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7 oct. 2010

La vérité sur les boissons énergisantes

Red Bull et autres boissons énergisantes remportent un franc succès auprès des jeunes. Censées stimuler les performances physiques et intellectuelles, ces boissons énergisantes sont des concentrés de sucre et de caféine. Rien d'étonnant à ce qu'elles donnent un " coup de fouet " à nos ados, pour une courte période, mais elles peuvent aussi entraîner des effets secondaires aussi indésirables qu'inutiles...

PréventionLes boissons énergisantes améliorent-elles les performances physiques ?
Les boissons énergisantes sont censées fournir de l'énergie et accroître la résistance physique. Pourtant, il n'existe pas d'étude prouvant que ces boissons ont un impact sur l'effort physique. En revanche, elles ont tendance à déshydrater, ce qui peut se révéler dangereux particulièrement en cas d'activité physique. Enfin, on a démontré un risque accru de troubles cardiaques chez les consommateurs de ces boissons énergisantes.


Les boissons énergisantes apportent-elles vraiment beaucoup d'énergie ?

L'appellation " source d'énergie " est autorisée lorsqu'une boisson fournit au moins 100 calories par portion. C'est par exemple le cas du jus d'orange : un verre de 125 ml apporte 125 calories. Sauf que l'énergie apportée par les boissons énergisantes provient exclusivement de sucres simples (saccharose, glucose). Ce qui représente pour l'organisme des calories vides, c'est-à-dire sans aucun autre bénéfice (pas de vitamines ni de minéraux, ne participent pas non plus à la satiété et ne sont comptabilisées dans la ration calorique quotidienne).

Les boissons énergisantes stimulent-elles le cerveau ?

Les étudiants qui souhaitent stimuler leurs fonctions intellectuelles pendant les examens apprécient la sensation " coup de fouet " de ces boissons énergisantes. Une étude menée en 2004 a effectivement constaté une amélioration de la mémoire à long terme et de la capacité d'attention une demi-heure après la consommation de ce type de boisson. L'effet est sans doute attribuable à la synergie entre les sucres simples et la caféine.

La teneur en caféine des boissons énergisantes est-elle dangereuse ?

Une cannette contient environ 80 mg de caféine, soit l'équivalent de celle contenue dans une tasse de café. Autrement dit, boire 2 cafés et 2 canettes suffit à dépasser la dose quotidienne recommandée. Les signes d'intoxication sont les suivants : maux de tête, insomnie, nervosité, tremblements, tachycardies, troubles digestifs, confusion... A noter que la dépendance à la caféine survient très vite : 4 à 5 jours de consommation régulière peuvent suffire...

La taurine et le D-glucuronogactone sont-ils stimulants et/ou dangereux ?
La taurine et le D-glucuronogactone sont des substances ajoutées dans les boissons énergisantes pour leurs effets stimulants, lesquels n'ont cependant pas été démontrés par des études scientifiques concluantes. Parallèlement, il faut savoir que les doses employées sont élevées, dépassant largement ce qu'apporte l'alimentation. De telles quantités sont suspectées être toxiques sur le système nerveux pour la taurine et pour les reins pour le D-glucuronogactone. En l'absence de données validées, l'Autorité européenne de sécurité des aliments (Afsa) recommande de ne pas dépasser une cannette et demi de Red Bull par jour.

A noter que certaines boissons sont enrichies en vitamines B3 et B6. Au-delà de 5 cannettes par jour le seuil de toxicité est atteint avec des risques pour le foie et le système nerveux.

Enfin, sachez que les effets excitants des boissons énergisantes sont potentialisés avec l'alcool. Résultat, le danger est réel car l'alcoolisation est moins bien perçue, ce qui peut pousser à en boire davantage et à une prise de risque comme la conduite sous l'emprise de l'alcool et les comportements à risque (bagarre, blessure, rapport sexuel non protégé...).

Note:

Il existe deux types de boissons qui fournissent de l'énergie : les boissons énergisantes et les boissons énergétiques. Leurs ingrédients diffèrent, ainsi que leurs fonctions sur le corps.

Les boissons énergisantes

Les boissons énergisantes contiennent de la caféine : un stimulant qui ne contient aucune calorie, mais aucune énergie pure. Il suffit de 400 mg par semaine pour créer une dépendance. Chacune de ces boissons énergisantes contient entre 70 et 85 mg de caféine. Il est préférable de ne pas consommer de boisson énergisante avant chacun des entraînements pour se procurer une source d'énergie supplémentaire.

D'autres ingrédients, dont Santé Canada n'a pas encore reconnu la dose maximale, sont présents dans ces boissons. Consommez-les avec modération.

Les boissons énergétiques

Les boissons énergétiques sont conçues pour donner de l'énergie au corps. Elles contiennent des glucides, mais également des sels et minéraux tels que le potassium, le magnésium et le calcium. Ces boissons sont recommandées pour un entraînement de plus d'une heure ou pour refaire ses réserves d'énergie.

Et pour remplacer les boissons énergétiques :

Recette maison de boisson énergétique aux pêches

1/2 t. de lait 1 %
1/3 t. de yogourt
1/2 t. de pêches fraîches ou en boîte
1 c. à thé de sirop d'érable ou de miel
- Mettre tous les ingrédients dans un mélangeur.
- Mélanger le tout jusqu'à obtenir une substance onctueuse.
- Servir et déguster.

La consommation régulière de telles boissons est déconseillée en raison d'effets secondaires potentiels. Quant aux bénéfices stimulants, ils peuvent être obtenus en enrichissant son alimentation en fruits et légumes notamment, pour leurs vitamines et minéraux, véritables carburants dont l'organisme a besoin.

Et pour en finir une petite vidéo (en anglais seulement) :



...et une autre en francais (fait au Québec):

6 oct. 2010

La réponse immunitaire (SUITE)

La réponse immunitaire
            Les lymphocytes T et B sont responsables de la réponse immunitaire qui peut-être de 2 façons :
-          la réponse a médiation cellulaire – l’élimination directe de l’agent agresseur par les lymphocytes T
-          la réponse a médiation humorale – les lymphocytes B sont activées par la présence d’un antigène spécifiquese transforment en plasmocytes sécrétion des anticorps qui agissent comme suit: - ils immobilisent l’antigène
                                                               - ils neutralisent les toxines bactériennes
                                                               - ils provoquent l’agglutination avec les autres antigènes de même nature
                                                               - ils augmentent la phagocytose (Vous vous rappelez ? Le processus d’ingestion que les macrophages le font aux microorganismes)
                    Les lymphocytes B qui ne se transforment pas en plasmocytes deviennent des lymphocytes B mémoire qui vont être prêtes à réagir rapidement en présence du même antigène.

            Les anticorps spécifiques sont des protéines appelées GLOBULINES (ou immunoglobulines) regroupées en :
-          IgC – 75-80% des anticorps – seuls à traverser le placenta (de la mère a l’enfant)
-          IgA – 10-15% des anticorps – présents dans les liquides biologiques pour la protection des muqueuses
-          IgM – 5-10% des anticorps – premiers à être secrétés après contact avec l’antigène – sont aussi en cause de la hémolyse suite a une transfusion non compatible.
-          IgD – 0.2% des anticorps – stimulent l’action des lymphocytes B
-          IgE – 0.1% des anticorps – participent à la réaction inflammatoire et libèrent des médiateurs chimiques
                                               - jouent un rôle dans les réactions allergiques et d’hypersensibilités
                    L’immunogène = c’est l’antigène qui provoque une réaction cellulaire ou humorale et qui crée l’immunité.

                     Les lymphocytes T et B  doivent faire la reconnaissance de soi pour qu’elles fonctionnent adéquatement et rester insensibles a certaines modifications des proteines de l’organisme pour parler de la tolérance immunitaire.

Altération du système immunitaire


Le mauvais fonctionnement du système immunitaire peut altérer le cœur, le cerveau et les muscles.
Pour une évaluation de ces altérations le médecin doit faire :
   * Examen physique – vérifier les SV : TA, Pls, R et la T°
   - Observer les différentes parties du corps pour évaluer :
                                                 -  coloration de la peau + muqueuses
                                                 -  l’œdème
                                                 -  signes de déshydratation
                                                 -  le gonflement des nœuds lymphatiques
                                                 -  présence du prurit, ulcérations, érythème, pustules
                                                 -  posture prise pour faciliter la respiration
 - Observer l’état général pour évaluer :
                                                 - degré de détresse et d’anxiété
                                                 - niveau de conscience
                                                 - degré d’asthénie, d’anorexie et d’amaigrissement
                                                 - niveau de douleur
    * Analyses de laboratoire – Prélèvement sanguin :
                                                       - FSC
                                                       - vitesse de sédimentation – temps que les érythrocytes se déposent au fond de
                                                                                                     l’éprouvette 
                                                       - dosage du complément – dosage de proteines
                                                       - recherche d’antigènes – thérapie anti cancéreuse (intestins, prostate, méningite,
                                                                                                 Hépatite B) 
                                                       - formule leucocytaire – granulocytes (neutrophiles, éosinophiles, basophiles)
                                                                                           - agranulocytes (lymphocytes T et B + monocytes
                                                       - numération globulaire – nombre des globules / mm³ (érythrocytes, leucocytes,
                                                                                                plaquettes)
                                                  - Autres types :
                                                       - culture et antibiogramme – culture qui détecte les microorganismes qui

                                                                                                   provoquent une infection + antibiogramme qui
                                                                                                   détermine la sensibilité d’une bactérie à l’égard des
                                                                                                   antibiotiques (faites pour le sang, l’urine, les selles,
                                                                                                   les expectorations, les secrétions des plaies ou des
                                                                                                   muqueuses)
                                                       - recherche de parasites – recherche les parasites et les œufs des parasites  
   
  * Moyens d’exploration médicale :
       - Tomodensitométrie (TACO) – examen radiologique qui projette la coupe transversale de l’organe visualisé
                                                           - détecte : - évidence des lésions
                                                                            - calcification 
                                                                            - tumeurs
                                                                            - abcès ou cavités
                                                                            - diagnostique ou suit l’évolution des cancers
       -  Échographie – test non invasif qui utilises les ondes ultrasonores (examen de la rate, des nœuds
                                    lymphatiques
       -  Scintigraphie de la rate ou du foie – injection intraveineuse d’un produit radioactif
                                                                     - détecte : - les métastases hépatiques
                                                                                      - la maladie hépatocellulaire
                                                                                      - mise en évidence de l’hépatomégalie ou une splénomégalie
                                                                                      - détection des infarctus, tumeurs, kystes, abcès
                                                                                      - examine l’état du foie, la rate après traumatisme abdominal
      - Résonance magnétique -  technique non invasive qui donne des images transversales sans l’injection de
                                                    substances opacifiantes (Scintigraphie) ou les radiations (Tomodensitométrie)
      - Biopsie des nœuds lymphatiques -  analyse biologique du tissu ganglionnaire qui permet à distinguer des
                                                                    tumeurs bénignes ou malignes et détermine le stade évolutif de cancers
                                                                    métastatiques


Causes et facteurs de risque des altérations

Facteurs de risque :
-          le nombre de microorganismes rencontrés
-          la virulence
-          la résistance personnelle de l’individu – influencée par :
                 - l’hérédité
                 - l’âge (enfants + personnes âgées = plus a risque)
                 - conditions de vie :
                       * l’insalubrité
                       * alimentation pauvre en proteines, vitamines, sels minéraux
                       * tabagisme, alcool, toxicomanie
                       * sédentarité
                       * manque de sommeil
                       * stress
                       * la fatigue
-    certaines situations particulières :
                       * personnes déjà atteintes de maladies
                      * personnes résistantes aux antibiotiques
                      * personnes qui reçoivent de la chimio ou de la radiothérapie
                      * personnes atteintes de VIH, leucémie, cancer
                      * la prise de médicaments (antibiotiques)
   
   Facteurs qui favorisent à la réparation de l’organisme :  
-          diminuer les contacts avec les personnes contaminées
-          développer des habitudes de vie saines ( alimentation riche en proteines, en sels minéraux, et en vitamines, exercices physiques pour ↑ l’oxygénation et la circulation, repos et sommeil adéquat)
-          éviter les abus de tabac et alcool

IMMUNOPATHOLOGIE

- Allergies – plusieurs types :
    * Type I – choc anaphylactique – IgE font une réaction à médiation humorale
    * Type II – réaction cytotoxique – IgM et IgG font une réaction à médiation humorale 
                      (transfusion sanguine incompatible)
    * Type III – réaction à complexes immuns – IgM + IgA font une réaction à médiation
                        humorale  - polyarthrite rhumatoïde
                                       * Type IV – réaction à médiation cellulaire retardée – les lymphocytes T interviennent
                                                           après 12 à 72 heures après l’exposition – la tuberculose

LE CHOC ANAPHYLACTIQUE
Peut être cause par :
-          une allergie respiratoire (la poussière, les acariens, les pollens)
-          une allergie de contact (métaux, bijoux, maquillage, plantes, savons, détergents, déodorants, pommades, soleil, latex, tissus)
-          une allergie alimentaire (arachides, blanc d’œuf, certains fruits, le lait, fruits de mer, chocolat, gluten, certains additifs alimentaires)
-          une allergie médicamenteuse (aspirine, antibiotiques,

C’est : - la plus grave manifestation allergique (hypersensibilité de type I)
            - se produit au contact renouvelé avec l’allergène
            - une hypersensibilité aigue et généralisée dans tout l’organisme

Dégrée de gravité
IL S’AGIT D’UNE URGENCE VITALE.
Modifications :
Elles sont à la fois générales, respiratoires, cutanées et digestives :
* modification de la respiration (tachypnée, congestion nasale, dyspnée, éternuement, toux, compression
   thoracique, bronchospasme, détresse respiratoire, voix rauque, stridor, crise d’asthme)
* modifications cardiovasculaires (↓ TA, tachycardie, pâleur, pouls imperceptible, coma)
* modifications cutanées (démangeaisons, rougeurs, chaleur, érythème, prurit généralisé, œdème, diaphorèse)
* modifications digestives (nausées, vomissements, coliques, diarrhée)

Soins :
* médication ( adrénergétiques )
* dégager les voies respiratoires
* administrer d’O2
* surveiller les SV
* surveiller les signes de détresse respiratoire


Altérations auto-immunes
-          la thyroïdite chronique
-          diabète insulinodépendant
-          polyarthrite rhumatoïde
-          sclérodermie
-          maladie cœliaque
-          sclérose en plaques
-          lupus érythémateux – il est de deux types :
                    - LEC (chronique) qui affecte la peau
                    - LED (disséminé) qui altère plusieurs systèmes de façon progressive

Manifestations cliniques du Lupus Érythémateux :
-          fatigue extrême
-          faiblesse généralisée
-          anorexie et perte de poids
-          éruptions cutanées et des muqueuses (érythème en forme de taches écailleuses et en forme de papillon au visage, ulcères de la muqueuse buccale)
-          altérations des différents systèmes (arthrite aves déformations, polymyosite, vascularite)
-          complications aux différentes systèmes (insuffisance rénale, problèmes cardiaques – péricardite, endocardite -, problèmes artérielles, gastro-intestinaux, cérébraux, infections respiratoires)

Soins :
-          maintenir l’autonomie de vie quotidienne (AVQ)
-          prévenir les épisodes de crise (éviter le soleil et les rayons ultraviolets, favoriser le repos, diminuer le stress)
-          soulager la douleur et les inconforts (maintenir l’intégrité de la peau, favorise la prise des petits repas nutritifs et faciles à digérer)
-          médication (anti-inflammatoires, corticostéroïdes, immunodépresseurs, analgésiques)

L’IMMUNODEFICIENCE
C’est : - l’incapacité congénitale ou acquise a résister a l’infection causé par le non-fonctionnement de système immunitaire.
            - parmi les plus connues immunodéficiences acquises se trouvent :
- le SIDA (altération du système immunitaire cause par le Virus de l’Immunodéficience Humaine- VIH)
- le cancer

4 oct. 2010

La circulation lymphatique

La circulation lymphatique

Le rôle : drainer la lymphe.
Les vaisseaux è deviennent plus gros è nœuds lymphatiques (qui filtrent la lymphe et la débarrasse des substances étrangères).
è    sont munis des valvules pour empêcher le reflux de la lymphe (qui circule uniquement en direction du cœur)
è    se réunissent en troncs et se déversent dans deux canaux :

             -   le conduit (ou canal) thoracique qui prend naissance a la citerne du chyle (ou citerne de Pecquet), devant la 2e vertèbre lombaire : collecte la lymphe du côté gauche de la tête, du cou et du thorax, du membre supérieur gauche de l’ensemble du corps, sous les cotes -> de déverse dans la veine sous-clavière gauche à l’intersection de la veine jugulaire
                                                                                                 
-          le conduit lymphatique droit (la grande veine lymphatique) : collecte la lymphe du côté droit de la tête, du cou, du thorax, du membre supérieur droit  -> se déverse dans la veine sous-clavière droite à l’intersection de la veine jugulaire.
La lymphe retourne dans le sang.
Facteurs qui influencent un bon écoulement de la lymphe : - les contractions des muscles squelettiques (le mouvement, la marche)
                                                                                              - la respiration (une respiration profonde et régulière)
                                                                                              - le bon état du système cardiovasculaire

Mécanismes de défense NON-SPECIFIQUES
Externes

Les barrières physiques et chimiques superficielles :
-          la peau : à la surface il y a des cellules résistantes (kératinisées) protégées par le sébum (matière grasse secrétée par les glandes sébacées), la desquamation et l’élimination de la sueur (lysozyme) éloignent les microorganismes
-          les muqueuses : secrètent le mucus qui emprisonne les substances étrangères et les empêchent à pénétrer plus loin; certaines muqueuses possèdent des poils capables de filtrer et retenir la poussière et microorganismes (éliminés après par la toux et les éternuements) (lysozyme)
                      Autres secrétions outre le mucus permettent de repousser les invasions microbiennes :
                      - la salive qui protégé la bouche et les dents (lysozyme)
                      - les larmes nettoient et protègent les yeux (lysozyme)
                      - l’urine  nettoie l’urètre et empêche la contamination des voies urinaires
                                                         - le suc gastrique qui détruit par son acidité les bactéries et les toxines
                                                         - les secrétions vaginales avec leur pH légèrement acide empêche la prolifération des bactéries.
                                                                            Internes

-          Les protéines antimicrobiennes :
                                  - l’interféron qui intervient en cas d’infection virale
                                  - le complément composé d’une vingtaine de protéines plasmatiques qui amplifient ou complètent certaines réactions comme les réactions
                                    immunitaires et inflammatoires et certaines réactions négatives (réactions allergiques ou les maladies auto-immunes)
                                                                     - les transferrines sont des protéines qui se lient au Fe pour ainsi priver les bactéries qui s’en nourrissent aussi de Fe (elles sont empêchées de se
                                                                       développer)
-          Macrophages – par phagocytose elles ingèrent les microorganisme ou autre particules étrangères comme suit :

1)      le macrophage adhère au microorganisme
2)      le macrophage forme une vésicule phagocytaire autour du microorganisme afin de l’ingérer
3)      le Lysosome sert a la digestion du microorganisme et prend la forme d’un sac membraneux (contient le lysozyme, des ensimes digestives, des oxydants mortels)
4)      le microorganisme est détruit et ses résidus sont expulsés.
-          Cellules tueuse naturelles (NK)  sont des lymphocytes qui se lient directement a l’agent agresseur pour le détruire immédiatement – elles s’attaquent aussi des fois les
       cellules cancéreuses qui apparaissent subitement.
-          L’inflammation -  ensemble des réactions de l’organisme face aux attaques des : bactéries, virus, toxiques, traumatiques etc.
            Les étapes de l’inflammation :
1)      vasodilatation et l’augmentation de la perméabilité des capillaires permettent à libération de l’histamine qui permet l’augmentation de la perméabilité des capillaires pour que les substances protectrice du sang (anticorps, plaquettes et les macrophages) puissent traverser les parois des capillaires.
2)      la migration et l’agglutination des leucocytes – les leucocytes par diapédèse traversent la membrane des capillaires après se multiplient et s’accumulent au site 
      de la lésion.
3)      réparation tissulaire  - la cicatrisation commence une fois que le site est nettoyé par les débris faits par l’inflammation
                   Signes vu : - Rougeur et chaleur
                                                   - Œdème  
                                                                                      - Douleur
  -   Fièvre (hyperthermie) décalage a la hausse par le hypothalamus lors d’une infection ou d’une réaction inflammatoire
                                                                                -   accélère le processus de guérison en stimulant la production des leucocytes dans la moelle osseuse, augmente la phagocytose et amplifie
                                                                                     l’interféron.
                                             -  la fièvre + ↑ fréquence cardiaque = leucocytes migrent plus rapidement au site affecté

Mécanismes de défense SPECIFIQUES

                      L’immunité – résistance spécifique pour que l’organisme se défende contre des agents
                                             envahisseurs spécifiques.
                                                          Antigènes :
                                                                      - bactéries
                                   - virus
                                   - parasites
                                   - venin
                                   - vaccin
                                   - cellules cancéreuse
IMMUNITE

Acquise de façon active

Naturelle :
 - en contractant la maladie
- par contact répété
Artificielle :
- vaccination (durable)

Acquise de façon passive

Naturelle :
 - transmise au fœtus a travers la placenta
-  par allaitement
Artificielle :
- sérothérapie  (2-3 semaines, quelques mois pour le nouveau-né)