogénitales. Environ 50 % des personnes infectées par le VVH n'ont jamais de condylomes acuminés, mais elles peuvent toujours transmettre le virus à d'autres personnes.Quels sont les facteurs de risque du virus de la verrue humaine ?
Les principaux facteurs de risque du virus de la verrue humaine comprennent :Comment peut-on se protéger contre le virus de la verrue humaine ?
- le fait d'avoir des rapports sexuels sans préservatif ;
- le fait d'avoir plus d'un partenaires sexuels ;
- le fait de commencer l'activité sexuelle pendant l'adolescence ;
- le fait d'avoir un partenaire sexuel qui a plusieurs partenaires sexuels.
On peut diminuer le risque d'infection par le virus de la verrue humaine en évitant les comportements sexuels dangereux.
Pour réduire vos risques :
- L'emploi de préservatifs en latex ou en polyuréthanne pendant les rapports sexuels aide à réduire le risque de transmission, mais celle-ci peut toujours avoir lieu si les verrues se trouvent sur des parties du corps non recouvertes par le préservatif.
- Limitez le nombre de vos partenaires sexuels.
Quels sont certains des symptômes du virus de la verrue humaine ?
Le VVH occasionne des verrues présentant des caractéristiques différentes. Elles peuvent être petites ou grosses, plates ou bombées, simples ou multiples ; parfois, elles ne sont même pas visibles. On remarque le plus couramment les verrues à l'extérieur du vagin, sur le pénis et autour de l'anus. Chez la femme, le VVH provoque la formation de verrues dans le vagin et sur le col de l'utérus. Dans à peu près la moitié des cas, les personnes infectées par le VVH n'ont pas de verrues.
Le virus de la verrue humaine peut-il entraîner d'autres problèmes de santé ?
Certains VVH sexuellement transmissibles sont associés aux cancers génitaux et anaux tant chez l'homme que chez la femme. Il est très important de noter que certains types de VVH provoquent des modifications des cellules cervicales, ce qui aboutit éventuellement au cancer du col utérin. Le VVH est le facteur de risque le plus important pour le cancer du col de l'utérus ; presque tous les cas de cancer du col sont dus au VVH. Les types de VVH à l'origine des condylomes acuminés visibles ne sont généralement pas les mêmes que ceux qui produisent des changements précancéreux des cellules du col. Des frottis vaginaux réguliers aident à détecter tôt et à soigner ces changements, permettant ainsi de prévenir le cancer du col utérin.Qu'appelle-t-on frottis vaginaux ?
Les frottis vaginaux servent à dépister chez la femme les changements du col de l'utérus pouvant entraîner le cancer du col. Les frottis se font souvent pendant les examens gynécologiques annuels de routine. Les cellules prélevées du col utérin sont fixées sur des lames et examinées au miscroscope afin de rechercher les anomalies. Les résultats des frottis vaginaux indiquent la présence de cellules précancéreuses. Des résultats anormaux ne signalent pas toujours les changements précancéreux. Si des personnes reçoivent des résultats anormaux, elles devront refaire les frottis ou faire des examens supplémentaires. Si les frottis amènent la détection précoce de cellules précancéreuses, on réussira très bien à les soigner. Les changements précancéreux des cellules ne causent habituellement pas de symptômes. C'est pour cela qu'il est important de faire des frottis vaginaux de routine.
Quel est l'effet du virus de la verrue humaine sur la grossesse ?
Pendant la grossesse, les condylomes acuminés peuvent grossir au point d'obstruer la filière pelvienne, à cause des changements hormonaux. Dans de tels cas, il est nécessaire de les enlever en procédant à une intervention chirurgicale ou de faire une césarienne au moment de l'accouchement. Dans de rares cas, le VVH infecte aussi le nouveau-né et provoque des verrues dans sa gorge.
Comment diagnostique-t-on le virus de la verrue humaine ?
Pour de nombreuses personnes infectées par le VVH, il n'y a pas de signes évidents d'infection. Toutefois, en présence de verrues, le médecin est en mesure de diagnostiquer l'infection par l'apparence caractéristique des verrues et l'histoire de leur développement. Chez la femme, le médecin utilise un colposcope, un appareil ressemblant à un télescope, pour rechercher les verrues sur le col utérin ou dans le vagin. En outre, les résultats des frottis vaginaux suggèrent la présence d'une infection à VVH. Il n'existe actuellement aucune analyse de sang sûre pour le diagnostic de l'infection à VVH.
Existe-t-il un remède pour le virus de la verrue humaine ?
Il n'existe actuellement aucun remède pour le virus de la verrue humaine. Une fois qu'une personne est infectée, elle porte le virus pendant toute sa vie, même après qu'on a enlevé les condylomes acuminés. Le développement d'un vaccin contre le VVH est en cours et le vaccin n'est pas encore disponible.
Certains condylomes acuminés régressent tous seuls lorsqu'ils ne sont pas soignés. Il existe plusieurs remèdes efficaces pour éliminer les condylomes acuminés. Selon le Centers for Disease Control and Prevention aux Etats-Unis, aucun des remèdes suivants n'est meilleur que les autres et il peut être nécessaire d'en utiliser plus d'un pour éliminer efficacement les verrues. Ces remèdes incluent :
Chacun de ces remèdes présente des avantages et des inconvénients dont vous devez discuter avec votre prestataire de soins.
- le gel de podofilox, un médicament que le patient applique sur les condylomes génitaux externes ;
- la pommade d'imiquimod, un remède que le patient applique sur les condylomes génitaux externes et sur les condylomes péri-anaux ;
- la chimiothérapie (notamment l'acide trichloracétique et la podophylline) qui doit être appliquée par un prestataire de soins qualifié afin de détruire les condylomes ;
- la cryothérapie qui consiste à utiliser l'azote liquide pour geler les condylomes ;
- la thérapie au laser où l'on utilise un faisceau laser ou des lumières intenses pour détruire les condylomes ;
- l'électrochirurgie qui consiste en l'emploi du courant électrique pour brûler les condylomes ;
- la chirurgie qui permet de couper le condylome lors d'une consultation ;
- l'interféron, un médicament antiviral que l'on injecte directement dans les condylomes.
La gonorrhée
Qu’est-ce que la gonorrhée?
La gonorrhée est une infection transmise sexuellement. Elle est causée par une bactérie. La gonorrhée peut causer des problèmes de santé graves et doit être traitée. La gonorrhée peut infecter le pénis, le rectum, la gorge, les yeux et le col de l’utérus. Le col de l’utérus correspond à l’ouverture de cet organe. Le rectum correspond au segment inférieur de l’intestin.
Comment la gonorrhée se contracte-t-elle?
Tu peux contracter la gonorrhée en ayant des relations sexuelles orales, vaginales ou anales non protégées avec une personne déjà infectée. Si tu es enceinte, tu peux transmettre la maladie au bébé au moment de l’accouchement.
Comment savoir qu’on a contracté la gonorrhée?
Il est possible d’avoir la gonorrhée sans présenter de signes ou de symptômes. Tu peux transmettre la maladie sans même savoir que tu en es atteint.
Si tu as la gonorrhée et si tu présentes des symptômes, tu observeras peut-être :
chez la femme
- Un changement ou une augmentation des pertes vaginales
- des démangeaisons vaginales
- de légers saignements même en dehors de la période des règles
- des saignements durant ou suivant les rapports vaginaux
- des douleurs dans le bas-ventre
- des douleurs au moment d’uriner
chez l’homme
- une sensation de brûlure au moment d’uriner
- l’écoulement d’un liquide épais jaune - vert du pénis
- une sensation de brûlure ou de démangeaison au niveau du méat urinaire
- des douleurs testiculaires
Dépistage
Si tu es une femme, le médecin (ou l’infirmière) effectue un écouvillonnage (c’est -à- dire, prélèvement d’un échantillon à l’aide d’une petite brosse appelée écouvillon) du col de l’utérus (l’ouverture de l’utérus) ou te demande de fournir un échantillon d’urine. Si tu es un homme, le médecin (ou l’infirmière) te demande de fournir un échantillon d’urine ou peut effectuer un écouvillonnage de l’urètre (méat urinaire du pénis).
Traitement
La gonorrhée peut se traiter à l’aide d’antibiotiques. Il est essentiel de dire à ton ou à tes partenaires sexuels que tu as la gonorrhée, car eux aussi doivent se faire traiter. Bien des personnes atteintes de la gonorrhée souffrent également d’une autre ITS appelée chlamydia. Il se peut que toi et tes partenaires deviez vous faire traiter pour la chlamydia également.
Toi et tes partenaires ne devez pas avoir de relations sexuelles avant la fin du traitement ou avant qu’on ait confirmé la disparition de l’infection. Même si tu es traité pour cette infection, tu peux la contracter de nouveau si tu as des rapports avec une personne infectée ou qui n’a pas été traitée.
Communiquer avec ton partenaire est essentiel pour des pratiques sexuelles sûres. Si tu ne peux en parler, tu dois t’abstenir.
La syphilis
Qu’est-ce que la syphilis?
La syphilis est une infection causée par une bactérie transmise le plus souvent sexuellement. La syphilis peut causer des problèmes de santé graves et doit être traitée.
Comment la syphilis se contracte-t-elle?
Tu peux contracter la syphilis en ayant des relations sexuelles orales, vaginales ou anales non protégées avec une personne déjà infectée. La syphilis cause des lésions non douloureuses apparentes sur les organes génitaux, ou cachées dans la bouche, le vagin ou le rectum. Elle peut aussi provoquer des éruptions cutanées partout sur le corps. L’infection se propage au contact avec les lésions et les éruptions. Si tu es enceinte et atteinte de la syphilis, tu peux transmettre la maladie au bébé avant sa naissance ou au moment de l’accouchement. Le bébé risque alors de souffrir d’anomalies congénitales ou de mourir.
Comment savoir qu’on a contracté la syphilis?
- Le plus souvent, le premier symptôme de la syphilis est une lésion indolore. Celle-ci disparaît même en l’absence de traitement. Cependant, tu continues d’être porteur de la maladie.
- Par la suite, ton corps peut être le siège d’une éruption cutanée ( c’est –à –dire de la peau) et tu peux présenter des symptômes rappelant la grippe. Ces symptômes aussi disparaîtront, même en l’absence de traitement.
- Si la syphilis n’est pas traitée, ton état de santé peut s’aggraver considérablement. Une syphilis non traitée peut causer des dommages au cœur, au cerveau et à d’autres organes et elle peut même entraîner la mort.
Dépistage
La syphilis se dépiste au moyen d’une analyse de sang particulière.
Traitement
Tu devrais te faire traiter dès que tu constates que tu as la syphilis. La syphilis peut se traiter à l’aide d’antibiotiques, habituellement la pénicilline, qui s’administre en injections. Il importe de poursuivre le traitement jusqu’à la fin. Si tu es allergique à la pénicilline, on t’administrera un autre antibiotique. Tu dois informer ton ou tes partenaires sexuels que tu as la syphilis, car eux aussi doivent se faire tester et traiter.
Une fois que tu as été traité pour la syphilis, tu devras subir d’autres analyses de sang afin de vérifier que le médicament a bel et bien agi et que tu es complètement guéri. Ton médecin ou infirmière t’indiquera à quelle fréquence passer les tests et à quel moment tu ne risques plus de transmettre l’infection.
Le VPH (virus du papillome humain)
Qu’est-ce que le VPH?
L’abréviation VPH signifie « virus du papillome humain ». Il s’agit d’un virus qui peut causer des verrues génitales ou le cancer. Il existe de nombreux types de VPH susceptibles d’infecter différentes parties du corps. Ces différents types de VPH peuvent affecter ton organisme de différente façon. Il est possible d’être infecté par plus d’un type à la fois.
Des verrues génitales peuvent apparaître sur le pénis, le scrotum et les cuisses ainsi qu’à l’intérieur ou à l’extérieur de la vulve ou de l’anus. On a découvert que le VPH s’attaque aux cellules du col de l’utérus et peut provoquer le cancer. On a aussi constaté qu’il favorise l’apparition d’autres types de cancers, comme les cancers de l’anus (aussi bien chez l’homme que chez la femme), du pénis et du vagin.
Comment le VPH se contracte-t-il?
Tu peux contracter le VPH en ayant des relations sexuelles orales, vaginales ou anales non protégées avec une personne déjà infectée par le virus. Tu peux aussi le contracter dans le cadre d’autres activités sexuelles impliquant des contacts cutanés. Même s’il ne présente pas de verrues visibles, ton partenaire peut quand même propager le virus. De nombreuses personnes actives sexuellement sont porteuses du VPH ou le contracteront au cours de leur vie.
Fraction des cancers ano-génitaux attribuable au VPH au Québec
Comment savoir qu’on a le VPH?
Il est possible de transmettre le virus sans savoir qu’on en est porteur. Si tu constates la présence de verrues sur tes organes génitaux, elles peuvent avoir la forme d’excroissances ressemblant à un chou-fleur. Certaines verrues sont très difficiles à détecter. Un médecin ou une infirmière peut effectuer un examen pour les déceler.
Vaccin contre le VPH
Si tu es une femme entre 9 et 26 ans, il existe un vaccin qui peut te protéger contre certains types de VPH. Il s’administre en trois injections.
Le vaccin contre le VPH ne protège pas contre tous les types de VPH. Même vaccinée, tu peux quand même contracter d’autres types de VPH. Il est très important de continuer à passer régulièrement le test Pap et d’utiliser le condom pour les relations sexuelles vaginales, anales et orales.
Le vaccin n’est pas approuvé pour les hommes, mais la question est actuellement à l’étude.
Dépistage
Le médecin (ou l’infirmière) peut découvrir si tu as des verrues génitales en t’examinant. Certains types de VPH peuvent provoquer des altérations du col de l’utérus. Chez certaines femmes, ces altérations peuvent mener au cancer du col. Le médecin (ou l’infirmière) peut effectuer un test Pap pour vérifier l’état du col. Il prélève alors délicatement des cellules du col. Si tu as des relations sexuelles ou si tu as déjà eu des relations sexuelles, il est important de subir le test Pap une fois par année ou jusqu’à ce que le médecin juge qu’il est possible d’espacer les examens.
Traitement
À l’heure actuelle, il n’existe pas de traitement du VPH, mais on peut traiter les inconvénients occasionnés par le virus, c’est-à-dire les verrues et les altérations du col de l’utérus. Il n’est pas nécessaire d’exciser les verrues génitales. Si tu veux les faire enlever, le médecin (ou l’infirmière) dispose à cette fin de différentes méthodes :
- appliquer un liquide directement sur les verrues; l’opération doit en général être répétée plusieurs fois pour faire disparaître les verrues
- détruire les verrues par congélation
- brûler les verrues
- procéder à l’ablation chirurgicale des verrues
- même traitées, les verrues sont susceptibles de réapparaître
Si ton test Pap indique que le VPH a causé des altérations du col de l’utérus, tu pourrais être dirigé vers un spécialiste pour des examens plus poussés.
Herpès
Qu’est-ce que l’herpès?
L’herpès est une infection causée par le virus Herpes simplex (« HSV »). Il existe deux types du virus, le HSV‑ type1 et le HSV‑ type2. Ils peuvent causer autour de la bouche des lésions douloureuses appelées feux sauvages. Le virus peut également provoquer des lésions sur les organes génitaux. On parle alors d’herpès génital.
Comment l’herpès se contracte-t-il?
- Tu le contractes en embrassant une personne atteinte d’un feu sauvage.
- Tu peux contracter l’herpès génital en pratiquant le sexe oral avec quelqu’un qui présente un feu sauvage.
- Tu peux également infecter tes yeux, ta bouche et tes organes génitaux du virus par contact avec les lésions.
- Tu peux transmettre le virus si tu présentes des lésions visibles sur la bouche ou les organes génitaux mais tu peux aussi transmettre l’infection sans avoir de lésions.
- Si tu es enceinte, tu peux transmettre le virus à ton bébé durant la grossesse ou au moment de l’accouchement. Si tu as l’herpès, informe ton médecin. Il pourra t’administrer un médicament susceptible de réduire le risque de transmettre l’herpès à ton bébé pendant la grossesse.
- Tu peux transmettre l’herpès sans savoir que tu en es porteur.
Comment savoir qu’on a l’herpès?
Un grand nombre de personnes infectées par l’herpès ne présentent pas de symptômes et ne savent donc pas qu’elles sont porteuses du virus. Si tu as des symptômes de l’herpès, tu sentiras probablement une sensation de démangeaison ou de picotement et tu verras ensuite apparaître des boutons douloureux qui se transforment en lésions. Elles guériront par elles-mêmes. En ayant une première poussée d’herpès, tu auras peut-être l’impression d’avoir la grippe, et les symptômes peuvent durer quelques semaines.
L’herpès peut-il récidiver?
Oui. La première poussée d’herpès est habituellement la pire. Il est possible de subir plus d’une poussée. On parle alors de récidives et celles-ci sont généralement moins virulentes que la première manifestation de la maladie. La réinfection peut survenir lorsque tu :
- es fatigué ou stressé
- es malade
- as de la fièvre
- t’exposes trop au soleil
- as tes règles
- es enceinte
Si tu as l’herpès, tu dois t’accorder du repos, bien manger et faire de l’exercice physique.
Dépistage
Le médecin (ou l’infirmière) examinera tes lésions. Il pourra aussi procéder à un écouvillonnage (c’est -à- dire, prélèvement d’un échantillon à l’aide d’une petite brosse appelée écouvillon) de tes lésions. Dans certains cas, le médecin peut ordonner une analyse sanguine pour confirmer le diagnostic d’herpès.
Traitement
L’herpès ne peut être guéri, mais il peut être pris en charge. Certains médicaments peuvent aider à prévenir les poussées ou à réduire leur durée. Le médecin peut également prescrire un médicament si les douleurs sont trop intenses.
Que faire en cas de poussée d’herpès?
- maintiens la zone touchée propre
- porte des sous-vêtements en coton
- porte des vêtements amples
- après avoir uriné, lave-toi les organes génitaux à l’eau fraîche
- si tu éprouves de la douleur au moment d’uriner, assieds-toi dans une baignoire remplie d’eau tiède pour uriner ou verse de l’eau sur la zone touchée pendant que tu urines
- évite d’essuyer la zone atteinte en « frottant ». Assèche-la plutôt en épongeant délicatement pour éviter de propager l’infection.
Comment éviter de transmettre le virus?
- Si tu éprouves une sensation de brûlure ou de picotement, mais que tu ne présentes pas de lésion, la meilleure façon serait de s’abstenir de relations sexuelles. Ces symptômes indiquent que tu es peut-être en train de développer une poussée d’herpès et, même en l’absence de lésions, tu risques de transmettre le virus.
- Lorsque tu as un feu sauvage, la meilleure façon serait de s’abstenir de relations sexuelles orales.
- Tu ne dois pas avoir de relations sexuelles lorsque tu as une poussée d’herpès génital. Attends que les lésions aient complètement disparu.
- Rappelle-toi que tu peux transmettre le virus de l’herpès même si tu ne présentes pas de lésions.
Le VIH
Qu’est-ce que le VIH?
Le VIH (virus de l’immunodéficience humaine) est le virus qui cause le sida (syndrome d’immunodéficience acquise). Le VIH attaque le système immunitaire et rend l’organisme incapable de combattre certaines infections. Une personne dont le système immunitaire est intact peut combattre ces infections alors qu’une personne porteuse du VIH peut ne pas être capable. Lorsqu’une personne est porteuse du VIH et tombe malade d’une ou de plusieurs de ces infections, elle souffre alors du sida. Il peut s’écouler de nombreuses années avant qu’une personne porteuse du VIH ne développe le sida.
Comment le VIH se contracte-t-il?
Tu ne peux contracter le VIH que si le virus parvient à pénétrer dans la circulation sanguine. Le virus séjourne dans le sang et est transmis par le sang, les sécrétions vaginales, le sperme et le lait maternel. Tu peux contracter le VIH durant des relations sexuelles orales, vaginales ou anales non protégées, en partageant des aiguilles ou d’autres instruments d’injection de drogues intraveineuses (réchauds, eau, filtres, etc.), des rasoirs ou des brosses à dents contaminés de sang. Si tu es une femme, tu peux transmettre le virus à ton bébé durant la grossesse ou en allaitant. Le VIH NE PEUT PAS être transmis par l’intermédiaire de simples contacts (faire un câlin, donner un baiser, serrer la main, partager de la nourriture ou s’asseoir sur un siège de toilette).
Comment savoir qu’on a contracté le VIH?
Systémique Fièvre, perte de poids
1. Central Malaisie, mal de tête, neuropathie
2. Pharyngite
4. Noeuds de lymphe Lymphadenopathy
5. Oesophage Ulcères
6. Peau Rougeurs
7. Muscles Molesto muscles (myalgies)
8. Foie et rate Grossissement
9. Gastrique Nausées, vomissements
Tu peux être porteur du VIH sans le savoir car aucun symptôme ne pourrait apparaître pendant de nombreuses années. Tu pourrais avoir une grippe légère deux à quatre semaines après l’infection. Si tu as eu un des comportements à risque comme ceux énumérés plus haut, tu as peut-être intérêt à te soumettre à un test de dépistage. Il est important d’attendre 12 semaines après le dernier comportement à risque sinon le résultat du test pourrait être inexact. Rappelle-toi que tu peux transmettre la maladie sans même savoir que tu en es atteint.
Dépistage
Le VIH se dépiste au moyen d’une analyse de sang particulière.
Lorsque tu as des relations sexuelles, tu as des rapports avec toutes les personnes qui en ont eu avec elle avant, ainsi qu’avec toutes les personnes avec lesquelles ces personnes ont eu des rapports aussi, et ainsi de suite...
Évalue ton risque
Le baiser
Risques: quelques
Le baiser ne t’expose QU’À QUELQUES ITS.
- Certaines ITS peuvent vivre dans la salive.
- Certaines ITS peuvent être transmises par les coupures et lésions situées à l’intérieur de la bouche.
Pour mieux se protéger : évite d’embrasser ton partenaire lorsqu’il a y des coupures ou des plaies autour ou à l’intérieur de ta bouche ou la bouche de ton partenaire.
Le toucher
Risques: quelques
Le contact cutané ( c’est-à-dire avec la peau) ne t’expose QU’À QUELQUES ITS.
- Certaines ITS produisent des bosses, des éruptions cutanées ou du pus à la surface du corps.
- Tu peux contracter bon nombre de ces ITS en touchant une zone infectée puis en te touchant.
Pour mieux se protéger : condom, digue dentaire (c’est-à-dire un carré de latex qui sert de protection), condom féminin, gants. La meilleure façon serait de s’abstenir.
Les relations orales
Risques: nombreuses
Le fait de pratiquer activement le sexe oral t’expose à de NOMBREUSES ITS.
- Certaines ITS vivent dans le sperme et les sécrétions vaginales.
- Certaines ITS peuvent être transmises par des coupures et des lésions de la région génitale.
Le fait de recevoir passivement du sexe oral t’expose à de NOMBREUSES infections transmissibles sexuellement.
- Certaines ITS vivent dans la salive et dans d’autres liquides organiques.
- Certaines ITS peuvent être transmises par des coupures et des lésions de la bouche.
Pour mieux se protéger : digue dentaire (c’est-à-dire un carré de latex qui sert de protection) , condom. La meilleure façon serait de s’abstenir.
Les relations vaginales
Risques: toutes
Les relations sexuelles vaginales vous exposent à TOUTES les ITS.
- Les organes génitaux d’une personne pénètrent dans le corps du partenaire.
- Il y a échange de liquides organiques comme le sperme et les sécrétions vaginales.
Pour mieux se protéger : condom, condom féminin. La meilleure façon serait de s’abstenir.
Les relations anales
Risques: toutes
Les relations sexuelles anales t’exposent à TOUTES les ITS.
- Les organes génitaux d’une personne pénètrent dans le corps du partenaire.
- Il y a échange de liquides organiques comme le sperme.
- La peau du rectum est très délicate et très sensible.
Pour mieux se protéger : utiliser beaucoup de lubrifiant pour éviter les petites déchirures de la peau, condom. La meilleure façon serait de s’abstenir.
Les contraceptifs protègent contre la grossesse, et non contre les ITS. Porte toujours un condom, même si tu utilises un contraceptif.
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