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31 déc. 2015

Douleurs à l'omoplate

Douleurs à l'omoplate

Les douleurs à l'omoplate sont le signe de pathologies variées, le plus souvent d'origine fonctionnelles. Dans des cas moins fréquents, ce type de douleur peut être associé à des maladies plus sérieuses.




Quand consulter ?

Les douleurs au niveau de l'omoplate sont le plus souvent liées à une pathologie fonctionnelle déjà connue. En cas de survenue de symptômes douloureux intenses et sans cause apparente (traumatisme), il est impératif de consulter un médecin dans les meilleurs délais.

Définition

L'omoplate, ou scapula, est un os plat, de forme triangulaire, avec une pointe inférieure, qui est situé à la face postérieure de l'épaule. L'omoplate se compose essentiellement de trois éléments:
l''acromion, protubérance osseuse qui s'articule avec la clavicule, la cavité glénoïdale, qui s'articule avec l'humérus et la coracoïde, lieu d'insertion de ligaments et de muscles intéressant l'épaule et le bras notamment.

Rôle dans l'articulation de l'épaule

En résumé : l'omoplate sert de cavité et de point d'insertion à de nombreux muscles et tendons du bras, du cou et du thorax.

Douleurs liées à un traumatisme


Fracture de l'omoplate

Le plus souvent bénigne, la fracture de l'omoplate est également rare : les muscles couvrant l'os le protègent en effet des traumatismes. Une fracture de l'omoplate ne survient donc qu'en cas de chocs violents sur la face externe de l'os.
Le traitement le plus fréquent consiste en une courte immobilisation (coude au corps), et une rééducation pour éviter une ankylose de l'épaule. Une fracture de la coracoïde nécessite ainsi une une rééducation fonctionnelle.
Selon l'angle et la violence du choc, différents types de fractures sont possibles, avec selon leur gravité, des traitements plus ou moins lourds :
Citons également la fracture de la glène( intervention chirurgicale en cas de déplacement important), la fracture articulaire du col chirurgical (déplacement de la surface articulaire glénoïdienne) et la fracture de l'acromion pour laquelle une intervention chirurgicale est envisagée si modification de l'espace sous-acromial.

Luxation de l'épaule

L'épaule est l'articulation la plus mobile de l'organisme. L'instabilité de l'épaule résulte d'un déséquilibre entre mobilité et stabilité de l'articulation : elle constitue alors un facteur de risque de luxation ou subluxation (luxation incomplète) de l'articulation, plus particulièrement chez le sujet jeune et sportif (exemple : sports de lancer). En cas de luxation de l'épaule, l'attache des ligaments situés autour de l'épaule (appelée bourrelet glénoïdien) se détache du rebord de l'omoplate, le plus souvent vers l'avant, et le bas. Une instabilité de l'épaule, et des épisodes de luxations ou subluxations répétés peuvent entraîner une usure du rebord de l'omoplate, qui est révélée par examen radiographique.

Syndrome de l'angulaire de l'omoplate

L'angulaire de l'omoplate, ou muscle élévateur de la scapula, relie l'omoplate à la partie postérieure du rachis.
Par fatigue, ou à la suite d'une mauvaise position (ex : tête tournée de manière prolongée) ou d'un effort, ce muscle peut se contracter. Cette contracture aggrave le blocage de la 3e, 4e ou 5e cervicale, le plus souvent en cause dans cette pathologie.
Apparaissent une douleur dorsale haute, une douleur dans les cervicales basses, une diminution de la mobilité du cou et parfois des douleurs irradiantes dans le bras ou l'épaule.

Déchirure du muscle rhomboïde

Le muscle rhomboïde (petit et grand rhomboïde) est un muscle thoracique oblique, situé entre le rachis et la scapula (omoplate). Cette lésion musculaire s'observe surtout dans la pratique sportive. Elle résulte de l'écartement brutal de l'omoplate, ou de la sollicitation trop importante d'un des deux bras. L'échographie met en évidence une déchirure du muscle rhomboïde, qui nécessite une immobilisation de deux à trois semaines, pour permettre la cicatrisation.

Autres pathologies


Tendinite

Une tendinite affectant un des tendons de l'aire scapulaire (l'épaule, l'omoplate et le cou) peut être à l'origine de douleurs aiguës, localisées sur l'omoplate.

Arthrite ou arthrose

Une douleur localisée au niveau de l'omoplate peut aussi être le signe d'une usure de l'articulation de l'épaule (arthrose), ou d'une inflammation (arthrite).
Dans le cas d'une arthrite, l'inflammation de l'articulation de l'épaule peut irradier vers l'omoplate et provoquer des douleurs chroniques et intenses, dans la région scapulaire. Comme l'origine d'une arthrite peut être infectieuse, inflammatoire ou génétique notamment, elle nécessite un traitement adapté.
L'arthrose de l'épaule (omarthrose), beaucoup plus rare que l'arthrose de la hanche ou du genou, ainsi que l'arthrose cervicale (pathologie fréquente) peuvent également être à l'origine de douleurs de l'omoplate.

Pathologie osseuses de voisinage

Dans de rares cas, les douleurs de l'omoplate peuvent être liées à plusieurs « pathologies osseuses de voisinage ». Et notamment des tumeurs primitives ou métastases, une maladie de Paget ou une ostéïte inflammatoire.

Fibromyalgie

Les douleurs au niveau des omoplates et dans la région inter-scapulaire (entre les épaules) sont un des symptômes douloureux de la fibromyalgie. Dans ce cas, ces zones sont sensibles à la pression.
Important : le diagnostic de fibromyalgie repose sur l'examen de nombreux autres symptômes (fatigue, troubles du sommeil, troubles psychologiques, etc.), isolément de douleurs au niveau des omoplates.

Troubles cardiaques

Certains troubles et pathologies cardiaques (angine de poitrine, infarctus du myocarde) peuvent se manifester par des douleurs irradiantes partant de poitrine, et touchant notamment le bras, le cou, la gorge, la mâchoire et l'omoplate.
Dans tous les cas, la survenue brutale de ce type de symptômes est un motif de consultation médicale immédiate.
CETTE LISTE EST NON EXHAUSTIVE: d'autres manifestations peuvent parfois provoquer plus rarement ce type de douleurs. Seul le médecin qui effectuera un examen pourra confirmer le diagnostic.

19 déc. 2015

6 tueurs de neurones

Selon le National Institute of Neurological Disorders and Stroke, nous sommes tous nés avec un nombre limité de neurones. Un processus appelé neurogenèse régénère et aide le développement de nouveaux neurones lorsque nous grandissons. Mais lorsque nous vieillissons, plusieurs facteurs de style de vie peuvent entrer en conflit avec la neurogenèse et tuer les neurones plus rapidement.

En plus du tueur de neurones le plus évident (prendre des drogues dures), voici six facteurs communs et inattendus qui peuvent détruire vos neurones…

1. Malbouffe

Vous êtes sûrement conscient que la malbouffe contribue à bloquer vos artères, à la prise de poids et à endommager votre cœur. Mais les chercheurs en neurologie de l’Université de Los Angeles, en Californie, affirment que consommer une alimentation grasse peut aussi bloquer les vaisseaux du cerveau, limitant la circulation et l’apport en oxygène, et étouffant les neurones.

Votre cerveau, comme vos muscles et vos autres organes, a besoin de nutriments pour survivre et fonctionner de manière optimale. Lorsque les neurones sont en manque de nutriments, ils sont affamés et meurent. Bien que la malbouffe en modération n’entraine pas de dégât majeur, la consommation à long terme d’aliments transformés riches en lipides, en additifs (ou exotoxines) et en calories vides, et manquant de nutriments essentiels, va lentement tuer vos neurones et détériorer le développement cognitif du cerveau.

2. Déshydratation

Si vous considérez le fait que 75% du cerveau est fait d’eau, il parait logique que le manque d’eau puisse rapidement tuer les neurones. Selon la Mayo Clinic, une déshydratation légère peut survenir en l`espace de 4 heures environ. Durant ce temps, un effet domino de processus négatifs dans le cerveau et le corps peut survenir. Par exemple, lors de la déshydratation, le cerveau doit faire des heures sup’ pour attirer de l’eau dans ses cellules. Le résultat, c’est qu’un œdème cérébral (gonflement du cerveau) peut entrainer la rupture de neurones et l’atrophie cérébrale

Le mythe que la consommation d’alcool par elle-même tue les neurones est une idée fausse que de nombreuses personnes attribuent à la ligue Temperance, qui a pour but d’interdire l’alcool. Cela dit, lorsque nous consommons trop d’alcool, le corps peut rapidement être déshydraté et réprimer la vasopressine, une hormone essentielle pour la rétention d’eau et d’urine. D’où l’envie d’aller régulièrement aux toilettes après quelques bières.



3. Stress chronique

Le stress a un point de rupture, qui varie d’individu en individu. Des périodes étendues de stress peuvent avoir un effet sur votre apparence, votre sommeil, votre poids, et vous forcer à ralentir et à prendre soin de vous. Mais le stress chronique et l’élévation à long terme des concentrations en cortisol (l’hormone du stress) déclenchent plusieurs processus biologiques néfastes. Selon un groupe de neuroscientifiques de l’Université de Californie, Berkeley, les niveaux élevés de cortisol sur de longues périodes peuvent tuer les neurones et détériorer le fonctionnement cérébral.

L’étude, publiée dans Psychology Today, montre que le stress chronique entraine des altérations à long terme dans la structure du cerveau, déclenchant la production en excès de cellules productrices de myéline (ou matière grasse) à la place de neurones (transmetteurs d’information). Les chercheurs expliquent que c’est la raison pour laquelle tant de jeunes individus exposés à du stress à long terme ont des risques plus élevés de développer des troubles de l’humeur et de l’anxiété, de la schizophrénie et du stress post-traumatique plus tard dans leur vie.

4. Manque de sommeil

Le sommeil donne à notre corps et à notre cerveau une période de repos et de rajeunissement bien méritée. La National Sleep Foundation (NSF) affirme qu’un sommeil de 7 à 9 heures chaque nuit fournit un temps adéquat pour atteindre le sommeil paradoxal. C’est durant cette phase du sommeil que le cerveau joue son rôle : il immobilise les membres pour leur permettre de se ré-énergiser, et il active les régions cérébrales responsables de l’apprentissage et de la mémoire.

Une étude de la NSF a lié la privation de sommeil à des dégâts neuronaux dans le locus ceruleus, qui est la région productrice d’énergie du cerveau. Une fois que les neurones commencent à mourir, l’hippocampe (zone de stockage de la mémoire) et le cortex cérébral (zone responsable de l’attention, de la conscience, des pensées, du langage, de la mémoire et de la perception) commencent à s’atrophier et le corps répond avec une détérioration de la mémoire, de la concentration et des capacités de décision.

5. Exposition à des produits chimiques et pesticides

Il y a beaucoup d’attention donnée à l’ingestion de produits chimiques et de pesticides dans nos aliments, et ce pour une bonne raison. Dans une recherche de 2012 publiée par les instituts nationaux de la santé, le professeur en neurologie d’Harvard, Dr David Bellinger, lie plus d’une douzaine de produits chimiques et pesticides largement utilisés, à plusieurs troubles du comportement et troubles cognitifs communs chez les enfants.

Le Dr Bellinger a mesuré les quotients intellectuels (QI) d’enfants dont les mères avaient été exposées à des neurotoxines (p.ex. pesticides organophosphorés, mercure et plomb) via leur alimentation, l’air et l’eau durant leur grossesse. Ses résultats montrent une perte totale de 16,9 millions de points de QI chez les enfants exposés à des toxines, par rapport à des enfants nés de mères n`ayant pas été en contact avec ces toxines.

6. Fumer et mâcher du tabac

En plus des risques bien étudiés d’emphysème, de crise cardiaque et d’AVC associés au tabac, celui-ci est également lié à des dégâts cérébraux. Avec environ 7000 produits chimiques toxiques dans chaque bouffée de cigarette, il n’est vraiment pas surprenant que certains composés de tabac puissent déclencher l’attaque des neurones sains par les globules blancs du système nerveux central.

L’étude, conduite par l’Indian National Brain Research Center (NBRC) et publiée dans le Journal of Neurochemistry, a découvert que le NNK, un pro-carcinogène, entraine l’inflammation des tissus nerveux, une maladie liée à la sclérose en plaques. Les dégâts surviennent lorsque le NNK entre dans le corps (via la fumée de cigarette ou mâcher du tabac) et déclenche une réponse exagérée de la microglie cérébrale, les cellules immunitaires du cerveau. La microglie éradique normalement seulement les cellules endommagées ou malsaines. Mais lorsque le NNK entre en jeu, les défenseurs immunitaires attaquent erronément les neurones sains et peuvent entrainer des dégâts neurologiques.

11 déc. 2015

Bronchiolite du nourrisson

La bronchiolite est une maladie virale très contagieuse touchant chaque hiver environ 30% des nourrissons dont plus de la moitié sont des enfants de moins de 6 mois. Elle touche davantage les garçons que les filles. Les épidémies de bronchiolite débutent en général début Octobre et le pic est souvent atteint au cours entre les mois de Décembre et Janvier. 

Définition

Le virus respiratoire Syncitial (VRS) est le principalagent infectieux de cette maladie. La bronchiolite débute généralement vers la mi octobre pour se terminer en fin d'hiver. Son pic est atteint au mois de décembre. Cette infection qui atteint les petites bronches se guérit en 5 à 10 jours environ. Les garçons représentent environ 60% des bébésatteints de bronchiolites. 

Symptômes

La bronchiolite peut débuter par une rhinite virale. Puis, apparaissent ensuite des épisodes de toux sèche devenant de plus en plus grasse et s'aggravant peu à peu, ce qui provoque un encombrement et une gène respiratoire importants. L'enfant présente ainsi une respiration sifflante, une fièvre modérée, une fatigue, voire un épuisement. Latoux peut se prolonger pendant 2 à 3 semaines. Devant l'apparition de ces symptômes, il est important de consulter rapidement son médecin afin d'éviter l'apparition de complications respiratoires pouvant nécessiter une hospitalisation

Que faire devant une bronchiolite?

Commencer par aérer la chambre du bébé et ne pas échanger les biberons et lestétines. Il est conseillé de porter un masque si les parents ont une rhinite virale, de ne pas fumer en sa présence, de ne pas l'emmener dans des endroits enfumés, de mettre un coussin sous l'oreiller et de lui donner à boire régulièrement 
Bien vérifier que le bébé s'alimente correctement et prend bien ses biberons. Désinfecter son nez avec du sérum physiologique, utiliser des mouchoirs jetables et ne pas le remettre à la crèche avant la fin des symptômes. Les antibiotiques ne sont pasprescrits car ils n'ont aucune action sur les virus, sauf si une angine ou une otiteapparaissent. D'autre part, il faut surveiller la respiration du bébé, sa température et l'absence de diarrhée

Traitement

Kinésithérapie respiratoire

La kinésithérapie respiratoire demeure le traitement primordial de la bronchiolite. Elle a pour objet de permettre d'évacuer les sécrétions bronchiques que le bébé ne réussit pas à faire. Le praticien effectue des mouvements sur la cage thoracique et l'abdomen du bébé lorsqu'il expire. Ce geste permet de faire remonter les sécrétions de la trachée vers la bouche de l'enfant qui réussit ensuite à les expectorer

Épidémie de bronchiolite

En cas d'épidémie de bronchiolite, se laver les mains soigneusement avec du savon avant de s'occuper du bébé. Ne pas embrasser le bébé si on est atteint d'unerhinopharyngite ou bien d'une bronchite par exemple. Demander à ses frères et soeurs, et aux membres de l'entourage en général d'éviter de l'embrasser. Eviter de fumer en sa présence et ne l'emmener pas dans des lieux fumeurs. Ne pas emmener le bébé dans des endroits où il risque d'être au contact de personnes atteintes de maladies infectieuses( transports en commun, supermarchés, boutiques, ...). Le réseau Bronchiolite Médico kinésithérapeute propose une alternative à la prise en charge médicale et kinésithérapeute de proximité aux familles d'Ile de France. Un centre d'appel est opérationnel afin de trouver un kinésithérapeute ou un médecin :0820 820 603 Numéro indigo 0,12E : kinésithérapeutes disponibles dans leurs cabinets Week end et jours fériés de 9H à 18H0820 800 880 Numéro indigo 0,12E médecins disponibles 7J/7 de 9H à 23H
Pour en savoir plus 

Bronchiolite et allergies

L'apparition de 2 ou 3 bronchiolites avant l'âge de deux ans peut témoigner de l'apparition d'un asthme, notamment si l'enfant est issu d'une famille d'allergiques. ll est conseillé d'en parler à son médecin qui envisagera l'avis d'un pneumologue ou d'unallergologue afin d'effectuer un bilan allergologique comprenant au minimum des tests cutanés
Rappelons que la pratique de tests cutanés est possible chez les enfants en bas âge et qu'il ne faut pas attendre 5 ans, contrairement aux idées reçues, avant de les pratiquer. 

9 déc. 2015

10 AVANTAGES À ÊTRE INSOMNIAQUE (EN CHERCHANT BIEN…)

Vous n’avez pas dormi cette nuit ? Ni les 14 nuits précédentes ? Ne vous inquiétez pas, il y a des avantages à être insomniaque. Si vous cherchez bien…

1.

Vous pourrez regarder une saison entière de The Walking Dead (et ne pas avoir peur de faire des cauchemars après parce que de toute façon, vous ne dormez pas).

2.

Vous avez une dizaine d'heures supplémentaires pour choisir votre tenue de boulot du lendemain. Vraiment... ça devrait être suffisant !

3.

Vous pourrez faire votre lessive (personne au Lavomatic), votre ménage (personne dans le passage) ou toutes les autres choses que les gens normaux arrivent à faire au fil de la semaine.

4.

Vous pouvez appeler tous vos potes qui sont partis à l'autre bout de la planète pour terminer leur cursus d'école de commerce... Et du coup passer pour la meuf super cool qui n'arrête pas de sortir.

5.

Vous prouvez que vous êtes complètement prêt à avoir un bébé (qui pleure 8h par nuit, soit toute la nuit en fait...)

6.

Vous pouvez manger discrètement la fin de la tablette de chocolat que vous zieutez depuis 3 jours mais que votre coloc veut garder pour lui. (Et ensuite lui dire "non mais tu psychotes ! Tu penses vraiment que je vais me lever la nuit pour manger ton pauvre chocolat ?")

7.

Vous pouvez tester ce club dont tout le monde parle les soirs de la semaine où il y a le moins de monde.

8.

Vous avez officiellement explosé le record de Candy Crush de tous vos potes réunis. D'ailleurs, vous êtes le premier avoir fini le jeu (impossible...)

9.

Vous avez analysé et appris comment fonctionne la popularité sur Instagramtellement vous avez passé du temps dessus. D'ailleurs, vous likez toujours les photos des stars américaines avant tout le monde (et vous avez donc les premiers scoops avant tous les magazines people).

10.

Vous pouvez en profitez pour faire autre chose avec votre partenaire...