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22 sept. 2011

La pneumonie

Une pneumopathie est une maladie du tissu pulmonaire. Étymologiquement, il s'agit d'une maladie (-pathie) des poumons (pneumo-) ou pneumopathique au sens général du terme. Communément, le terme est souvent utilisé pour désigner une infection des poumons.

La pneumonie est une inflammation des poumons causée le plus souvent par une infection ou, rarement, par un agent irritant chimique ou physique. Ce terme désigne les infections pulmonaires dues à des bactéries, des virus, des germes atypiques, des champignons (mycoses) ou d'autres parasites.

La pneumonie peut atteindre des personnes de tout âge, mais le plus grand risque concerne les jeunes enfants, les personnes âgées, et les patients immunodéficients. Pour traiter les pneumonies, on utilise souvent des agents antimicrobiens.

Étiologie

Les étiologies sont nombreuses et variées, et diverses sources peuvent additionner leurs effets :

Infection bactérienne ou virale, les plus fréquentes (80 à 90 %). Les germes les plus souvent retrouvés, sont, par ordre décroissant, le Streptococcus pneumoniae, l'Haemophilus influenzae, Legionella pneumophila, Mycoplasma pneumoniae et le virus Influenzae A.
Les pneumopathies atypiques (10 à 20 %) : Mycoplasma pneumoniae, Legionella pneumophila et Chlamydiae pneumoniae
Exceptionnellement, la pneumopathie des éleveurs d'oiseaux, post radique, lipidique, parasitaire, immunologique, tuberculeuse…
L'air pollué, notamment par les véhicules, est aussi un facteur de risque et d'aggravation des pneumonies. Un excès significatif de mort par pneumonie a été constaté au Royaume-Uni, chez des Britanniques plus exposés aux émissions de pots d'échappement (surmortalité mesurée en croisant les données de pollution et les autres causes de décès observées et attendues pour 352 collectivités locales anglaises de 1996 à 2004) ; les pneumonies, mais aussi les maladies cardiaques et les cancers de l'estomac ont pu être statistiquement corrélées à certaines émissions polluantes, au tabagisme et/ou à une consommation élevée d’alcool. Les morts par pneumonie étaient le plus fortement corrélables aux fumées d’échappement des véhicules (avec également une surmortalité par d'autres maladies pulmonaires et cardites rhumatismales). Selon cette étude, le taux de mortalité annuel lié à la pollution dans ces 352 collectivités est comparable à celui entraîné par le smog de Londres de 1952 («great London smog»)[4], bien que les manifestations de la pollution ne soient plus aujourd'hui aussi visibles. Les nanoparticules des échappements pourraient être aujourd'hui en cause, alors que les suies l'étaient sans doute dans les années 1950 et depuis l'avènement du charbon au XIXe siècle.
Les Pneumonies Acquises sous Ventilation Mécanique ou PAVM (souvent Infection nosocomiale) sont contractées chez des patients dépendant d'un respirateur, généralement intubés ou trachéotomisés de réanimation. Multifactorielles, ces pneumonies résultent de l'inhalation du contenu gastrique et/ou oropharyngé via le ballonnet de la sonde trachéale ou canule.

Diagnostic

Le diagnostic repose sur :

la clinique ;
la radiographie de thorax, de face et de profil ;
le bilan sanguin, à la recherche de signe de sepsis ;
l'examen cytobactériologique des crachats (ECBC) éventuellement dans certains cas.
Dans environ 50 % des cas, le germe responsable n'est pas identifié, en effet, celui-ci est identifié grâce à la mise en culture des crachats, qui sont souvent contaminés par la flore oropharyngée normale.

Sémiologie chez l'adulte

Les signes cliniques suivants sont à rechercher en suspicion de pneumonie (conférence de consensus 2006), ils varient en fonction de l'agent bactérien en cause :

Toux
Dyspnée
Douleur latérothoracique
Expectorations
Fièvre
Polypnée
Impression de gravité
Matité localisée
Foyer de crépitants
Chez la personne âgée, la sémiologie peut être plus fruste : confusion, tachypnée, dyspnée, aggravation de pathologie préexistante.

Elle donne une forte fièvre, une grande fatigue et cela dure au minimum pendant 7 jours.
La maladie se caractérise par l'accumulation de pus et de sécrétions dans les alvéoles pulmonaires. Ces dernières ne peuvent plus assurer de manière optimale l'oxygénation du sang. Ce manque d'oxygénation du sang peut entraîner un dysfonctionnement ou même la mort des cellules.

Signes permettant d'éliminer le diagnostic d'une pneumonie aiguë communautaire

Selon la conférence de consensus 2006, l'association des 3 signes suivants permet d'éliminer le diagnostic de Pneumonie Aiguë Communautaire (PAC), c'est la valeur prédictive négative :

1.Fréquence cardiaque < 100/min
2.Fréquence respiratoire < 30/min
3.Température centrale < 37,9 °C
Examens complémentaires[modifier]Selon la conférence de consensus 2006

Radiographie de thorax de face, profil
En difficulté diagnostique, le scanner thoracique sans injection peut être réalisé.
L'angioscanner thoracique permet d'éliminer l'embolie pulmonaire.

Autres examens réalisables (consensus 2006)

Antigène urinaire du Streptoccocus pneumoniae. Sensibilité de 77-89 % en bactériémie, 44-64 % sans bactériémie. Les faux positifs sont rares chez l'adulte.
Antigène urinaire de la légionellose. 80 % des Pneumonies Aiguës Communautaires à Légionelle sérotype 1 excrètent cet antigène après 1 à 3 jours, et peut durer 1 an. La sensibilité du test est de 86 %, spécificité 93 %.

Traitement
Un traitement de fond par antibiothérapie est nécessaire, sauf en cas d'infection virale. Si le germe a préalablement été identifié, l'antibiothérapie sera adaptée à celui-ci, sinon, il s'agira d'une antibiothérapie probabiliste. En ce qui concerne les effets secondaires, un régime diététique (pour certaines personnes peut-être), de l'oxygénothérapie et des calmants (toux) peuvent être prescrits, des séances de kinésithérapie afin d'aider le « malade » à mieux respirer. La position assise est mieux adaptée : en effet, couché, il est difficile de s'oxygéner.

PAC non sévère en ambulatoire[modifier]Origine virale. Chez personne à risque. Neuraminidase dans les 48h suivant le début des symptômes.
Origine bactérienne. Aucun examen microbiologique n'est recommandé. Le traitement est probabiliste.
Patient sans comorbidité[modifier]Amoxicilline 1g x 3/J PO (per os)
ou Pristinamycine 1g x 3/J PO
ou Télithromycine 800 mg/J PO

Patient avec comorbidité
Augmentin 1g x 3/J PO

Patient âgé en institution

Augmentin 1g x 3/J PO
ou Ceftriaxone 1g/J IM/IV/SC
ou FQAP (Levofloxacine 500 mg/J PO ou Moxifloxacine 400 mg/J PO)

Ces traitements nécessitent une réévaluation clinique au 2e-3e jour.
En absence de défervescence thermique et d'aggravation, un macrolide sera ajouté au traitement, ou la substance sera remplacée par les substances alternatives proposées ci-dessus.

Complications

Choc septique (Le choc septique est une défaillance circulatoire aiguë, entraînant des désordres hémodynamiques, métaboliques et viscéraux, déclenchée par un agent infectieux.
C'est une cause de collapsus cardio-vasculaire.
Il est défini par l’apparition ou la persistance d'une hypotension artérielle (PAS < 90 ou PAD < 40 mmHg) ou de signes francs d’hypoperfusion périphérique (Lactatémie ≥ 4 mmol/L, oligurie) malgré un remplissage vasculaire adéquat, au cours d’un sepsis grave, ou d’emblée chez un malade ayant des signes d’infection.
Le choc septique est une urgence médicale qui requiert des soins visant à hausser rapidement la pression artérielle systémique (en augmentant le volume sanguin et en administrant des vasopresseurs tels que les catécholamines) ainsi que des antibiotiques par voie intraveineuse.
Le choc septique reste une maladie grave et reste associé à un fort taux de mortalité.) et sepsis grave (Le sepsis grave est un état septique défini par : sepsis + lactates > 4 mmol/l ou sepsis + hypotension avant remplissage ou sepsis + dysfonction d'organe (une seule est nécessaire pour poser le diagnostic) :
    • Respiratoire : PaO2/FiO2<300
    • Rénale : Créatinine > 176 micromol/l, >2x la normale ou oligurie
    • Coagulation : INR > 1.5
    • Hépatique : INR >4, Bilirubine > 78 micromol/l
    • Thrombocytémie < 10⁵/mm³
    • Fonctions supérieures : CGS <13).
Maladie thrombo-embolique (Il faut envisager le concept de maladie thromboembolique veineuse (MTE ou MTEV) comme une maladie unique, car ses deux formes principales, comme la thrombose veineuse profonde (TVP) ou phlébite et sa complication majeure l'embolie pulmonaire (EP) sont étroitement liées et indissociables. En effet plus de 70% des embolies pulmonaires surviennent dans les suites d'une thrombose veineuse profonde, les caillots sanguins obstruant les veines des membres inférieurs migrant vers la circulation pulmonaire.)
Pleurésie (La pleurésie est une inflammation aiguë ou chronique de la plèvre, avec ou sans épanchement. Une pleurésie sans épanchement est appelée « pleurésie sèche » ou « pleurite ». Le nom vient de plèvre, en grec : πλευρόν (côte, flanc).)
Pneumothorax (rare) (En médecine (pneumologie), le pneumothorax est un cas d'urgence médicale consistant en un épanchement d'air dans la cavité pleurale (accollement de la plèvre pariétale et viscérale, on parle de séreuse, elles tapissent respectivement la cage thoracique et les poumons). Le poumon s’affaisse alors avec des conséquences respiratoires et hémodynamiques parfois graves et urgentes pouvant aller jusqu'à la mort.)
Syndrome de détresse respiratoire aiguë (Le syndrome de détresse respiratoire aiguë (SDRA) est un état critique (extrêmement grave) où la compliance pulmonaire et la capacité d'échanges gazeux chutent radicalement.Il traduit une atteinte de la membrane alvéolo-capillaire induisant un œdème pulmonaire.
Cette entité clinique peut apparaître dans un grand nombre de situations pathologiques et sa physiopathologie reste imprécise. Son traitement, encore empirique, sauve le patient dans 50 à 70% des cas ; son pronostic reste donc encore très sombre et il peut laisser des séquelles importantes.)

Autres pneumopathies

Pneumocystose (La pneumocystose est une « infection opportuniste » due à un micro-organisme, Pneumocystis jiroveci (anciennement appelé Pneumocystis carinii). L'infestation à P. jiroveci est très courante dans la population générale, de l'ordre de 70%, mais ne conduit à une maladie pulmonaire que lorsque le taux de lymphocytes T CD4+ circulants est inférieur à 200/mm³. Les deux types de patients concernés sont les greffés sous immunosuppresseurs et les patients séropositifs VIH au stade SIDA.)
Bronchiolite (Une bronchiolite est une infection virale respiratoire touchant les petites bronches du nourrisson et du jeune enfant et se transmettant sur un mode épidémique saisonnier. Les symptômes respiratoires sont souvent inquiétants pour les parents, mais cette maladie est le plus souvent bénigne. Pourtant dans certains cas des complications sont possibles et certains signes doivent conduire à consulter rapidement un médecin.)
SRAS ou pneumonie atypique (La pneumonie atypique (aussi appelée pneumopathie atypique), est une maladie hautement infectieuse provenant du virus SARS-CoV de la famille des coronavirus. Elle se caractérise par un syndrome respiratoire aigu sévère (SRAS, SARS en anglais, pour Severe Acute Respiratory Syndrome).
Elle est apparue pour la première fois en Chine en novembre 2002, et a provoqué une épidémie en mai 2003.)
Ce que moi j'ai eu pour ma pneomonie ?

Apo-Azithromycin

(azithromycine)

Comment ce médicament agit-il ? Quels sont ses effets ?
L'azithromycine appartient à la famille des médicaments appelés antibiotiques macrolides. Elle s'utilise pour soigner certains types d'infections causées par des bactéries. Elle est le plus souvent employée pour traiter des infections de l'oreille (par ex. l'otite moyenne), de la gorge, des poumons (par ex. une pneumonie) et de la peau. Ce médicament peut aussi s'utiliser pour prévenir les infections à Mycobacterium avium complexe (MAC) susceptibles de toucher les personnes atteintes d'une infection par le VIH.
Il se pourrait que votre médecin ait suggéré ce médicament contre une affection qui ne figure pas dans cet article d'information sur les médicaments. En outre, certaines formes de ce médicament pourraient ne pas être utilisées pour tous les troubles mentionnés dans cet article. Si vous n'en avez pas encore discuté avec votre médecin, ou si vous avez des doutes sur les raisons pour lesquelles vous prenez ce médicament, consultez-le. Ne cessez pas de prendre ce médicament sans avoir consulté votre médecin au préalable.
Ne donnez pas ce médicament à quiconque, même à quelqu'un qui souffre des mêmes symptômes que les vôtres. Ce médicament pourrait nuire aux personnes pour lesquelles il n'a pas été prescrit.

Comment doit-on employer ce médicament ?

La dose d'azithromycine recommandée pour un adulte pour soigner les infections des poumons et de la peau est 2 comprimés de 250 mg le premier jour, suivis par 1 comprimé de 250 mg pris à la même heure chaque jour les 4 jours suivants. La dose usuelle pour la prévention des infections à Mycobacterium avium complexe (MAC) en ce qui concerne les personnes atteintes d'une infection par le VIH est 1 200 mg une fois par semaine.
La dose pour enfants d'azithromycine (en suspension liquide) est établie en fonction du poids corporel. Pour soigner l'otite moyenne (infection de l'oreille moyenne) des enfants, un traitement inférieur à 5 jours peut être prescrit (soit 3 jours ou 1 jour, selon la dose utilisée).
Les doses d'azithromycine pour le traitement d'autres affections varient selon le trouble à soigner.
L'azithromycine peut également être donnée par injection pour soigner une grave pneumonie ou une maladie inflammatoire pelvienne. Le médicament est habituellement administré en milieu hospitalier par un professionnel de la santé. Votre médecin déterminera la dose appropriée du médicament.
Plusieurs facteurs peuvent entrer en ligne de compte pour déterminer la dose dont une personne a besoin : son poids, son état de santé et la prise d'autres médicaments. Si votre médecin a recommandé une dose autre que celles indiquées ici, ne modifiez pas la manière de prendre le médicament sans le consulter au préalable.
L'azithromycine doit se prendre pendant toute la durée recommandée du traitement, même si vous vous sentez mieux. Vous diminuerez ainsi le risque de réapparition des bactéries qui ont résisté au traitement.
Ce médicament peut se prendre avec ou sans aliments. La prise du médicament avec des aliments peut aider à prévenir les maux d'estomac.
Il est important d'utiliser ce médicament conformément aux indications de votre médecin. Poursuivez le traitement jusqu'à l'épuisement de la dose prescrite, même si vous vous sentez mieux. Si vous oubliez une dose, prenez le médicament dès que vous constatez l'omission et reprenez la suite du traitement aussitôt que possible. S'il est presque temps de votre prochaine dose, ne vous souciez pas de la dose omise et reprenez le schéma posologique usuel. N'utilisez pas une double dose pour compenser l'omission d'une dose. Si vous hésitez sur la conduite à tenir après avoir omis une dose, demandez conseil à votre médecin ou à un pharmacien.
Entreposez toutes les formes de ce médicament à la température ambiante, hors de la portée des enfants. Jetez toute suspension (liquide) inutilisée après 10 jours.
Ce médicament est disponible sous divers noms de marque ou sous différentes présentations, ou les deux. Une marque de ce médicament pourrait ne pas être disponible sous toutes les présentations énumérées ici. Vous trouverez les diverses présentations sous lesquelles cette marque particulière est mise à votre disposition dans la section : « Sous quelles formes ce médicament se présente-t-il ? »
Ne jetez pas de médicaments dans les eaux usées (par ex. pas dans l'évier ni dans la cuvette des cabinets) ni avec les ordures ménagères. Demandez à votre pharmacien comment vous débarrasser des médicaments inutilisés ou périmés.

Sous quelles formes ce médicament se présente-t-il ?

Chaque comprimé, rose foncé, ovale, pelliculé, biconvexe, portant l'inscription « AZ250 » gravée sur une face et « APO » sur l'autre, contient de l'isopropanolate d'azithromycine monohydrate équivalant à 250 mg d'azithromycine. Ingrédients non médicinaux : dioxyde de silice colloïdale, croscarmellose sodique, D et C rouge nº 30, hydroxyéthylcellulose, stéarate de magnésium, cellulose microcristalline, polyéthylèneglycol, acide stéarique, dioxyde de titane et vitamine E.

Dans quels cas ce médicament est-il déconseillé ?

L'azithromycine ne devrait pas s'employer dans les circonstances ci-après :
  • une allergie à l'azithromycine ou à l'un des ingrédients du médicament ;
  • une allergie à l'érythromycine ou à d'autres antibiotiques macrolides (par ex. la clarithromycine).

Quels sont les effets secondaires possibles de ce médicament ?
  • Beaucoup de médicaments peuvent provoquer des effets secondaires. Un effet secondaire est une réponse indésirable à un médicament lorsqu'il est pris à des doses normales. Il peut être léger ou grave, temporaire ou permanent. Les effets secondaires énumérés ci-après ne sont pas ressentis par toutes les personnes qui prennent ce médicament. Si les effets secondaires vous inquiètent, discutez des risques et des bienfaits de ce médicament avec votre médecin.
    Au moins 1 % des personnes prenant ce médicament ont signalé les effets secondaires ci-après. Un grand nombre de ces effets secondaires peuvent être pris en charge et quelques-uns peuvent disparaître d'eux-mêmes avec le temps.
    Consultez votre médecin si vous ressentez ces effets secondaires et s'ils sont graves ou gênants. Votre pharmacien pourrait être en mesure de vous donner des conseils sur la conduite à tenir si ces effets secondaires apparaissaient :
    • de la diarrhée (légère),
    • des étourdissements,
    • des maux de tête,
    • de la nausée ou des vomissements;
    • une gêne ou une douleur gastrique.
    Cessez de prendre le médicament et sollicitez immédiatement des soins médicaux s'il se produit une réponse comme :
    • des crampes ou des douleurs à l'abdomen ou l'estomac (intenses) ;
    • une diarrhée aqueuse et grave, parfois sanglante ;
    • une fièvre ;
    • des douleurs articulaires ;
    • des signes d'une grave réaction allergique comme des crampes abdominales, une difficulté respiratoire, de la nausée et des vomissements, ou une boursouflure du visage et une enflure de la gorge ;
    • des symptômes d'une grave réaction cutanée comme des cloques, une desquamation, une éruption cutanée recouvrant une grande région du corps, une éruption cutanée qui s'étend rapidement ou une éruption cutanée accompagnée d'une fièvre ou d'une gêne.
    Certaines personnes peuvent ressentir des effets secondaires autres que ceux énumérés. Consultez votre médecin si vous remarquez un symptôme qui vous inquiète pendant que vous employez ce médicament.

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